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Tribune libre
Etant donné le sujet un peu pointu et ne faisant pas partie du fantastique monde de la Formule 1, je laisse la parole aux vrais professionnels : "Dites donc, y'en a qui ne vont pas dans le mur"...
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le 17 oct. 2010
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F1 2010 par Jonathan_Suissa
A en croire Le jeu comme symbole du monde d'Eugen Fink, la différence entre le réel et sa reconstitution ludique tient à ce que les règles du jeu sont en perpétuelle découverte dans le premier cas, tandis que dans le second, il est possible d'en maîtriser les tenants et aboutissants dans un temps fini. Tout comme Cauchemars d'Outre Tombe (cf ma critique de cet add-on à Red Dead Redemption), cette simulation de formule 1, la plus « complète » et « réaliste » à ce jour, est donc surtout un jeu. Pour s'en convaincre, il suffit de commencer à jouer en mode « facile », c'est-à-dire avec les aides de pilotage, en particulier l'aide au freinage (sans laquelle nous étions perdus). Il suffira donc de laisser le bouton d'accélération enfoncé et de gérer les virages. Mais cela implique de suivre les trajectoires idéales dessinées sur la piste : si l'on s'en écarte, on n'accélére plus assez ; si on tente de les approcher en les croisant, les roues ne sont pas dans la position optimale par rapport au freinage effectif à cet endroit. L'œil vissé sur la bande colorée dessinée sur la piste, le joueur enchaîne des virages à 250 km/h. C'est cela, être un champion à F1 2010 en mode « facile ».
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le 13 août 2011
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