Kaboom
6.2
Kaboom

Film de Gregg Araki (2010)

Donc si vous aimez les films un peu barges, à l'univers coloré et psychédélique, plaçant de nombreuses sous intrigues pour finir dans un final explosif de révélations surprenantes, ce film risque bien d'être votre coup de cœur de la rentrée.
FredP
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Ma bluraythèque

Créée

le 5 oct. 2010

Critique lue 289 fois

FredP

Écrit par

Critique lue 289 fois

D'autres avis sur Kaboom

Kaboom
Chaiev
5

Fac Simulée

J'aurais dû aimer Kaboom : un film de campus, et qui plus est un campus rempli de canons qui ne pensent qu'à ça, des dialogues inspirés, une histoire de complot, un second degré permanent, sur le...

le 28 nov. 2010

79 j'aime

33

Kaboom
Rakanishu
7

Critique de Kaboom par Rakanishu

Pas facile de critiquer Kaboom. C'est un peu un film nul, mais assumé. A savoir que le film part dans le grand grand n'importe quoi, que les 10 dernières minutes sont dignes d'un David Lynch pris de...

le 10 oct. 2010

78 j'aime

6

Kaboom
Amethyste
6

Ne va pas plus loin que les préliminaires.

Fin du film. J’arrête le DVD et réfléchis cinq minutes pour repasser en vitesse le déroulement de ma soirée, histoire d’être sûr qu’à aucun moment je n’ai pris de produits illicites. Vérification...

le 23 sept. 2012

54 j'aime

3

Du même critique

Sound of Noise
FredP
7

Critique de Sound of Noise par FredP

Vous aimez les films rythmés ? L'étrange bande de percussionnistes de Sound of Noise va alors vous enchanter et mettre un peu de battant dans vos coeurs. Les suédois ont parfois de drôles d'idées,...

le 27 déc. 2010

17 j'aime

Winter's Bone
FredP
5

Critique de Winter's Bone par FredP

Ree, une jeune fille de 17 ans doit s'occuper de sa petite sœur et de son petit frère parce que sa mère est malade et que son père est en prison. Mais voilà, on apprend que son père est sorti de...

le 14 mars 2011

11 j'aime

Cogan : Killing Them Softly
FredP
8

Critique de Cogan : Killing Them Softly par FredP

Ce que l'on retiendra le plus finalement de ce Killing them softly, à côté des crises existentielles des tueurs à gages et des séquences violentes, c'est surtout son discours politique...

le 25 mai 2012

9 j'aime