BioShock Infinite
7.5
BioShock Infinite

Jeu de Irrational Games et 2K Games (2013PC)

Une petite critique en deux parties ça vous tente? La première partie vous aurez droit à une description sur le charme du jeu, pour la deuxième une petite analyse, spoilers inclus, des événements et ses enjeux.

On y va ?

En pénétrant dans Colombia ce qui est d'abord fortement ressenti c'est ce charme sectaire omniprésent. Comme dans toute oeuvre dystopique on remarque bien vite, une certaine idée du paradis, les gens sont affables, perpétuellement et exagérément souriants. La cité aux charmes victoriens est splendide et à part les discours religieux omniprésents basés sur un certain culte de la personnalité... aucuns désordres dans cette ville d'apparence si paisible. Et un peu comme sur l'île dans la série " The prisoner" et leurs fameux " Bonjour chez vous" , on comprend très vite que non seulement on va très tôt se retrouver confronté à cette belle brochette de tarés ( coucou la tombola !!!) mais qu'en plus, garder son bon sens ne va pas être gagné d'office.

Rapture était magnifique, Colombia l'est tout autant. Derrière l'identité et la similitude du titre, j'ai trouvé personnellement que la comparaison s'arrêtait là. Il y a bien entendu ce système d'upgrade des pouvoirs et armements, voxophone, rapports écrits, cités aliénantes où la folie est reine mais Colombia a bel et bien son identité propre et un déroulement différent. Infinite possède sa propre identité.
Après un BiosHock 2 incohérent et décevant, je n'étais pas très à l'aise en abordant le jeu. Très vite en jouant, j'ai ressenti cette puissance, cette beigne que m'avait infligé le premier du nom. Très loin d'être lisse, le parcourt d'Infinite propose de nombreux events des plus sinueux. Attention, tout comme les autres Bioshock, il est dirigiste et se termine en ligne droite. C'est peut être un des plus gros défauts du jeu, vous pouvez bien entendu faire de nombreux détours pour fouiller, des bureaux, poubelles, crocheter des coffres contenants des objets rares etc... mais l'aventure en elle est même est très linéaire, on peut vagabonder bien sûr mais cela n"apportera aucune profondeur réelle au jeu. Un autre problème que j'ai relevé, les gunfights sont trop faciles et l'aide d'Elizabeth est bien trop confortable. Passé ces menu défauts, il faut bien l'avouer, l'histoire et le passé trouble du mercenaire Booker DeWitt ne m'ont pas fait décrocher un seul instant. les idées développées durant le jeu ne sont pas nouvelles mais délicieusement exploités.
C'est là que je vais passer à la deuxième partie et vous proposer une analyse sommaire mais je l'espère efficace car de mon entourage proche ayant joué au jeu, ils sont passés un peu à côté de ce qui fait le sel du jeu.

Critique à terminer. To be continued
Novame
8
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le 30 janv. 2014

Critique lue 234 fois

Novame

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