Epoustouflant.
Aucun autre mot de peut décrire cette expérience magistrale offerte par Capcom.
Ragaillardi par l'expérience RE2 Remake qui m'a redonné foi en cette série si particulière, je me suis attardé sur ce RE7 avec une certaine appréhension. C'est que, voyez-vous, je suis comme qui dirait une flippette. Les araignées et les serpents OK, passe encore, mais un contexte malsain de famille de fous perdue dans le bayou, non merci.
J'ai bien failli ne pas aller au bout, tout penaud après ces 2 premières heures absolument cauchemardesques (mais ô combien prenantes). J'ai donc persévéré, charmé par ce mélange parfait entre RE de la vieille époque et FPS moderne.
Verdict : c'est le feu.
Une expérience absolument magistrale de bout en bout, un plaisir / effroi de chaque instant, une perle.
C'est assez fou de voir à quel point cette série a su se réinventer malgré les déboires de ces dernières années. Il ne reste plus qu'à espérer que RE8 emprunte le même chemin : Resident Evil est sur de très, très bons rails.
Les plus
+ Ambiance absolument magistrale, difficile de faire mieux
+ Contexte parfait (bayou crasseux + famille de dégénérés = cocktail de peur)
+ Tension permanente, du début à la (presque) toute fin
+ Mix parfait entre gameplay de la vieille époque à base d'énigmes et FPS horrifique
+ Boss originaux, stressants, déroutants
+ Graphismes parfaits, le RE engine fait son effet (les jeux de lumière sont si beaux)
Les moins
- Scénario convenu (et faisant la part belle aux "residenteries" un peu ridicules sur la fin)
- Modélisation des personnages inégale
- Une zone moins réussie que les autres (test area)