Hospice power
De deux choses l’une : celui qui ne connait pas Sorrentino pourra, un temps, être ébloui par sa maîtrise formelle et y voir une voie d’accès à son univers ; celui qui en est familier y trouver une...
le 12 oct. 2015
98 j'aime
8
Je déteste ce cinéaste, donc je cherche encore la raison qui m'a poussé à aller voir le dernier (la curiosité, les 2 acteurs ? ). Encore une fois je n'aime pas du tout. C'est du cinéma clinquant, tape à l’œil, froid, à l'imagerie publicitaire, vide et vulgaire, au propos rance et cynique. Avec un côté Seidl en plus cette fois-ci dans la façon frontale et laide de filmer la chair et les corps. Michael Caine, et Harvey Keitel sont 2 immenses acteurs, donc ils sauvent des moments et dieu sait que ce n'est pas évident de surmonter la mise en scène et l'écriture pataude de Sorrentino.
Par contre, ce que l'on ne peut enlever à l'italien, c'est qu'il a vraiment trouvé son style, on reconnait ses plans, sa mise en scène,...c'est déjà pas mal, mais ça ne me parle pas du tout.
Créée
le 11 sept. 2015
Critique lue 503 fois
8 j'aime
D'autres avis sur Youth
De deux choses l’une : celui qui ne connait pas Sorrentino pourra, un temps, être ébloui par sa maîtrise formelle et y voir une voie d’accès à son univers ; celui qui en est familier y trouver une...
le 12 oct. 2015
98 j'aime
8
Au vu des notes et des avis disparates qu'a recueilli la dernière oeuvre de mon cher Paolo depuis sa sélection à Cannes, j'avais hâte de me faire ma petite idée dessus. Nous y retrouvons les...
le 24 nov. 2015
53 j'aime
4
Je profite d'une ivresse momentanée et d'un week-end assez chargé pour dégobiller sur cet objet filmique détestable. Précision qui importe : j'aime assez "This must be the place", j'adore "La Grande...
Par
le 13 sept. 2015
52 j'aime
11
Du même critique
Il y a l'amour qui nait, celui qui perdure, celui qui disparait, et puis il y a celui qui s'éteint, ou en tout cas qui s'évapore physiquement. Si certains cinéastes, Borzage, Hathaway, ont choisi de...
Par
le 22 mai 2012
88 j'aime
11
J'aime le début du film, qui débute comme un conte initiatique. Nichols parvient à retranscrire d'une jolie façon le besoin d'aventure, de mystère, de secret que l'on peut ressentir durant l'enfance...
Par
le 31 mai 2012
56 j'aime
4
Le film possède une dimension métaphorique et repose sur une image politique plutôt intéressante même si déjà rabattue, à savoir assimiler un avion à la société actuelle, en premier lieu la société...
Par
le 26 mars 2013
55 j'aime
4