Pour l’anecdote, on peut croiser dans un petit rôle un certain Antonio Banderas tout jeunot ici ! eh ouais 1988, ça comence à dater un petit peu quand même… Pour le reste ou plutôt « les restes » de cet étron cinémerdographique, disons qu’il s’agit d’un film d’Almodovar, le Woody Allen espagnol et… là, tout est dit. Et ce n’est pas un compliment, non, non. Ce serait même carrément insultant en fait.
C’est en effet du blabla de merde interminable au fil d’un scénario particulièrement minable… mais quel scénario au juste ? où est-il allé chercher ce scénar bricolé avec le fion ? comment ça, dans ton cul ?! on peut donc se torcher avec je suppose !
Les actrices sont en tout cas du genre hystéro-dépressif et passent vraiment pour des connes. De toute façon, peu importe, c’est un somnifère audio-visuel qui s’agite vainement dans son bocal dont on n’a pas changé l’eau croupie depuis des lustres : c’est à la fois prétentieux, crétin et pas drôle pour une peseta ; ça fait pitié et ça pédale dans le vide, cette merde !