Le problème de Danny Boyle, c'est qu'il ne sait pas finir ses films. Slumbdog Millionnaire établit un cadre très intéressant dans le premier tiers, puis tout ça finit par servir une histoire d'amour à deux balles. Clin d'oeil à Bollywood mon cul, ça rend tous les efforts de représentation de la réalité sociale du début inutile et presque instrumentalisant. Vraiment dommage, d'autant que l'effort sur la forme était remarquable.
IIILazarusIII
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le 10 déc. 2010

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IIILazarusIII

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