Balade post apocalyptique dans le monde de Kojima - Critique JV #18

Bien longtemps que je n'avais pas écrit une nouvelle critique sur le site en fait pour être précis cela fait même 9 mois en tout et pour tout, entre temps de nombreux jeux ont pointés le bout de leur nez, du bon du moins bon, du trés attendu au moins attendu l'année 2019 aura été chargée malgré l'approche de la fin de vie de deux consoles qui dominent le marché au niveau des chiffres je parle bien entendu de la Playstation 4 et la Xbox One qui verront leurs successeurs arriver dés l'année prochaine ! Mais en attendant cette fin de vie programmée, Sony a su par le biais d'un certain Hideo Kojima nous livrer une nouvelle petite perle exclusivité de la firme en la forme de Death Stranding un jeu mystérieux né sur les cendres d'un projet avorté de Kojima : Silent Hills et son teaser haletant et effrayant : P.T.

L'histoire est plutôt silencieuse mais peu après la sortie de Metal Gear Solid V son créateur Hideo Kojima décide de quitter définitivement le studio lui qui a contribué à la célébrité dudit studio grâce en grande partie à sa licence : Metal Gear et ses dérivés, les relations sont brouillées, l'ambiance au travail devient insoutenable, l'équipe subit des pressions, des restrictions et une ambiance de plus en plus pesante se crée menant inexorablement à la rupture entre la firme et le créateur que tout le monde ou presque acclame comme un génie.

Cependant tout ne s'arrête pas la et cette mésaventure permettra à Kojima d'en commencer une nouvelle avec Sony qui donne au créateur la chance incroyable de pouvoir avoir son propre studio : Kojima Production avec une grande partie de l'équipe qui l'a accompagnée chez Konami et une carte blanche totale pour réaliser ses ambitions et son futur jeu qui va prendre très vite la forme et le nom qu'on lui connait avec Death Stranding.

C'est en 2016 que la bête est enfin révélée lors de l'E3 le plus grand salon du jeu vidéo du monde, les premières images sont lâchées et la hype monte. Le héros se dévoile et il n'est pas inconnu car il s'agit ni plus ni moins que de Norman Reedus vedette de la série The Walking Dead, la surprise est grande et jusqu'à la sortie le jeu ne va pas cesser de nous surprendre encore et encore en révélant d'autres personnages joués par Mads Mikkelsen, Léa Seydoux, Guillermo Del Torro et j'en passe. Finalement le jeu sort novembre 2019 après une hype de plus en plus grandissante pour un résultat au final que l'on va analyser maintenant dans cette critique. Est-ce que Death Stranding n'est au final qu'un pétard mouillé ou un véritable nouveau chef d'oeuvre de Kojima ?

La conquête de.. l'est

Death Stranding nous avait quelque peu perdu au fil des différents trailers, que raconte l'histoire ? Comment sera le jeu ? A quel genre de jeu on aura affaire ? Les questions fusent pendant des années et finalement on en apprend plus sur le scénario :

Sam Porter Bridges joué par Norman Reedus est une sorte de marginal qui vit à l'écart de la société n'ayant de contact avec elle que par le biais de livraisons qu'il effectue de par les terres désolées mais néanmoins envoûtante et sublimes de ce qui était anciennement les Etats-Unis. Cependant son passé le rattrape un beau jour lorsqu'il se retrouve à nouveau en contact avec l'organisation gouvernementale Bridges dirigé par sa mère adoptive président actuelle des villes-unies d'Amérique qui va lui demander sur son lit de mort de réunir les différentes villes de ces terres pour tous les reconnecter mais aussi à terme aller vers l'est pour sauver sa fille Amélie retenue prisonnière par un groupe terroriste profitant d'un mystérieux mal : Le Death Stranding pour éradiquer de la Terre des villes entières et éliminer des milliers de vies humaines dans un but encore inconnu.

Sam accepte à contre coeur de réaliser cette mission poussé par Die Hardman main droite de l'ancienne présidente Strand et Deadman médécin proche de cette dernière aussi. S'ensuivra alors de nombreuses aventures pour Sam qui ne sera cependant pas seul car il profitera de la présence d'une technologie très spéciale nommée brise brouillard (BB) qui n'est autre qu'un bébé relié à son porteur et qui lui permet de détecter les échoués de mystérieuses forme de vies fantomatiques et invisible à l'oeil nu sans l'aide de ce dernier et qui ont comme but de ramener les vivants dans le monde des morts. Cependant ce ne seront pas les seuls ennemis à affronter dans cette aventure car d'autres plus humains se cachent dans l'ombre et attendent pour attaquer.

