Final Fantasy XV
6.5
Final Fantasy XV

Jeu de Square Enix et Hexa Drive (2016PlayStation 4)

Vous qui lisez ces lignes, vous avez certainement déjà attendu un jeu. Dites-vous, que dans le cas de Final Fantasy XV, certains attendaient depuis dix ans. Certes, Final Fantasy XV n’est pas le Final Fantasy Versus XIII annoncé en 2006, mais difficile de parler de ce jeu sans y penser. Véritable cas d’école dans le monde du jeu vidéo, Final Fantasy XV ne mettra certainement pas tout le monde d’accord, et à vrai dire, est-ce qu’on sait au moins à quoi on fait face ? Bien entendu on va tenter de répondre à cette question, au milieu de tant d’autres. Un jeu développé dans des conditions aussi anarchiques aussi longtemps, ça ne fait malheureusement pas espérer, ça crée seulement de l’inquiétude. À juste titre ? Dans tous les cas, Final Fantasy XV se sera fait attendre, et son arrivée aura été remarquée.



Une histoire d’héritage



Vous incarnez Noctis, le fils du roi du Lucis, région dans laquelle se déroulera votre aventure. Aventure qui se déroulera dans un monde en guerre, malgré un armistice qui était censé apporter la paix, tout ne se déroulera pas comme prévu, et vos noces pour la diplomatie risquent de prendre un tournant plutôt inattendu. Le conflit entre Lucis et Niflheim, les deux nations en guerre n’est pas vraiment développé dans le jeu, et si vous comptez comprendre le peu qui est expliqué, vous allez devoir regarder Kingsglaive, le film d’animation qui fait office de prologue. Des bouts de celui-ci servent même de cinématiques au début, et étant donné que Final Fantasy XV semble vouloir être une œuvre cross-media, il est difficile de ne pas vous conseiller de regarder Kingsglaive, ainsi que la série animée Brotherhood qui vous présentera les protagonistes. Prompto, le jeune survolté passionné de machines, Ignis, parfait majordome, pilote et cuisinier, ainsi que Gladiolus, garde du corps idéal aux muscles saillants et au caractère enflammé. Au milieu de tout ça, Noctis est un prince manquant de maturité, que la vie aura fait grandir bien trop vite. Mais si l’aventure a un point fort, ce sont bien les personnages qui font vivre le jeu. Vous vous embarquez pour un road-trip avec vos amis, et vous allez vous attacher à eux. Les personnages sont souvent bien écrits, et même si l’histoire ne leur fait pas honneur, fautes aux nombreuses coupes qu’on risque de voir comblées à l’aide de DLCs à foison, le sentiment du voyage avec des potes est présent.
Certains seront déçus par l’absence de personnages féminins dans le cast, chose compréhensible. Néanmoins les quelques femmes présentes se révèlent être indispensables. Luna, la promise de Noctis, veillera sur le groupe et sur l’avancée de sa quête, quitte à mettre sa vie en danger. Cindy la mécanicienne est la meilleure amie de votre voiture, et du côté de l’empire, attendez vous à vous faire botter le train par Aranea qui vous fera très certainement suer. Au final on se retrouve à faire du camping, à prendre la pose devant les paysages les plus beaux, ou à s’échauffer sur la plage de sable chaud, le tout accompagné de répliques parfaitement sublimées par la VF de qualité dont profite le jeu. En effet, vous aurez le choix entre la VO en Japonais, ou les différentes localisation en Anglais, Français ou Allemand. Le budget était présent, et ça se sent. Jouer en VF est un véritable bonheur, et contribue à l’immersion plus que jamais étant donné qu’on se sépare facilement des sous titres pour ceux qui parlent seulement Français. La VO profite de doubleurs plutôt connus, mais la VF n’est pas à plaindre non plus de ce côté. On pourra par exemple retrouver la voix de D.va dans Overwatch, ou encore celle de Bolin de La Legende de Korra. Dans tous les cas, vous profiterez d’un doublage de qualité, que ce soit pour le jeu ou pour le film Kingsglaive. Les dialogues participent grandement à l’attachement qu’on vouera aux personnages, et on se rend ainsi compte de l’écriture particulière des quatre protagonistes qui ne laisseront paraître certaines facettes de leur personnalité seulement lors de moments privilégiés, même si ils parlent en permanence durant le voyage, pour votre plus grand plaisir.
Mais le gros problème de l’histoire et de son écriture, c’est qu’on ressent bien trop que le développement du jeu a été chaotique et que des coupes ont été faites. Par conséquent, le sentiment de menace qui devrait régner dans un monde en guerre est absent, certaines situations sont à la limite de l’absurde, et les quelques plots twists semblent irréels tant ils ne collent pas avec ce qu’on sait de l’histoire de Final Fantasy XV. Le chancelier de la nation ennemie se ballade librement dans un pays en guerre, Noctis est à peine chassé par l’ennemi qui possède une armée bien plus conséquente que la votre, certains personnages partent sans raison, pour revenir ensuite sans aucune explication, et malheureusement, mêmes certains moments qui auraient pu être émouvants tombent à l’eau. En effet, difficile d’éprouver quoi que ce soit suite à la mort d’un personnage qu’on a vu une dizaine de secondes quelques heures auparavant, même si les personnages semblent effondrés. On sait d’ailleurs que les DLCs se concentreront sur les personnages principaux, et on se doute bien que certains trous seront remplis par ces histoires en plus qu’il vous faudra payer en plus du jeu.
Au final, une histoire qui avait tout pour attiser la curiosité des joueurs se retrouve à patauger difficilement, entre les trous de l’intrigue et les thèmes à peine abordés. Certains personnages sont même totalement oubliés, comme la plupart du casting de Kingsglaive qui n’est même pas mentionné dans le jeu. Heureusement, la mise en scène sauve pas mal les meubles. Les situations étant aussi absurdes qu’épiques, on se retrouvera souvent à être pris dans le feu de l’action grâce aux visuels prenants et à la bande son fantastique. Les affrontements avec les dieux pètent comme pas permis, et même si absurde est parfois un mot léger pour décrire certaines situations, on se retrouvera scotchés devant les évènements, avant de réfléchir cinq minutes et de se dire, “merde, ils ont vraiment fait passer ça ?”. Toutefois, il faut le dire, la fin vaut le coup, et malgré son côté tire-larmes assumé, elle boucle parfaitement l’aventure remplie de trous dont on a pu profiter.



