« Si nous décidons un jour de révéler notre existence aux Surfaciens, ce sera pour les éradiquer, non pour coexister »
Black Manta cherche à se venger ; il use de l’orichalque, une matière accélérant le réchauffement climatique. Aquaman essaie de faire cesser ses agissements avec l’aide d’un allié improbable : son demi-frère.
Je fus enthousiasmé par le premier opus, mais mon émerveillement périclite à nouveau. J’ai la très nette impression que les métrages produits par DC riment toujours avec insipidité et platitude. Le film déplaît par son récit excessivement schématique, son humour plus que douteux et de la CGI abusive. Si j’encensais les apparitions d’Amber Heard dans ma critique du volet précédent, elles sont, cette fois-ci, des plus chétives. L’accoutrement de l’antagoniste, la versatilité du frère consanguin,le MacGuffin écologique et les cris de macaque sporadiques de Jason Mamoa sont hautement risibles. Le moment le plus cocasse est quand le superhéros se fait littéralement uriner dessus par son fils ; serait-ce une métaphore de ce que fait le DCEU à ses plus fervents fans.