Voila pour le pitch de base de ce Death Stranding et si le début nous est expliqué à coup de grandes cinématiques plutôt impressionnantes comme sait le faire Kojima on peut voir par la suite que la narration se veut plus effacée, moins grandiloquente et que le jeu révèle sa véritable essence et son véritable but à travers une aventure beaucoup plus contemplative et douce plutôt qu'une expérience penchant vers l'action, une grande partie du jeu consistera ainsi à relier les différentes villes en les connectant grâce à une technologie unifiant le centre de Bridges avec le reste des habitations humaines qui pour la plupart prennent la forme d'abris à la Fallout et le parallèle et de mise car le jeu se déroule ici aussi dans un environnement post apocalyptique ou la pluie est un danger et ou la nature a repris ses droits. En conséquence les environnements peuvent vite apparaître comme vides ou dénués de vie cependant ce n'est pas un mauvais point parce que l'expérience n'en devient que plus apaisante et douce grâce à cela. Ce que l'on pourrait déplorer cependant c'est l'absence de possibilité de pouvoir écouter de la musique en se baladant en effet comme toujours avec Kojima la musique de la même manière qu'au cinéma prend une place importante dans l'aventure et la découverte malheureusement si il est bien possible de réécouter toutes les musiques dans son abri personnel impossible de se balader paisiblement en écoutant "Asylum For The Feeling" ce qui est d'autant plus triste lorsque l'on a fait Metal Gear Solid V qui permettait une telle possibilité, cependant ce léger point noir n'enlève rien vis à vis de l'expérience qui n'en reste pas moins jouissive.

D'ailleurs se balader entre les différents environnements ne constituera pas le seul point du jeu car très vite notre cher Sam va se retrouver au prise avec un grand ennemi en la personne de Higgs chef du groupe terroriste qui a capturé Amélie et qui voue une haine envers Sam. Higgs explique qu'il a compris ce qui se cachait derrière ce que l'on appelle le Death Stranding est-ce que c'est cette compréhension qui a pu pousser ce dernier à se radicaliser du jour au lendemain ? C'est ce que l'on verra au fil des chapitres du jeu ou du moins dans les premiers et derniers chapitres car si le jeu parvient à envoûter en alliant contemplatif et scénario Kojimaesque force est de constater que le jeu dispose d'un entre deux extrêmement long qui au bout d'un moment peut fortement lasser la faute à des livraisons de plus en plus longue, sans véritable intérêt et parfois vraiment lourde et ennuyante à faire ce qui est un problème car à ce moment la le jeu s'éloigne un peu trop de son arc narratif principal pour se perdre dans des passages que le joueur devra passer à contre coeur.

Malgré tout la galerie de personnages qui rendent plus vivants les différents chapitres du jeu parvient à captiver un minimum pour s'accrocher et voir la suite de l'aventure même si la majorité des chapitres s'apparentent plus à des flashback du passé permettant de mieux connaître ces personnages haut en couleur et aux traits caractéristiques plus ou moins bien pensés le tout menant petit à petit vers un final grandiose et horriblement touchant qui prendra à coup sur même les plus endurcis avec son final dramatique et ses révélations chocs comme seul Kojima sait les faire depuis maintenant une dizaine d'années et qui parviennent à remonter la note général du jeu après des heures qui pouvaient être potentiellement gâchées par un gameplay pas aussi bien pensé que son scénario

Delivery Man Simulator

Death Stranding est un jeu de livraison, on ne va pas y aller par quatre chemins le jeu est véritablement la pour nous mettre dans la peau de Sam qui enchaîne les livraisons à différents endroits de la map occasionnant d'incessants allers-retours c'est le coeur même de l'expérience et même si celle-ci change de temps en temps pour lorgner vers l'infiltration ou l'action pure l'essentiel de l'aventure se basera sur cette mécanique de livraison et c'est ici que l'on rentre dans le gros point noir du dernier né de Kojima.