À tombeau ouvert



Si le jeu se démarque du reste de la série par une caractéristique, c’est très certainement son open-world. Lorsqu’on se rend compte du succès d’un GTA V ou d’un Witcher 3, quoi de mieux que de prouver au reste du monde que Final Fantasy aussi peut s’en tirer avec un monde ouvert à explorer comme on veut ? Après Metal Gear Solid V, c’est au tour de la licence phare de Square Enix de copier les super-productions de l’ouest et de laisser le joueur se ballader sur une map immense. Malheureusement, on se retrouve vite face à un des problèmes principaux des jeux du style.
La map a beau être immense, à moins de chasser le moindre minerai, elle ne sert pas à grand chose. Une fois le plaisir de la découverte passé, on réalise que l’exploration n’est pas aussi plaisante que prévue. La voiture, moyen de transport principal (totalement customisable), est fixée sur la route, et impossible d’en sortir. De plus, même si on peut améliorer sa vitesse à l’aide de quête annexes, le carrosse traine pas mal. Alors certes, admirer le paysage est plutôt plaisant, d’autant plus qu’on peut écouter une sélection de morceaux issus des anciens Final Fantasy sur la route. Les personnages continuent à bavarder de sujets divers, et on peut se retrouver face à une quête annexe par hasard. Mais le sentiment de liberté s’en retrouve affaibli, et on a vite fait de privilégier le voyage rapide, qui remplacera le trajet en voiture par un chargement rarement moins long que le trajet en lui même. Une fois le jeu terminé, vous pourrez également transformer votre voiture en véritable aéronef, mais on aurait préféré avoir ça avant.
Le meilleur moyen de transport se révèle alors être le chocobo, qui en plus d’être bien plus rapide que vous, peut aller n’importe où, même si il n’est pas disponible dès le début. De plus, il montera de niveau au fur et à mesure que vous vous en servez, et finira même par vous assister en plein combat. Une fois assez expérimenté, vous pourrez même participer aux courses de chocobos, une des activités phare du continent. Si vous n’êtes pas très course, vous pourrez également pêcher pour prévoir la nourriture du soir, ou encore aligner des contrats de chasse afin de vous faire de l’argent. Malheureusement, ces derniers sont vite répétitifs, et nécessitent de valider la chasse à chaque fois que vous l’avez accomplie, et pour couronner le tout, vous pouvez n’en prendre qu’une à la fois, ce qui résulte en de nombreux allers-retours. Par chance, vous pouvez prendre autant de quêtes annexes que vous le voulez en même temps, même si vous devrez toujours retourner chez le PNJ qui vous a chargé de chercher ses flageolets afin de récolter votre récompense. On se retrouve donc avec un système de quêtes proche de celui des Xenoblade, avec des annexes sans grand intérêt à foison, mais idéales pour colmater la durée de vie qui se retrouve plutôt faiblarde sans celles-ci. En effet, boucler l’histoire en une vingtaine d’heures est plus que possible, et même si certaines quêtes annexes sont plus ou moins liées à l’histoire, la plupart ne proposent rien à part de l’argent et des objets. De plus, le jeu étant assez simple, il vous suffira de faire trop de quêtes annexes`pour totalement rouler sur la suite avec l’expérience accumulée avant. Les quelques quêtes scénarisées sont toutefois assez réussies, et les quelques donjons annexes sont certainement les plus agréables à parcourir, mention spéciale au volcan.
Car évidemment, qui dit RPG dit donjon, et FF XV n’échappe pas à cette règle. L’avancée de l’histoire se fait via des points de passage entre lesquels se placent plusieurs donjons assez ennuyeux. La plupart du temps, ce seront des cavernes où vous devrez trouver un tombeau pour acquérir les pouvoirs des précédents rois, avec un boss à la fin histoire de marquer le coup. L’exploration de ces donjons est souvent une plaie, étant donné qu’on fait soit face à un labyrinthe, soit à un couloir. En plus de cela, impossible de sprinter, et les rares énigmes ne sont même pas dignes d’un repaire de team dans Pokémon. Heureusement, le système de combat est clairement réussi. Pour la première fois, un jeu de la série principale assume pleinement son côté A-RPG, et il le fait bien. Les possibilités sont nombreuses, les coups varient selon les armes que vous déciderez d’employer, les animations sont fluides, et même si la magie est assez sous exploitée, elle n’en reste pas moins impressionnante, pour peu que vous décidiez de vous en servir. Vos partenaires viendront souvent faire des combos à vos côtés, et leur donner des ordres au bon moment vous sortira de situation plutôt tendues. Et pour les plus frileux d’entre vous, vous pourrez également profiter du mode stratégique, qui mettera le combat en pause dès que vous arrêtez de bouger afin de vous laisser planifier vos actions. Mélange plutôt ingénieux entre le tour par tour et l’action brute, ce mode permettra de mettre tout le monde d’accord sur au moins un point : Le système de combat est franchement pas mal. On déplore toutefois son absence pour certains boss qui, malgré leur apparence démente, et la mise en scène de leur combat totalement folle, mettent totalement de côté le gameplay du jeu pour vous balancer des QTE à la gueule entre quelques pressions sur le bouton d’attaque sans véritable réflexion derrière. Et tout comme certains passages de l’histoire, on sent clairement qu’on se fout de nous dans ces moments là, même si l’emballage est plutôt joli, le contenu est plutôt décevant. Mais les affrontements importants et difficiles restent présents et certains marqueront certainement les joueurs. Final Fantasy XV propose également un arbre de compétences, qui malgré son utilité reste anecdotique de par son manque d’ergonomie qui gène vraiment. On ne sait pas où donner de la tête et c’est bien dommage tant les possibilités qu’il offre sont utiles pour l’avancée dans votre quête.



