La modestie, la classe n'existe plus. Super-héros faibles ont besoin du papa Clark Kent pour faire le sale boulot. Flash et Wonder Woman sont des archétypes débordants d'un classicisme pesant. Sexualité, attardé social, ils sont plongés dans l'imagerie populaire (la classe de super-héros).
Lorsque Steppenwolf prend contrôle des orbes de pouvoir qu'on peut appeler les « Dragon balls », il est surpuissant et les cinq super-héros de départ comprenant Batman, Wonder Woman, Flash, Aquaman et Cyborg sont castrés et incapables d'endommager le super méchant. Un seul homme peut sauver le monde, malheureusement il est mort. Comment faire ? C'est simple !
Il faut le réanimer, mais c'est dangereux, et demande de la précision... La tension n'est pas crédible. Notamment une scène où Aquaman bloque l'eau pour faire gagner du temps aux super-héros de s'enfuir. On ne s'inquiète pas une seconde. On sait pertinemment qu'ils vont pas se faire arrêter par noyade au bout d'une demie heure de film.