Un second volet de transition, plus sombre, lent et posé que la première partie. Un peu déçu de ne pas réellement avoir Mechagodzilla dans le film, mais son héritage est utilisé de manière intéressante. Ça prend le temps d'approfondir l'univers et les personnages, notamment les philosophies et motivations des deux espèces extraterrestres humanoïdes. La musique de Takayuki Hattori (Godzilla VS SpaceGodzilla, Godzilla 2000) est toujours aussi bien.
Pas aussi bon que l'ultra jouissif PLANET OF THE MONSTERS, il se passe moins de choses et le tout est un peu trop prévisible, mais CITY ON THE EDGE OF BATTLE se laisse néanmoins regarder avec grand plaisir et augure du très lourd pour le dernier épisode de la trilogie.