Versus XIII



Et quelle avancée. En effet, la majeure partie de votre aventure se déroulera sur le continent principal où vous serez libre d’agrémenter votre aventure de parties de pêche ou de camping. Mais une fois la seconde partie du jeu entamée, tout se fera en ligne droite. Bien entendu vous aurez toujours la possibiltié de retourner dans l’open world, mais à moins d’être clairement en difficulté, cela ne servira plus étant donné que la zone ne sera plus bonne qu’à farmer et à enchaîner les fetch quest qui font toute la durée de vie du jeu. Et c’est là qu’on se rend le plus compte que le projet n’a pas eu un développement correct. Entre les cinématiques baclées, les zones inutiles, l’histoire qui perd de plus en plus de crédibilité et surtout l’immonde chapitre 13 qui fera frissonner même les plus forts, Final Fantasy XV devient aussi anarchique que l’histoire de son développement. En effet, tant de changements d’équipes et de direction pour l’histoire n’ont pas aidé, et le jeu a beau tenter de colmater les brèches de sa coque, il coule petit à petit. Il est bon de rappeler que le projet de base devait se compose de trois jeux complets, et qu’il a au final été réduit à un seul qui se boucle en une vingtaine d’heures. Résultat, le fossé entre les deux parties est énorme, et on se retrouve à passer d’un open world à un couloir à rallonge jusqu’à la fin, avec des passages injustifiés qui malgré une volonté de bien faire, tombent à l’eau. Le jeu a quand même la chance de profiter d’un final grandiose, mais a également la malchance d’avoir été un peu trop ambitieux.
En effet, Final Fantasy XV peine à trouver une identité propre, et mélange trop d’éléments différents pour réussir à en perfectionner un. Le projet de base était trop important, et le tout en a souffert. Chose qui se ressent même sur le plan technique. Le jeu est globalement assez joli, mais l’aliasing est important, le clipping aussi, et il suffit d’aller un peu vite pour voir les éléments du décor apparaître. Les glitchs sont légion, et ça va de l’océan qui disparaît, au plantage sans raison qui vous fait perdre des heures de jeu. Les menus peuvent décider de ne pas apparaître, les monstres peuvent décider de ne pas se battre, bref, le festival. Les cinématiques en CGI sont également très inégales, et peuvent se rapprocher du photo réalisme ou être moins belles que le jeu. Pareil pour les textures qui agressent les yeux une fois sur deux, en particulier dans les donjons où on a parfois l’impression de retourner sur PS3. Et bien entendu, le framerate souffre lui aussi et est totalement instable. Un ennemi un peu plus gros que d’habitude, et votre console soufflera ses tripes en vous crachant du 20fps à la figure. Ajoutez à cela les effets de la météo ou les particules de sort, et préparez l’assistance respiratoire pour votre pauvre machine. Mais Lucis reste toutefois agréable à l’oeil, et le détail de certains endroits ou personnages contraste totalement avec le reste. On se surprend à admirer le paysage, surtout de nuit où la lumière et le ciel sont somptueux. Et niveau somptueux, autant parler de l’aspect le plus réussi de tout le jeu, à savoir sa bande-son. C’est MADAME Yoko Shimomura qui est aux commandes de ce