La fin d'une longue guerre reposerait peut être sur une ancienne technologie : de gigantesques robots de combat. Quand l'une de ces puissantes machines se retrouve entre les mains d'un jeune garçon nommé Fei, il se verra traqué par gouvernements, pirates et espions, mais aussi par son propre passé.
Match des critiques les meilleurs avis Xenogears
VS
God Only Knows
Sur :
Xenogears est un jeu spécial, selon moi supérieur à une majorité d'autres J-RPG grâce à son riche univers et ses personnages travaillés. Pas aussi ultime que ce que certains avancent, mais on est quand même devant l'un des plus grands monuments du scénario de JV.
L'histoire commence de la meilleure manière qui soit avec une cinématique d’intro mêlant images de synthèse et anime (elles sont réalisées par les créateurs de Ghost in the Shell d’ailleurs) qui nous montre le crash d’un...
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16
7
Critique de Xenogears par KimP
Sur :
Bof, je n'ai jamais apprécié Xenogears. Jeu extrêmement bavard et censé être le représentant ultime, pour une élite vidéo ludique, d'un genre que j'apprécie sous beaucoup d'autres aspects qu'un scénario riche et complexe (selon les fans). Les combats en Méchas sont mollassons, inutilement dur du fait que la difficulté du jeu est inégale, d'une laideur extrême et la bande son pendant ces phases n'a aucune énergie pour insuffler un minimum de nervosité (Mitsuda n'a jamais été doué pour les...
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13
3
Critiques : avis d'internautes (43)
Xenogears
Tri :
recommandées
positives
négatives
plus récentes
Ye shall be as gods
Sur PlayStation :
Il est impossible, lorsque l’on s’intéresse aux J-RPGs, de ne jamais avoir entendu parler du « Xenogears », réputé notamment pour son scénario, sporadiquement décrit comme excellent, merveilleux, époustouflant, j’en passe et des meilleures. C’est ce dernier, d’ailleurs, qui m’a poussé a enfin essayé ce jeu, alors que celui-ci m’intéressait depuis déjà quatre ans.
Il faut dire que les...
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Brouillon de légende.
Sur PlayStation :
Xenogears ou la cristallisation du conflit entre ludologie et narratologie.
Scindé en deux Disques, l'aventure de Xenogears commence son chemin tranquillement après une introduction pourtant radicale, enchaînant à la pelle ce que sont devenus les poncifs du genre : héros amnésique, désert, séparation brutale avec le groupe de personnages, égouts... bref, insupportable pour un joueur de 2013...
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I am Alpha and Omega
Sur PlayStation :
Le jeu commence donc avec une très belle cinématique animé par le studio IG (studio connu dans l'animation pour avoir produit des films comme Ghost in the shell ou encore Patlabor)
Graphiquement le jeu n'est pas très beau pour de la PS1, il utilise des décors full 3D en intégrant les personnages en 2D par dessus, c'est loin d'un FF IX ou d'un Chrono Cross mais ce n'est pas "laid" non plus,...
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Le commencement et la fin
Sur PlayStation :
J'ai beaucoup attendu avant d'écrire cette critique car elle est compliquée à finaliser dans mon esprit.
J'ai joué à Xenogears sur PlayStation en 1999 en Import US. Si cette critique est pour moi complexe à finir, ce n'est pas que je doute de la qualité du titre - je sais même déjà depuis pas mal de temps la note que je vais lui mettre - mais c'est plutôt que j'ai gardé un merveilleux souvenir...
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Stand tall and shake the heavens
Sur PlayStation :
Dans l'immensité du vide spatial, un long travelling révèle l'immensité de ce qui s'apparente à un vaisseau de transport contenant des milliers de personnes. Sans qu'on ait le temps de souffler, on est plongé dans un chaos auquel tout le personnel du vaisseau tente de faire face : un virus rend le vaisseau incontrôlable et le fait dévier de sa trajectoire en le redirigeant vers sa planète...
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