Le Septième Sceau arrive à passer d'une gaieté qui frôle les clichés les plus répandus sur la vie au Moyen-âge à une violence des scènes et des paroles parfaitement inattendue et maitrisée. Le noir et blanc achève de sublimer ce côté fresque initiatique où l'issue ne peut-être que la mort.

Mention spéciale : le suédois est une langue parfaite pour conter cette épopée : rude, austère et aux racines linguistiques qui semblent s'enfoncent au plus profond de l'imagerie médiévale nordique.
FinalFlorent
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le 30 sept. 2014

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