chef d’oeuvre qu’est l’OST de Final Fantasy XV, et on ne peut être que reconnaissant. Les thèmes de combat sont aussi formidables que la bande-son dont on profite pendant une simple balade, les thèmes de boss marqueront certainement tous les joueurs, et les reprises des thèmes propres à la série comme le Chocobo Theme ou le Prelude sont plus beaux que jamais. Yoshitaka Suzuki, compositeur sur Kingsglaive a par ailleurs également participé à la composition. Preuve que Final Fantasy peut très bien se passer de Nobuo Uematsu la tête haute, si le doute régnait encore chez certains après les derniers jeux de la série. Ajoutez à cela l’excellente VF (j’insiste) et vos oreilles vous remercieront.



Bilan



Un Final Fantasy pour les fans et les nouveaux venus. C’est avec cette phrase que le jeu vous accueillera, et c’est peut être ce qui résume le plus la situation. Final Fantasy XV ne sait pas où se placer, et même si le changement de formule n’est pas un raté total, l’enchaînement d’erreurs et de passages désastreux rend le tout difficile à pardonner. On peut faire preuve d’empathie envers l’histoire de son développement bien particulière, ses nombreux reboot et son “sauvetage” par Hajime Tabata qui est parvenu à mener le projet à bout après 10 ans. Final Fantasy XV n’est pas mauvais. On vit une aventure plutôt sympa, avec une fin convaincante qui marque bien le coup. Les références au reste de l’univers Final Fantasy feront plaisir aux fans, mais ça ne suffira pas aux nouveaux joueurs qui vont se retrouver à faire des quêtes anecdotiques dans un open world décevant pour ne pas ranger le jeu après 25 heures. Les completionnistes et autres fans de fetch quest trouveront leur bonheur, les personnages sont attachants et les protagonistes bien écrits, la bande-son est formidable et la mise en scène de certains passages est grandiose. Mais à côté de ça, la matière manque, le jeu ne parvient pas à perfectionner les domaines auxquels il s’attaque, et même si beaucoup prendront leur pied, moi y compris, il faut parfois savoir être objectif. Final Fantasy XV visait trop haut, et tel Icare, ses ailes, aussi belles étaient elles, ont fini par brûler.


Les plus :
-On joue enfin à Final Fantasy XV
-Les personnages attachants
-Ce road trip marquant avec des potes
-La mise en scène, du grand spectacle
-La bande son, une des meilleures de la série
-Les chocobos
-La pêche plutôt bien faite
-Un système de combat maîtrisé
-Le tout est quand même assez joli
-Les références vraiment sympa aux autres jeux
-La fin réussie
-Énormément d’annexes...


Les moins :
-Qui sentent le remplissage à plein nez, sans véritable intérêt
-Le chapitre 13 qui va peser sur vos nerfs
-La seconde partie du jeu qui contraste bien trop avec le reste du jeu
-L’histoire parsemée de trous…
-À combler avec les futurs DLCs payants
-Les situations absurdes
-Les combats importants en QTE
-La voiture trop lente pour un moyen de locomotion sur rails
-L’oubli quasi-total de ce qu’on nous a présenté dans Kingsglaive
-Les glitchs et autres bugs servis à la pelle
-Les graphismes aussi inégaux que le framerate

Aurablade
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le 5 déc. 2016

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