i think we can put our differences behind us. for science. you monster.
Brillant. c'est le mot qui doit résumer un tel chef d'oeuvre de réalisation de la part de Valve.
Dubitatif avant l'achat, le charme naturel du jeu supplante rapidement les doutes pour faire apparaitre un scenario original et captivant et me prouvant ainsi qu'un jeu peut encore mériter un prix d'achat de 50 euros à sa sortie.
Fan de la première heure avec le premier opus, mes craintes étaient de tomber sur une vulgaire suite sans intérêt, juste bonne a "surfer" sur la vague de son ainé.
Les craintes sont rapidement balayées pour laisser place à un jeu qui a su évoluer dans le bon sens et nous offrir la suite qu'il fallait, évitant ainsi la trop familière "suite crappy pour faire de la caillasse".
Le premier opus nous invitait à découvrir l'univers d'Aperture science, centre scientifique en ruine, ainsi que la "personne" en charge du complexe, campée par un super ordinateur aux phrases savoureuses et a l'humour pince-sans-rire ravageur, faisant le charme de portal.
Ici, on oublie pas les vieilles recettes qui marchent, mais on oublie pas non plus d'élaborer le scénario. Ainsi, on reprend plaisir à controller notre pauvre Chell, dans ce même centre d'aperture en retrouvant la machiavélique GladOS, responsable des malheurs de notre héroïne.
L'ambiance, l'histoire et les personnages plein d'humour créent une atmosphère digne d'un film hollywoodien, nous scotchant à notre clavier pour plusieurs heures, évoluant de salle en salle pour découvrir le fin mot de l'histoire.
Le mode multijoueur, petit nouveau avec cet opus, vous garantit de longues heures de fou rire avec un ami, où l'on passe le plus clair de son temps à se pourrir mutuellement plutôt qu'à résoudre les puzzles (qui sont, ma foi, assez coriaces).
En définitive, portal 2 marquera l'année 2011, et sans doute des années encore après, comme son prédécesseur.
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