Final Fantasy VII: Remake
7.5
Final Fantasy VII: Remake

Jeu de Square Enix (2020PlayStation 4)

(Je précise que je ne suis pas fan du jeu Final Fantasy VII original auquel je n’ai d’ailleurs jamais joué.)


Qui a eu l’idée de confier les rênes du remake d’un pilier de l’histoire du jeu vidéo à Nomura ? Tetsuya Nomura, le scénariste de Final Fantasy VII Remake, est connu pour sa série vidéoludique Kingdom Hearts. Si vous ne connaissez pas, demandez à un ami fan de Kingdom Hearts de vous raconter l’intrigue principale de chaque jeu (accrochez-vous, il n’y en a pas que trois) et vous comprendrez très vite pourquoi c’est mauvais signe pour un récit de voir le nom de cet auteur…


Un remake (littéralement « refaire ») consiste en une réinterprétation de l’œuvre originale répondant à la question suivante : comment serait cet ancien jeu s’il sortait à notre époque, avec un game design remis au goût du jour ? Un remake ne nécessite donc pas d’avoir joué au jeu original pour qu’on en comprenne les tenants et les aboutissants, car ce n’est pas une suite.


FF VII Remake, comme son nom ne l’indique pas du tout, n’est pas un remake de FF VII. C’est le prologue de FF VII (la ville de Midgar) sauce fanfiction en roue libre (du classique Nomura). Et c’est une réécriture qui lance tant de références (comme des crottes de nez) au jeu original que ce nouveau récit n’a d’intérêt QUE si l’on connaît l’histoire du FF VII de 1997.



FF VII Retold (FF VII raconté… autrement)



Pour rappel, FF VII s’ouvre sur une opération terroriste à laquelle notre héros, Cloud Strife, participe comme mercenaire. Cloud est un ancien SOLDAT (organisation militaire composée uniquement de membres d’élite) première classe. Il a été enrôlé dans cette opération par Tifa, son amie d’enfance, qui appartient au groupe éco-terroriste AVALANCHE. La mission consiste à faire exploser un réacteur mako (équivalent d’une centrale nucléaire dans notre monde, la radioactivité en moins) car l’énergie mako est le sang de la planète et celle-ci finira bientôt épuisée à force d’être surexploitée par la Shinra (organisation qui détient tous les réacteurs mako, ce qui lui confère une position dominante dans le monde entier et tout particulièrement dans la ville de Midgar où nous nous trouvons).


FF VII commence donc en nous mettant du côté d’un groupe terroriste sur le point de faire exploser un réacteur mako — en d’autres termes : sur le point de priver d’électricité d’innombrables foyers (et pas seulement les plus aisés, les plus pauvres également). Angle d’attaque original plaçant le joueur dans une position morale très délicate. Mais pas dans FF VII Remake, car dans ce jeu, en fait la Shinra est au courant depuis le début et décide elle-même de faire encore plus de dégâts (beaucoup plus de dégâts) que la bombe posée par le groupe AVALANCHE ! Ainsi les pauvres gens habitant non loin du réacteur mako voient leurs habitations détruites. Les membres du groupe AVALANCHE ont la gorge serrée d’avoir causé tant de désolation… mais le joueur, lui, a été conforté dans l’idée que c’est la Shinra qui est vraiment très méchante et machiavélique, pas nos héros. Cette réécriture antagonisant davantage la Shinra et déresponsabilisant nos héros (vis-à-vis du malheur des habitants de Midgar) est une façon de lisser inutilement le matériau d’origine… et ce n’est qu’un minuscule exemple qui, si vous avez joué au jeu original (qui était plus mature), vous donne peut-être une toute petite idée des opérations de lissage apportées aux péripéties qui suivront.


