Deathspank est le petit batard de Diablo et Monkey Island. un Hack'n Slash au gameplay (très) basique mais efficace rempli de débilités et de parodies de genre. Entre les dialogues hilarants et les items aux noms et descriptions complètement barges, Ce jeu assure une bonne scéance de fou-rire (le vrai, celui qui ne se retient pas face au talent).
Les quêtes suivent un déroulement classique mais n'hésitent pas à faire intervenir l'esprit tordu du joeur de Monkey Island qui sommeile en vous. C'est d'ailleurs avec cet esprit qu'il faut apprécier Deathspank. Le fan de Diablo ne sera que déception face à l'horrible facilité et l'absence quasi totale de personnalisation du héros.
La direction artistique originale donne énormément de charme au jeu en plus d'être un parfait exemple de dévellopement économique et efficace. Rajoutez à cela quelques musiques qui devrait vous rappeler de bons souvenirs et vous devriez passer un de vos meilleur moment de l'année.
18h de jeu en difficulté maximum, en écoutant tous les dialogues et en effectuant toutes les quêtes secondaires. Pas de traduction, mais avec un niveau d'anglais basique, on s'en sort très facilement pour 90% des dialogues. Reste l'absence de disponibilité sur le territoire Français dans sa version Steam que l'on peut contourner en se faisant "offrir" le jeu par un étranger (ou en étant Belge).
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