House of the Dead par Ezhaac
Uwe Boll au sommet de son art. Le film mérite vraiment d'être vu au second degré, avec son acting incroyablement mauvais, ses maquillages de merde, son pseudo-érotisme opportuniste bon marché et surtout parce que Boll a osé mélanger au montage des extrait du vieux shooter dont est librement adapté le film, de préférences aux moment où l'action s'y prête le moins.
Je lui accorde un petit bonus pour la généreuse silhouette d'Ona Grauer dont le décolleté semble littéralement aspirer la caméra de Boll.
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