La suite des événements réécrits et aseptisés annule tous les drames qui ont fait la renommée de FF VII. C’est stupide car il n’y a aucun impact émotionnel (soulagement) pour les nouveaux joueurs. On se demande pourquoi, bon sang, pourquoi ce jeu ne délivre pas ce qu’il promet dans son titre (un remake) ? L’histoire présentée telle qu’elle est dans ce jeu aurait été bien plus intéressante (à défaut d’être bonne) en new game+, une fois que le joueur connaît l’ampleur des drames qu’il souhaiterait éviter dans une réécriture fanfic.


Par ailleurs, je n’ai pas évoqué les serpillères volantes gardiennes du destin (sic) mais je tiens à vous faire partager une interprétation intéressante : métaphoriquement on peut les voir comme une représentation des fans de FF VII refusant (bêtement et méchamment) que les événements de FF VII Remake dévient trop du jeu de 1997. Cela donne un autre éclairage sur le fait que les héros du jeu se battent plusieurs fois contre les serpillères…



Des personnages très creux



Si la comparaison obligatoire avec le jeu d’origine était le seul problème, ce ne serait pas la mer à boire. (Après tout, grâce à des amis ou simplement en naviguant sur la toile, on peut facilement se renseigner sur les personnages et sur l’intrigue de FF VII.) Seulement, pour ceux qui connaissent FF VII, c’est là que le bât blesse : la réécriture n’est juste pas à la hauteur.


Par exemple, si le caractère de la pure Aerith a été remanié et semble apporter un poil de relief au personnage (à défaut de le rendre plus attachant), la personnalité de Tifa a été tant lissée qu’elle n’est plus que l’ombre du personnage original : la voilà devenue une pépée niaise très générique, une véritable waifu (stéréotype de la petite épouse fictive idéale dans la culture populaire nippone).


Poursuivons avec les soi-disants personnages secondaires « étoffés », je parle en l’occurrence du trio Biggs, Jessie et Wedge. Biggs est un maniaque de l’hygiène et il en pince pour Jessie. Voilà, je vous ai vraiment tout dit sur la personnalité de Biggs. Je vous préviens, ça va être aussi rapide — pardon ! je veux dire « étoffé » — pour les deux autres. Jessie est une comédienne qui brûle ardemment de désir pour notre blondinet ex-SOLDAT (tant pis pour Biggs). Enfin, Wedge est gros donc (logique !) il aime manger, il a besoin de manger avant de partir en mission (il dit que s’il n’a pas mangé il devient inutile) et il a mal au ventre quand il est stressé (vous aurez le plaisir de l’entendre s’en plaindre en mission) ; ah, et il aime beaucoup les chats. Voilà voilà voilà…


Combien d’années de développement a-t-il fallu pour arriver à ce niveau de profondeur ? On se le demande.


Comme il fallait meubler ce jeu — qui, rappelons-le, ne couvre que le prologue de FF VII mais dure presque aussi longtemps que l’aventure entière du jeu original — les créateurs ont eu le bon goût d’ajouter des personnages inutiles et parfaitement têtes à claques, avec une personnalité aussi complexe que l’équation 0+x=0. (Passons.)



Un long et lent jeu couloir



Ainsi, nous nous baladons quarante heures dans des bidonvilles, des égouts et autres lieux magnifiques de Midgar sous la forme d’une succession de couloirs, du début à la fin du jeu. Parce que oui, FF VII Remake est un vrai jeu couloir — malheureusement fait de la pire manière qui soit.


L’aventure proposée est souvent frustrante car elle est fréquemment, immuablement et ASSIDÛMENT ponctuée de ralentissements : on ne compte plus les couloirs vides (des temps de chargement masqués très mal faits ?), leviers à actionner (il faut maintenir la touche sinon Cloud, ex-SOLDAT première classe, n’a pas la force d’abaisser la petite poignée), phases de marche forcée par le gameplay (même dans certains moments où il est quand même question de vie ou de mort !), cinématiques totalement superflues (qui empêchent d’avancer alors qu’on pousse désespérément le joystick vers l’avant), missions annexes sans aucun intérêt (chercher des chats dans le bidonville…), missions principales étirées à l’extrême (deux heures dans le cimetière des trains alors qu’on est censé être dans un état d’esprit de course contre la montre…) quand elles ne sont pas inventées de toute pièce pour allonger la durée du jeu (voler un homme dans le coma, c’est vrai que ça manquait au jeu original). Tout cela manque cruellement de rythme.


