Je crois que ce qui est le plus dur aujourd'hui dans le monde des jeux vidéos c'est la surpromesse. Il y'a quelques années de cela, Peter Molyneux avait amené la pratique, mais sous couvert de bonne intention et avec une pointe d'humour.
Aujourd'hui les trailers extrêmement bien montés vendent du rêve et bien souvent de la déception à la clé.
Là où j'ai apprécié le travail de testing sur ce jeu, c'est que le rendu final est très proche de ce qui a été vendu. Et que la mécanique du jeu, simple et efficace, permet de rendre viable la vision initiale.
Les critiques, plutôt rudes, m'ont sans doute permis d'avoir une belle surprise en jouant à Days gone.
Un jeu non exempté de petit défaut, mais on y retrouve une multitude de petites choses qui donne une âme à ce jeu.
Days Gone est un jeu diesel, le début n'est pas très riche, et l'avancer dans les multiples scénarios se fait avec douceur. Dès qu'on le sait, on prend son temps et on profite de toute la richesse de l'univers et du gameplay.
Mention particulière pour le graphisme et la gestion des environnements climatiques.