The Elder Scrolls V: Skyrim par damienfurst
Il y a d'abord eu l'émerveillement. Ce monde incroyable qui nous enveloppe dans son immensité, à tel point que l'on se surprend à vagabonder, seul, dans cet univers si crédible.
Il y a ensuite eu l'envoutement, l'envie de tout faire, tout découvrir, tout essayer... Mais il en faudra du temps, pour goûter à ces innombrables quêtes, parfois peu profondes.
Après, il y a eu la lassitude. L'étrange sentiment de revenir, par moments, sur les terres de Cyrodiil. La sensation fallacieuse de remonter dans le temps, là où la vie n'était que poudre aux yeux, tout en rigidité et incohérences.
Enfin, il y a eu la déception, certes éthérée, de venir à bout d'une épopée extraordinaire, mais sans un artifice final digne de ce nom.
Oh oui, Skyrim est grand, très grand. Mais il y a cette voix, toute petite voix, qui trotte dans ma tête et qui m'assure que l'aventure aurait pu être encore plus majestueuse.
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