Critiques de Yakuza Apocalypse: The Great War of the Underworld

J'avais quitté Takashi Miike il y a à peu près cinq ans sur une excellente surprise (13 Assassins) et sur une impression mitigée (sa relecture du Harakiri de Kobayashi), pas franchement chaud pour me...

Mai 2015, le nouveau film de Takashi Miike est diffusé en première mondiale à la quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes. La salle est bondée afin de découvrir la nouvelle oeuvre du très...

Analyser la filmographie de Takashi Miike est un exercice complexe, qui exige d’embrasser toute l’extravagance d’un cinéaste éclectique. De ses expérimentations dans le V-Cinema (le D-T-V japonais)...

Cannes, seizième film J'ai compris quelque chose en voyant la réaction d'une partie de la salle face à une scène de ce film (certes, elle est au milieu du film et j'avais déjà des doutes) : je...

Mmh, non pas terrible. Ce n'est pas la première fois que Miike finit son film de cette façon, c'est-à-dire comme s'il devait y avoir une suite et en plus sur une note complètement délirante, même si...

Entre le film de gangster, zombies, kung-fu et bioman, il n'y a que Takeshi Miike pour pondre une œuvre aussi extrême. Après avoir regardé le grand film du nawak "beyond skyline" qui assumait ses...

Takashi MIIKE, le mercenaire du cinéma japonais, nous propose avec "Yakuza Apocalypse" son deuxième film de 2015 après "Kaze Ni Tatsu Lion", sorti en mars au Japon. Avec un minimum de deux films...

Comment résumer cette folie filmée ? Ca commence par un boss yakuza vampire, qui se fait tuer par une mystérieuse organisation dont on ne saura rien, et transforme son plus fidèle lieutenant en...

C'est absurde, complètement barré, drôle, étrange, l'histoire est totalement tirée par les cheveux, l'humour n'a aucun sens et j'en passe. Ce film m'a laissée hilare et confuse (dans le bon sens du...

-Un film d'action de Takashi Miike que j'avais vu il y'a quelques mois mais j'avais oublié d'écrire un mot dessus. C'est un film d'action Bunuelien, il y'a de la violence, des yakuzas, mais il y'a...