Face à la mère...
LES FILLES D'AVRIL (13,3) (Michel Franco, MEX, 2017, 103min) : Cet austère drame psychologique manipulateur narre l'histoire de Valeria, jeune femme enceinte de17 ans vivant avec son amant et sa sœur...
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il y a 6 ans
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Je craignais un peu le retour au film social brut après avoir vu Después de Lucía de Franco. Les Filles d'Avril est effectivement, lui aussi, concentré sur la parentalité et inquiété par la sexualité des jeunes, mais il y a une différence de style majeure : sa narration, d'une fluidité telle qu'on sentira à peine son rôle de miroir sur une certaine tranche de la population mexicaine que ces sujets concernent plus durement. Des liens se forment et remplacent les anciens sans qu'on puisse s'en rendre compte, avec toujours un point d'ancrage : des personnages filmés dans la pénombre, comme s'ils nous révélaient leur côté sombre à chaque instant. Peu à peu nous est révélé le message caché sur qui sont vraiment les filles d'Avril.
Même instable et changeant, le noyau familial demeure solide chez Franco, qui n'a plus qu'à métamorphoser les personnages au gré de leurs rencontres. Ça reste assez brut, mais ça rend mieux.
Le 25 octobre 2021
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LES FILLES D'AVRIL (13,3) (Michel Franco, MEX, 2017, 103min) : Cet austère drame psychologique manipulateur narre l'histoire de Valeria, jeune femme enceinte de17 ans vivant avec son amant et sa sœur...
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il y a 6 ans
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En 2012, Despuès de Lucia avait été, pour moi, l’un des pires films de l’année. Je n’avais donc pas vu le suivant de Michel Franco. En fait, je suis allé voir Les filles d’Avril après en avoir eu de...
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il y a 6 ans
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Michel Franco passe maître dans l'art du malaise avec Les filles d'avril, quand la perfidie œdipienne d'une mère devenue un peu trop envahissante ruine la vie de ses filles. Un drame familial aux...
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il y a 6 ans
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Quand on m’a contacté pour me proposer de voir le film en avant-première, je suis parti avec de gros préjugés : je ne suis pas un grand fan du cinéma japonais, et encore moins de films d’horreur. En...
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il y a 4 ans
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Si vous entendez dire qu'il y a Cluzet dans ce téléfilm, c'est vrai, mais attention, fiez-vous plutôt à l'affiche car son rôle n'est pas grand. L'œuvre est aussi modeste que son sujet ; Ledoyen porte...
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il y a 5 ans
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Avec ses trois titres ”internationaux”, le premier film non soviétique de Mikhalkov est franco-russe, étant préparé, scénarisé, monté et produit par des Français. On connaissait le réalisateur pour...
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il y a 3 ans
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