Les gros sabots
C'est une drôle d'impression que laisse Outlast, entre profonde déception et intense satisfaction. Satisfaction d'avoir joué, enfin, à un survival horror façon AAA en 2013 : le jeu reste quand...
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le 22 sept. 2013
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Un prétendu jeu d'horreur qui se base sur le porno gore et le sursaut pour provoquer la peur et qui en oublie de travailler son ambiance.
Résultat, au bout de 20 minutes de jeu, on s'est déjà enfilé quelques litres de sang, des cadavres à la pelle et une dizaine de jumpscares scriptés.
Ah oui, car le jeu use et abuse de scripts qu'on ne peut éviter si l'on souhaite avancer. Et celà même si ou sait parfaitement que traverser tel couloir ou ouvrir telle porte va déclencher ledit script et provoquer le jumpscare. C'est sympa 10 minutes mais devient vite lourd et répétitif au delà. Cela met surtout en évidence l'incapacité du jeu à poser une ambiance pour installer une peur durable.
Bref, on est bien loin d'un Amnesia ou Pénumbra
Créée
le 20 oct. 2016
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