Je ne sais pas pour vous mais la première fois que j'ai vu le diner de con, quand François Pignon a nommé son derrick en allumette, Bo (ou beau) j'ai tout de suite capté le jeu de mots avec Bo Derek. Alors ne m'en demandez pas trop, il s'agit d'un mannequin 80/90 aux particularités physique sûrement suffisantes pour gagner sa croute avec, mais je pense que je me souviens plus de son nom que de sa tronche en faveur de l'originalité patronymique (Il y a aussi Beau Bridges)
Bref ! Mon titre arrive à point car l'amalgame avec la série allemande, Inspecteur Derrick qui ravit tout le 3ème age de 1980 à 2005, est parfaite pour décrire ce film dans lequel peu de choses se passent, parce que, en 2025, Bo Derek doit commencer à penser à finir ses vieux jours dans une maison de retraite et surtout parce que la meilleure chose sur Netflix depuis deux trois mois que j'ai repris un abonnement, c'est bien les séries gravitant autour de Ricky Gervais. J'ai adoré After Life et en ce moment, je kiffe Derek qui se passe aussi dans une maison de retraite
Beau Derrick! Beau Derek!
Beau Derrick! Beau Derek!