En effet cette mécanique de toujours livrer chaque nouvel objet ou matériau ou même humain d'un point A à un point B rappelle sans aucun doute les quêtes Fedex que peuvent proposer bon nombre d'autres jeux bien connus pour renforcer leur durée de vie et comme exemple j'en prendrais un qui me vient directement à l'esprit avec les jeux de la team RGG et leurs licences Yakuza et Judgment qui ont tous le même défaut de ralentir l'aventure parfois avec de telles quêtes. Mais la ou la team RGG l'impose comme une excuse pour renforcer la durée de vie de leurs softs Kojima prend le parti d'en faire l'élément principal de son jeu et si les 10-20 premières heures peuvent tenir la route et nous captiver ainsi que nous envoûter notamment grâce aux environnements et à l'ambiance qui se dégage de ceux-ci mais très rapidement le jeu s'avère tourner en rond et ennuie le joueur notamment à cause de certains environnements difficile à pratiquer et menant le joueur vers des chutes mortelles, des pertes d'équipements voir même des cargaisons importantes à livrer et impossible à récupérer quand celle-ci se retrouvent emportées dans le courant mouvementé d'un fleuve obligeant le joueur à charger sa dernière sauvegarde et faisant perdre un précieux temps en plus de retirer petit à petit le plaisir de jeu.

Parlons d'ailleurs du gameplay, Kojima a su améliorer ce dernier au fil de ses jeux et l'évolution se ressent fortement, Metal Gear Solid V à défaut d'avoir un scénario aussi solide que les précédents parvenait à nous offrir un gameplay parfait comme rarement un jeu parvient à en livrer un encore aujourd'hui, les possibilités étaient extrêmement nombreuses dans les approches et renouvelait sans cesse l'expérience de jeu. Avec Death Stranding on pourrait penser que le papa de la série des MGS se serait encore amélioré cependant c'est tout l'inverse et même si ce nouveau bébé se veut réaliste dans son gameplay avec la prise en compte du poids que Sam porte durant ses livraisons cependant cette mécanique crée un point noir important du jeu c'est la maniabilité de Sam et l'extrême sensibilité de ce dernier car oui tomber, glisser, perdre du temps à traverser une étendue de roches et j'en passe seront monnaie courante dans le jeu on se retrouve même souvent coincé dans le jeu à tenter de dompter cette sensibilité et ce gameplay qui peut en refroidir plus d'un et baisser le plaisir et le fun que devrait procurer le jeu.

Heureusement cependant le jeu permet plus ou moins rapidement d'utiliser des véhicules divers et variés passant de la moto au camion on peut voir différents modèles permettant de traverser plus ou moins facilement les étendues post apocalyptique du jeu ce qui facilite grandement certains déplacements mais qui la encore peut s'avérer redondant dés lors que l'on arrive sur des sentiers escarpés en dehors des routes avec une moto qui s'arrête au moindre choc avec un petit cailloux, certes le jeu n'a pas la même finition qu'un jeu de course ou que la maîtrise d'un véhicule à la GTA mais au moins éviter ces arrêts intempestifs au moindre choc aurait été une bonne idée tant ils font perdre du temps et rendent inutiles l'utilisation de tels véhicules. De manière générale on peut donc voir que le jeu est mal équilibré avec son gameplay cependant on peut tout de même noter la présence de bonnes idées avec les tyroliennes, les échelles, les cordes et j'en passent qui permettent de plus facilement traverser certain endroits qui autrement seraient impossible d'accès. Une aide précieuse et inestimable qui pourra faciliter l'expérience dés lors qu'on dispose d'un tel objet dans notre inventaire pour nous sortie de situations fâcheuses. Et cette aide ne viendra pas forcément que de nous joueurs mais et c'est la que Death Stranding prend une toute autre dimension et s'impose comme un nouveau genre à part entière c'est que cette aide peut venir d'autres joueurs du monde entier.

Tends la corde vers ton prochain

Bien au delà de son gameplay parfois désagréable et de certains passages ennuyants et un peu moins intéressants Death Stranding permet de faciliter son expérience de "strand game" grâce à une feature extrêmement intelligente : Celle de permettre à tout autre joueur dans le monde entier de pouvoir apporter sa pierre à l'édifice dans l'avancée de la quête de Sam en facilitant ses déplacements en posant des échelles, des cordes et autres constructions comme des ponts, des batteries et j'en passe afin que le trajet soit le plus facile possible par la suite et cette idée de génie a un véritable impact sur l'expérience car le fait que chacun puisse impacter le monde de l'autre grâce à ces constructions permet de ressentir un véritable lien entre les différents joueurs qui s'entraident et se remercient par le biais de "likes" félicitant chaque construction utile et utilisée par un autre. Le jeu prend dés lors une autre dimension plus sociale et même si Sam se retrouve seul dans ses pérégrinations il pourra parfois interagir indirectement avec d'autres Sam que ce soit de manière matérielle ou même auditive parfois. L'expérience est vraiment originale et apporte vraiment quelque chose d'utile ce que l'on ne peut que féliciter de la part de Kojima. Heureusement cependant Sam pourra interagir aussi avec des personnages beaucoup plus réels dans son aventure et la aussi il faut féliciter la technique du papa de MGS

