Je mets 2 uniquement pour Abbie Cornish qui est la seule illumination de ce film par son sourire et son jeu, et on se demande bien ce qu’elle fout là.
Concernant Anthony Hopkins, lui on sait pourquoi il est là : y’avait des factures à payer. Son monologue dans le cimetière est aussi nul sur le fond que sur la forme.
Mais parlons du virtuose : Anson Mount, une sorte de Pierce Brosnan du pauvre… pauvre dans son jeu, pauvre dans son rôle… Le gars nous fait son petit guide du « Tueur pour les Nuls » en voix off horripilante et soporifique. On lui a filé un objectif obscur, et comme il est discret et malin, il bute discrètement (sic) toutes les cibles potentielles sans autres forme de procès.
Si il y avait quelque chose de brillant dans ce navet, cela nous empêcherait certainement de voir aussi toutes les invraisemblances du scénario.
Enfin pour finir comme dans beaucoup de nanars de ce genre, la musique est une suite d’accords sans fin joués au synthé par un sourdingue.
Au moins y’a une cohérence dans toute cette daube.
Mais qui finance ce genre de truc?
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