Super Meat Boy par diegowar

Bordel je viens de relire (nous sommes en 2018) ma vieille critique de ce jeu, c'est pas possible comme j'étais salty. J'avais mit 8/10 mais je passais mon temps à critiquer les dark world et leur difficulté diabolique ^^

Bref j'efface tout ça, car mon avis a changé.

Enfin oui et non, je pense toujours qu'il y a une poignée de niveaux du dark world qui sont légèrement abusés, mais ça reste une minorité sur le très grand nombre de niveaux du jeu, et dans tous les cas le jeu est finissable sans avoir à les faire.

La raison pour laquelle je refais une critique, c'est que c'est quand même un jeu que j'ai fini deux fois et demie. Et avec la manière : La première fois que je l'ai fait je l'ai fait à 100% (A+ de partout, etc...), et en faisant des temps quasi-parfaits à chaque niveau (bien mieux que les temps A+ de base) pour être sûr que mes amis Steam ne battent pas mes temps ^^
Malheureusement y'a un truc con c'est que lorsque tu désinstalles le jeu, en fait ta sauvegarde est supprimée, et du coup lorsque je l'ai réinstallé, j'avais tout perdu. Et la deuxième fois que je l'ai fait, je l'ai juste fait à 100% (toutes les warp-zones, tous les a+ dans tous les dark world, mais cette fois je n'ai pas cherché à améliorer mes a+ à la perfection). Et je ne compte plus jamais supprimer le jeu maintenant ^^
Et la demie fois que j'ai fini le jeu, c'était cette fois-ci sur PS4, juste pour m'essayer au challenge de faire toute une zone sans perdre une vie (j'ai fait les deux premières en Dark World).

Bref tout ça pour vous dire que s'il faut y laisser un peu de nerf, de transpiration et que vos pouces s'en souviendront... Le jeu est entièrement faisable et y'a pas vraiment de quoi se plaindre. C'est en rejouant à des tonnes de jeux de plate-formes ces dernières années que je me rends compte aussi que le gameplay de Super Meat Boy est quand même très sympathique et agréable à manier.

Les nombreuses références dans le jeu, ainsi que la diversité de ses niveaux et petites idées de gameplay font que c'est pour moi un incontournable de cette décennie dans le genre.