Un ilm qui ne ressemble à rien d'autre: des photos figées, une voix off hypnotique et un vertige temporel unique. Plus qu'un récit, c'est un souvenir flou, entre rêve et cauchemar. Je ne peux pas dire que j'ai faim ( trop froid, trop conceptuel ) mais je ne peux pas non plus l'ignorer. On admire, on respecte, mais on reste en dehors. Une expérience essentielle pour un cinéphile, même si l'émotion se perd un peu dans l'austérité de la forme.
Créée
le 31 juil. 2025
Critique lue 2 fois
Tout simplement beau, émouvant voire bouleversant. Au delà de l'aspect anticipation/ SF qui pour une fois sert le propos au lieu de se servir de lui, ce que l'on retiendra c'est ce que le roman photo...
le 5 mai 2011
172 j'aime
21
"Est-ce qu'au cinéma j'ajoute à l'image ? - Je ne crois pas ; je n'ai pas le temps : devant l'écran, je ne suis pas libre de fermer les yeux ; sinon, les rouvrant, je ne retrouverais pas la même...
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le 9 mai 2011
147 j'aime
20
J'édite aujourd'hui ce message car une triste nouvelle est tombée pour ceux que ce film (et ce réalisateur) a tant marqué
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le 1 nov. 2014
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Un ilm qui ne ressemble à rien d'autre: des photos figées, une voix off hypnotique et un vertige temporel unique. Plus qu'un récit, c'est un souvenir flou, entre rêve et cauchemar. Je ne peux pas...
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le 31 juil. 2025
J'ai parfois décroché, mais je ne peux pas nier la maitrise. Kurosawa nous ment comme ses personnages nous mentent. La mise en scène prend parti, la caméra doute, le récit se fragmente. Le soleil...
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le 31 juil. 2025
