Uncharted
Avec six films à son actif en vingt-deux ans de carrière, James Gray est un réalisateur qui sait se faire désirer. Dans The Lost City of Z, Gray abandonne la jungle New-Yorkaise qu’il connaît si bien...
le 19 mars 2017
109 j'aime
12
Prenez le film The Revenant.
Enlevez tout le côté prétentieux et tape à l’œil.
Mettez un bon acteur qui s'applique tellement que ça en est touchant et qui passe pas le film à ramper pour un oscar.
Offrez à Robert Pattinson un bon rôle dans lequel il est très bon. (true story)
Munissez votre film d'un scénario (bon c'est adapté d'une histoire vrai mais quand même)
Injectez dans votre film un vrai contenu métaphysique et philosophique.
Filmez autre chose que des arbres et des feuilles même si c'est beau.
Laissez tourner la caméra.
PAF ! Vous avez un très bon film.
GreenIncherno
Créée
le 19 mars 2017
Critique lue 331 fois
Avec six films à son actif en vingt-deux ans de carrière, James Gray est un réalisateur qui sait se faire désirer. Dans The Lost City of Z, Gray abandonne la jungle New-Yorkaise qu’il connaît si bien...
le 19 mars 2017
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12
Je sais pas trop pourquoi j'étais pas trop emballé par ce film. J'y ai jamais vraiment cru. Puis mon cousin m'en a parlé. Alors bon, ça m'a donné un peu envie. Parce qu'il avait adoré. Mais moi j'ai...
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le 4 nov. 2017
85 j'aime
9
Je sors à l'intant du cinéma, que dire mis à part que c'était fort long pour ce que c'était. Je m'attendais à une belle aventure dans la jungle, à des découvertes d'anciennes civilisations, à trouver...
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le 15 mars 2017
84 j'aime
7
Tout ce que je pense de ce film a été résumé par un quidam des réseaux sociaux: "Un film visuellement de série A avec des personnages et une histoire de Série B" Cela exprime parfaitement mon avis...
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le 12 mars 2017
2 j'aime
Exercice de style compliqué que d'offrir une fin à un héros de Comics. Sa principale caractéristique étant d'être immortel grâce à la parution continue de ses aventures que ce soit chez Marvel ou DC,...
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le 1 mars 2017
2 j'aime
[SPOILER ALERT] 90 minutes assez ennuyeuses ou Beigbeder se casse la gueule de sa tour de suffisance en tentant d'adapter son propre roman "Au Secours Pardon". Faussement cynique, pas forcément dénué...
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le 21 juin 2016
2 j'aime