Le level design oscille entre passable dans les couloirs et pas terrible (pour ne pas dire mauvais) dans les quelques chapitres où l’on peut se balader un petit peu plus librement pour « profiter » des quêtes annexes. L’on se rend compte que les missions annexes sans âme (aller du point A au point B puis revenir au point A) sont comme un aveu des développeurs : le level design est tellement peu intuitif qu’il n’y a qu’en faisant plein d’allers-retours pour apprendre le chemin par cœur qu’on parvient à se repérer. (Les joueurs moins patients se contenteront de souvent dégainer la carte.)


C’est incroyablement dommage de ne pas avoir eu droit à une modélisation de Midgar comme un monde ouvert à explorer, à la façon de Londres dans Vampyr par exemple (jeu de 2018 développé par Dontnod, studio infiniment plus modeste que Square Enix ; je prends l’exemple de Vampyr car il montre bien qu’on peut faire un monde ouvert à base de couloirs et bloquer facilement les accès au joueur si on veut l’obliger à passer par tel ou tel endroit, sans que cela ne brise l’immersion… à la condition que le level design soit assez bien conçu !). Du fait de progresser dans des niveaux (chapitres) indépendants les uns des autres, on ne se rend absolument pas compte de la taille pourtant imposante de la ville. Et on aurait aimé voir d’autres quartiers que deux bidonvilles (déjà vus), Wall Market (déjà vu) et (nouveauté) un petit quartier bourgeois mort (eux aussi ils ont un couvre-feu la nuit)…



Quelques qualités indéniables



Heureusement, FF VII Remake présente des qualités. D’abord, on note que certains parlent de graphismes sublimes… si on aime voir des bidonvilles, des terrains vagues, des égouts, des infrastructures de maintenance et autres lieux enchanteurs en ultra haute définition et si on ferme les yeux sur les textures dignes d’un autre temps, nous ramenant à l’époque de la première PlayStation (exemple concret : la grande porte de la chambre de Cloud sur laquelle Tifa s’adosse fait vraiiiment tache), alors oui, on peut trouver que c’est très beau.


Il paraît que la recomposition de la bande originale est un sujet qui a divisé les fans. (N’ayant jamais baigné dans le culte Final Fantasy, je n’éprouve pas de nostalgie pour les musiques du jeu de 1997.) Si l’on omet les horripilants remixes à collectionner pour le jukebox, dans l’ensemble la bande originale de FF VII Remake est très bonne, fidèle à la réputation des jeux Final Fantasy, ne décevant que les serpillères puristes réactionnaires.


Cela dit, le véritable point fort de ce jeu, c’est son gameplay en combat et, globalement, la mécanique entourant le système de combat.


Le gameplay est somme toute assez simple (contrairement aux longues explications floues du didacticiel) mais il peut être rebutant car il demande un temps d’adaptation. En effet, il faut s’habituer à l’idée que l’objectif en combat est de continuellement remplir des jauges car celles-ci permettent de faire des trucs. Les attaques de base ne servent pas tant à infliger des dégâts aux ennemis qu’à remplir ces précieuses jauges pour accéder à des actions plus intéressantes (attaque puissante, sort, utilisation d’objet, attaque ultime et invocation). Aussi, taper sur un ennemi en exploitant sa faiblesse élémentaire permet de remplir plus rapidement sa « jauge de choc » afin de le mettre en PLS pour lui rouler dessus en paix pendant quelques secondes.


