Resident Evil: Afterlife par SuperTAZE
Bon, je vous avais un peu oublié, donc voici le retour de mes petites chroniques ciné.
Commençons avec une bonne vieille daubasse des familles, le dernier Resident Evil. Déjà, je n'ai jamais pût blairer la Jovovitch, qui est au sex-symbol ce que Tabatha Cash est au romantisme, ou peu s'en faut.
En plus, là, ils ont réussit à nous pondre un film de 1H10 environ, rallongé d'une 1/2 heure par la seule utilisation des ralentis pendant les combats. Dans Matrix c'était bon. & novateur. Là c'est juste à chier.
Bref, un film à éviter, à tous les niveaux.