Majin and the forsaken kingdom : Dans un royaume ravagé par les ténèbres, un jeune homme sans nom et ayant la capacité de parler aux animaux décide de vérifier une légende, et va réveiller un génie légendaire, sensé avoir la capacité d'absorber les ténèbres, et de rétablir l'équilibre du royaume. A sa grande surprise, il tombe sur Majin qui lui demande de le délivrer, et de l'aider à récupérer ses pouvoirs perdus.


Génial ce jeu.


Le joueur est donc amené à compléter des niveaux les uns après les autres, en récoltant des trésors et des pouvoirs qui permettront de sauver le royaume et de restaurer les pouvoirs du Majin.


Ce qui fait qu'un jeu est grand, ce n'est pas seulement de magnifiques graphismes, c'est avant tout le fun qu'il procure, et l'univers dans lequel il transporte.
J'ai été rapidement séduit par ce Majin. Effectivement, de prime abord, il est visuellement dépassé. La modélisation des personnages, le manque de finesse dans les détails et dans la conception des environnements est évident.
Par contre, il possède une magie envoutante. La musique omniprésente et grandiose qui accompagne le joueur transporte inévitablement dans un univers à part. On constate alors que le jeu fourmille de détails et de lumières féériques. Les choix des couleurs et des éclairages contribuent à la construction d'un jeu envoutant.


On pourra bien sûr lui faire quelques reproches, comme le fait de ne pas pouvoir accélérer le passage du jour et de la nuit, ou le fait de se taper des distances parfois assez longues à pied, mais ce n'est vraiment pas gênant ni rédhibitoire. Pas plus que le clipping lors de l'affichage de certains tableaux.


L'ambiance Miyazakiesque du jeu l'emportera facilement sur toute critique. Les environnements sont diversifiés et identifiables, et un vrai travail est fait pour que chaque zone soit une découverte nouvelle du royaume.


Un peu moins de 20 heures pour en faire le tour à 100%. Un jeu d'aventure/action/puzzle à ne pas manquer, il vous transportera dans de nouvelles contrées, sans aucun doute.

Baron_Samedi
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le 25 mai 2016

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Baron Samedi

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