Une fois qu’on s’est habitué à cette mécanique, les combats peuvent devenir véritablement plaisants car toutes les actions s’enchaînent avec une fluidité très agréable manette en main. Le menu de combat (la « pause active ») qui ralentit énormément le temps offre le loisir de contempler nos personnages en plein mouvement, ce qui est un bonus appréciable.


Les armes et les matérias récupérées au cours de l’aventure peuvent être améliorées au fur et à mesure pour renforcer et spécialiser les personnages, permettant au joueur de varier un peu le style de jeu en combat. Pour autant, les personnages n’offrent pas tous le même potentiel versatile : Cloud est le plus polyvalent (attaque vite et fort physiquement et/ou magiquement, avec une bonne défense), suivi de Barret (selon l’arme équipée, fait un bon tank en soutien à distance ou un bon tank offensif mais lent au corps à corps) puis de Tifa (sa vitesse d’attaque permet de vite remplir les jauges, ce qui est utile pour harceler l’ennemi et/ou pour soutenir efficacement les alliés) ; Aerith est celle qui offre le moins d’options (le meilleur choix oscillant entre mage super efficace et mage super efficace).


FF VII Remake se révèle sous son meilleur jour lors du new game+, ou plus précisément lorsque le joueur maîtrise le système de combat et peut allègrement sauter toutes les cinématiques, rendant ainsi le rythme du jeu plus digeste.



Un persistant goût d’inachevé



Malgré ces bons points, on ne peut s’empêcher d’avoir l’impression de jouer à un jeu inachevé et ce pour différentes raisons.


Bien que le système de combat (très) lointainement inspiré du jeu de 1997 soit plutôt réussi (on sent qu’il y a là la matière pour faire un excellent gameplay), en l’état, la formule reste très perfectible. Des maladresses entachent le plaisir de jeu : l’esquive peu utile (car elle n’offre aucune frame d’invulnérabilité, peu importe la précision du timing), le système de verrouillage de la cible indissociable du contrôle de la caméra, l’absence totale d’initiative de l’IA alliée même en cas de coup dur, les combats aériens foireux (ils sont rares, heureusement), des combats de boss peu intéressants (véritables « sacs à PV »), l’obsolescence du menu « objets » (puisqu’il est purement impossible d’utiliser des objets lors du new game+ en mode difficile), etc. On ressent aussi des manques : pas de grandes possibilités stratégiques avec les matérias (en dépit de leur nombre impressionnant), impossibilité de donner des ordres tactiques à l’IA (ou ne serait-ce que définir une formation par défaut), exploitation paresseuse des touches de la manette soulignée par le nombre très limité de raccourcis en combat (seulement quatre compétences et/ou sorts) et, surtout, totale absence d’attaques ou d’enchaînements spéciaux en coopération (alors que le style du jeu s’y prêterait parfaitement, ça crève les yeux).


Évidemment, le fait que FF VII Remake se limite au prologue de FF VII commande à la plupart des défauts du jeu. C’est comme si on jouait à une très longue démo. Pour un JRPG, on s’attend à bien davantage : pour commencer d’autres lieux (l’intégralité de ce jeu se déroule dans diverses zones de Midgar qui, honnêtement, est tout sauf une ville charmante, même en HD), d’autres adversaires (que des robots, des humains ou des serpillères moches), mais aussi d’autres personnages jouables (il y en a seulement quatre et non, Nanaki n’est pas jouable), la possibilité de choisir les trois membres jouables de l’équipe au cours de l’aventure (ici ce n’est possible que pour relever des défis optionnels, au cours d’un seul chapitre), etc.