Comme au cinéma

Le jeu on l'a vu nous permet de contrôler un Sam Porter portant les traits de Norman Reedus un véritable acteur en chair et en os qui se retrouve parfaitement modélisé de manière surprenante et très réaliste dans le jeu et ce grâce à un moteur graphique nommé : Decima qui ne vous dit peut-être rien comme ça mais qui est le moteur créé et utilisé par Guerilla Games dans leur jeu Horizon Zero Dawn et dés lors on peut voir que le moteur ne rigole pas car le réalisme et le travail est bluffant que ce soit Norman Reedus, Mads Mikkelsen, Guillermo Del Torro et j'en passe chaque visage est reproduit à la perfection avec un réalisme bluffant, l'animation en temps réel est incroyable et on a fortement l'impression de se retrouver face à un film durant certaines parties du jeu ce qui n'est pas une surprise quand on connait les penchants de Kojima vers le cinéma et la mise en scène ainsi que l'utilisation de techniques propres au cinéma dans ses jeux. Le moteur se prête donc fortement à cet exercice entre les mains du célèbre développeur et autant dire que le tout sert parfaitement l'expérience de jeu et le plaisir que l'on prend à dérouler cette galerie de personnages modélisés à la perfection avec leurs personnalités et leurs caractéristiques (Mention spéciale à Heartman joué par Nicolas Winding Refn que j'ai trouvé parfait dans son chapitre).

But I'll Keep Coming

Enfin passons à présent en revue la bande originale du jeu et plus précisément de l'utilisation de la musique au sein du jeu car non content d'être un fana de cinéma Kojima est un mélomane qui adore donner vie à ses scène avec des musiques puissantes et prenantes venant compléter l'expérience de jeu (Le combat final de Old Snake contre Liquid Ocelot dans Metal Gear Solid 4 sur la musique "Snake Eater" de Metal Gear Solid 3 que de frissons). Et bien une fois de plus Kojima réitère l'expérience avec des OST douces et envoûtantes à l'image du jeu et portées en grande majorité par le groupe Low Roar qui a clairement passé un accord pour que tout leur album soit dans le jeu ! Cependant n'oublions pas la présence de musiques de Silent Poet ou de Gen Hoshino qui sont vraiment très bonnes et même surprenantes au niveau du ton face aux autres comme Pop Virus de Gen Hoshino malheureusement comme j'ai pu le dire au début de cette critique il est impossible d'écouter ces dernières durant vos livraisons mais seulement dans votre propre abri/chambre ce qui est quelque peu triste mais pas horrible dés lors que l'on peut grâce à la Playstation 4 écouter la musique que l'on veut in game par le biais de Spotify ce que je vous conseille de faire si vous voulez rendre vos déplacements plus vivants et captivant avec la playlist de votre choix !

Conclusion :

Death Stranding a mit du temps à sortir après les nombreux déboires de Kojima mais finalement la bête nous est lâchée et elle peut s'avérer quelque peu décevante, du moins en son milieu car même si au bout d'un moment le jeu peut ennuyer et devenir répétitif force est de constater que son scénario puissant et percutant comme rarement un jeu n'a pu l'être (préparez vos mouchoirs pour la fin c'est un conseil) parviennent à rattraper entièrement l'expérience générale du jeu qui s’essouffle durant les chapitre 5 à 10 plus lents et ennuyants que le début du jeu mais dés lors que l'on a passé ce moment de creux le jeu reprend du poil de la bête et nous enchaîne à grand coup de poings avec des scènes puissantes et des révélations à gogo plus ou moins claires et détaillées (voir trop parfois ?) et un final à la hauteur des attentes. Accompagné par un casting de choix et une bande son envoûtante on pardonne facilement les quelques écarts et défauts du jeu pour se laisser finalement prendre dans cette expérience originale toute droit sortie du cerveau d'un maître du jeu vidéo en attendant avec impatience une suite qui parviendrait à tout détruire pour construire quelque chose de nouveau et de différent on l'espère du moins bien loin des rébarbatives livraisons à long terme de ce Death Sranding !

Stark1901
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le 25 déc. 2019

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Nico Vetti

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