8
Dollhouse.
Adaptée du roman de Kanae Minato, "Shokuzai" est à l'origine une mini-série en cinq épisodes réalisée par Kiyoshi Kurosawa et diffusée sur la chaîne WOWOW en 2012, remodelée en deux films de plus de...
Par
le 11 avr. 2014
29 j'aime
4
Shokuzai : Celles qui voulaient se souvenir par Ygor Parizel
Kiyoshi Kurosawa prouve avec ce dyptique qu'il est un grand auteur peu importe le genre qu'il aborde. Le récit débute comme un polar macabre mais rapidement il tourne au drame intense. Dans ce premier volet, il dresse deux portraits de femmes brisées à cause du traumatisme de leur enfance, psychologiquement intéressants. L'histoire dans un premier temps en commun, s'émancipe en plusieurs chapitres (deux dans ce film) ou une inquiètude plane en permanence, grâce à la mise en scène on ressent l'angoisse des personnages. Cette réalisation qui privilégie la lenteur et les cadres millimetrés, la photographie terne typique du cinéma de Kurosawa apporte une ambiance glaciale.
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2013
Créée
le 9 sept. 2015
Critique lue 235 fois
D'autres avis sur Shokuzai : Celles qui voulaient se souvenir
9
Enorme coup de coeur !
Comme il passait sur Arte hier soir et que les critiques semblaient bonnes, je me suis laissée embarquer dans cette "saga" japonaise. L'histoire nous conduit à suivre le destin de 4 jeunes femmes...
le 24 juil. 2015
23 j'aime
4
8
Autant en emporte la mémoire.
A l'origine série adapté d'un manga au Japon mais vendue à l'international sous la forme d'un diptyque de 2 heures et 2heures 30,celui-ci est le premier volet.Mon avis ne pourra être qu'imparfait car...
le 24 janv. 2014
12 j'aime
6
Du même critique
9
Critique de La Nuit américaine par Ygor Parizel
François Truffaut démontre si le fallait encore l'amour qu'il porte au cinéma (détail drôle c'est qu'il parle d'un film tourné en studio). Les coulisses de cet univers avait rarement été filmé de...
Par
le 22 nov. 2023
11 j'aime
2
9
Critique de L'Enfant du diable par Ygor Parizel
Voilà une belle réussite en matière de maison hantée, un genre codifié et pas évident. La première moitié du film est clairement axée sur des scènes de frissons qui sont simples mais particulièrement...
Par
le 27 oct. 2014
10 j'aime
4
7
Critique de Indiscret par Ygor Parizel
Typiquement le genre de réalisation et de production qui se repose sur son couple de stars. Ingrid Bergman de retour de son séjour italien et avec un jeu plus naturel et Cary Grant en pleine période...
Par
le 15 nov. 2019
8 j'aime