Une note sur la VF



FF VII Remake n’a pas été pensé pour une audience internationale : c’est un jeu japonais et l’expression orale et corporelle des personnages principaux ne manque jamais de le rappeler. Cela est d’autant plus vrai avec nos trois waifu (Tifa, Aerith et Jessie) qui ne ratent pas une seule occasion de taper la pose (façon « figurine à collectionner ») ou de faire une mimique kawaii (mignonne) à la c…


Contrairement à ce que j’ai pu lire en divers endroits sur la toile, je trouve que la version française du jeu est de bonne facture. Prenons l’exemple de Barret qui est le plus souvent cité : il est insupportable à beugler tout le temps, oui, et alors ? C’est normal, c’est le personnage qui est ainsi. Le reproche n’est pas à faire à la voix française mais à l’écriture du personnage de Barret qui est un archétype exaspérant (c’est juste qu’avec une langue exotique comme le japonais, il y a une mise à distance qui rend le pénible étonnamment tolérable). Le gros problème pour nos personnages principaux et secondaires, c’est que la direction de la VF a essayé de continuellement se calquer sur la version japonaise. Il y a eu un beau travail de traduction mais aucun effort de localisation (c’est-à-dire aucun travail d’adaptation des dialogues et des intonations pour le public visé, à savoir les joueurs francophones). L’exemple le plus criant (mais c’est loin d’être le seul exemple…) est qu’en Occident, ou tout du moins en France en tout cas, quand on acquiesce, on ne ponctue pas son grand hochement de tête d’un fort « Hm ! » d’approbation à chaque fois (c’est soit un bon hochement de tête, soit un « hm ») et on n’accompagne pas chaque geste qu’on fait d’une onomatopée parce que c’est hyper, méga, giga, incroyablement LOURD. Ça passe peut-être en japonais (et encore, là c’est un jeu vidéo avec des personnages modélisés et animés de façon quasi réaliste, on n’est pas dans un anime japonais aux dessins et aux plans statiques) mais — avec tout le respect que j’ai pour les acteurs qui ont prêté leur voix et pour l’équipe de direction artistique car ils ont quand même accompli une tâche considérable quoi qu’on en dise — ce type d’interprétation est impropre en français.



Conclusion



Pétri dans ses intentions ambiguës (le titre ne mettant pas en garde les novices quand au fait que le jeu est adressé seulement au fans qui, eux, risquent tout simplement de rejeter cette réécriture niaise), dans ses limitations (conduisant aux défauts inhérents : manque de variété des lieux et des ennemis, manque de personnages jouables) et dans ses innombrables pirouettes pour gagner du temps de jeu (conduisant aux défauts qui étaient évitables : le rythme assommant, les personnages vides, la réécriture plate), FF VII Remake, le prologue au goût de démo, est une imposture.


Comme avec nombre de jeux édités ces dernières années, le studio Square Enix tente de trouver une énième formule magique à base de nostalgie pour lui garantir des rentrées d’argent régulières dans les années à venir. Avec ce rythme de progression affligeant de mollesse, on peut estimer qu’il faudra débourser grand minimum 400 euros voire davantage pour obtenir (en kit) l’aventure complète de FF VII Remake, sans jamais retrouver ni même recroiser l’esprit du jeu original.


Si vous êtes fan de FF VII et que vous avez l’occasion d’essayer cette fanfiction GRATUITEMENT, n’hésitez pas à lancer le jeu, ne serait-ce que pour la cinématique d’introduction qui est excellente. Vous serez attendri de retrouver vos personnages d’antan joliment modélisés en haute définition et animés de façon très fluide. Sinon, passez votre chemin (ou visionnez des vidéos sur le net), vous ne manquerez pas grand-chose.


La seule raison pour laquelle ce jeu récolte des critiques dithyrambiques un peu partout, c’est son nom : Final Fantasy VII (Remake), synonyme de fascination et de nostalgie. Autrement, les gens l’auraient jugé pour son seul contenu : une histoire à peine entamée et mal écrite, doublée d’une expérience de jeu correcte mais au rythme pénible. Aussi, je tiens à juger ce jeu pour ce qu’il est : une vilaine escroquerie de la part de Square Enix, ni plus, ni moins.

Olucubration
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le 28 avr. 2021

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