A la table de la vie, lui a longtemps eu du jeu, mais depuis il a finit par ne plus avoir de main. Sa femme l' a quitté, il est devenu alcoolique au dernier degré, scénariste hollywoodien déchu . Il décide alors de ne plus jouer, direction Las Vegas aller simple pour flamber une dernière fois.
Elle, dès le début n'a pas eu les bonnes cartes, prostituée, en psychanalyse. On tue son mac qui avait le défaut de ne pas être assez cruel au goût des salauds, elle est seule comme jamais. Elle ne quitte pas la partie, elle n' a pas le choix, et tire le joker.
Elle et lui vont se croiser, elle décide de donner à son joker la valeur de l' amour.

Une histoire sombre et belle, qui n'est ni une apologie de la prostitution ni de l'alcoolisme.
Une ultime histoire d'amour entre deux perdants.
yanniederanven
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les films les plus tristes

Créée

le 3 juin 2013

Critique lue 1K fois

13 j'aime

yanniederanven

Écrit par

Critique lue 1K fois

13

D'autres avis sur Leaving Las Vegas

Leaving Las Vegas
DjeeVanCleef
8

Le con ça suce ses frites.

Je me trimbale une gueule de bois de dingue, mon ami. Et je ne vais pas me cacher derrière mon petit doigt, c'est mal. Affreux, même. S'enivrer comme ça, sans raison apparente, en pleine semaine, ça...

le 17 oct. 2013

44 j'aime

18

Leaving Las Vegas
chinaskibuk
10

Critique de Leaving Las Vegas par chinaskibuk

Tout d'abord la bande son "Jazzy mélancolique" par laquelle Mike Figgis nous fait entrer de façon douloureusement imperceptible dans l'univers de Ben (Nicolas Cage), quarantenaire au bout de ses...

le 28 déc. 2017

27 j'aime

10

Leaving Las Vegas
Kalian
7

Two against the world

Un scénariste alcoolo, qui a tout perdu, de sa famille à son job, décide de partir pour Las Vegas dans l'optique de se saouler à mort. Là-bas, il rencontre une prostituée, dont il tombe amoureux. Il...

le 30 oct. 2010

24 j'aime

Du même critique

Les Raisins de la colère
yanniederanven
9

Subprimes Vintage

J'ai vu ce film pour la première fois à 10,12 ans et il m' avait déjà impressionné et effrayé. Les adultes que j'avais interrogé m' avaient dit : "ça peut se reproduire". Quelques décades plus tard...

le 8 mars 2013

11 j'aime

John Q.
yanniederanven
5

Critique de John Q. par yanniederanven

Ce film est une louable tentative pour dénoncer les systèmes de santé à vitesses variables, il est vrai que dans de nombreux pays le serment d'Hippocrate a fait place à la solvabilité banquaire. La...

le 25 avr. 2013

8 j'aime