2018 sisi

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Le 2 Janvier.

Citation de fin du film.

"Violence as a way of achieving racial justice is both impractical and immoral. It is impractical because it is a descending spiral ending in destruction for all. The old law of an eye for an eye leaves everybody blind. It is immoral because it seeks to humiliate the opponent rather than win his understanding; it seeks to annihilate rather than to convert. Violence is immoral because it thrives on hatred rather than love. It destroys a community and makes brotherhood impossible. It leaves society in monologue rather than dialogue. Violence ends by defeating itself. It creates bitterness in the survivors and brutality in the destroyers."

Sujet complexe, que le film réussit à bien cerner avec les nuances que cela comporte.

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Revu le 4 Janvier.

Blu-ray 3D. + <3

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Le 4 Janvier.

J'ai pris mon temps pour le voir. C'est bancal, parfois maladroit, mais ça fait tellement de bien de voir que Rian Johnson offre un vrai propos, un souffle nouveau en tournant la saga vers l'avenir en reniant la nostalgie.
Trop long, l'arc Rose/Finn est raté, mais c'est bien mise en scène, et porteur d'un message assez salutaire dans le cadre des blockbusters actuels.

Après je prends sans doute plus de plaisir de visionnage instantanée devant Force Awakens mais celui-ci me marquera plus, et c'est très beau. Le plus beau Star Wars probablement.

Revu le 25 Avril.

En 3D.

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Revu le 6 Janvier.

Blu-ray. - <3

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Le 7 Janvier.

Theatrical version, comme la Special Edition est introuvable en qualité BR. Faudrait que Cameron se décide à le sortir le BR d'ailleurs.

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Le 8 Janvier.

Un film indé pleins de justesse, avec un angle intéressant sur la solitude. Gosling est parfait, le ton ne sombre jamais dans la pathos.
J'ai juste trouvé ça un peu longuet, mais belle découverte, une autre facette de la filmo de Gosling.

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Le 8 Janvier.

Petite déception avec tout le bruit derrière le film j'attendais à un peu plus original. Finalement c'est le"coming of age" classique. La vraie différence est de suivre un personnage féminin ce qui est plutôt rare (surtout un aussi spécial que Christine aka Lady Bird).
Les dialogues rebondissent bien, la photo lumineuse à la Sundance est réussie, mais le déroulement est très convenu pour n'importe qui ayant vu des films du style précédemment. Le film évite globalement les poncifs dans l'écriture et la réflexion mais pas dans le déroulé, dommage je m'attendais à plus audacieux.
Bon film malgré tout c'est certain, et Saoirse Ronan porte impeccablement le rôle.

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Le 9 Janvier.

Film au sujet passionnant et qui arrive à ne pas rester en surface. Gosling campe un de ses meilleurs rôles avec ce juif nazi torturé dans ses croyances.
Le plus gros bémol du film est sa réalisation, la photo est sans intérêt et certains choix de très mauvais goûts (les flashbacks et ralentis en particulier)... Cela fait très téléfilm tout ça, fonctionnel tout au plus.
Mais c'est le fond qui l'emporte à mes yeux et c'est assez rare pour être signalé, surtout avec un sujet pareil.

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Revu le 15 Janvier.

Blu-ray.

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Revu le 18 janvier.

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Le 19 Janvier.

McDonagh confirme qu'il est le plus apte à reprendre le trône des frères Coen, laissé un peu vacant ces dernier temps. Amérique profonde, casting de tronche aux trajectoires toujours inattendues, Carter Burwell à la BO, humour noir.. Tout est là. Et y'a un nain bien sûr. Premier très bon film de 2018.

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Le 20 Janvier.

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Revu le 21 Janvier.

Blu-ray.

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Le 22 Janvier.

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Le 24 Janvier.

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Le 25 Janvier.

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Le 29 Janvier.

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Revu le 1 Février.

En Bluray.

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Le 6 Février.

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Le 10 Février.

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Le 16 Février.

C'était ma plus grosse attente de l'année. PTA <3

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Le 17 Février.

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Le 21 Février.

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Le 21 Février.

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Le 23 Février.

Justin Theroux est top. Mais sinon gros mouais. Pot pourri de la SF Cyberpunk Bladerunnresque qui revient ces derniers temps. Mais pas de vraie plus-value.

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Le 25 Février.

Au Cinéma (Festival Travelling à Rennes).

Grand film.

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Revu le 25 Février.

Au Cinéma (Festvial Travelling à Rennes).

Film fascinant. Son plus gros défaut est aussi sa plus grosse qualité, soit d'être un film très froid dont les messages ressortent réellement avec du temps et de l'analyse. Les premiers visionnages se font les yeux grands fermés, Kubrick expérimente et propose une oeuvre qui se mérite et peut paraître assez fouillis aux premiers abords. Mais il n'en est rien, le métrage nous livre une piège, une illusion dans laquelle on s'enfonce volontiers. Les dialogues sont presque eux aussi une couche supplémentaire pour masquer le propos véritable de l'oeuvre, profondément visuel. Le maître use ici de sa mise en scène la plus cérébrale, à l'instar des Antonioni, Bergman et autre Tarkovski, où la narration environnementale est omniprésente (chaque tableaux, couleurs, vêtements, cadrage est une pièce du puzzle à décortiquer).
Cela résulte en une oeuvre qui peut offrir un sentiment assez ingrat, où le plaisir de visionnage n'est possiblement pas immédiat. Mais c'est bien une oeuvre d'art au sens premier, une oeuvre qui se mérite, à laquelle il faut se confronter sur la durée pour en ôter la substance, substance extraite directement de la psyché de son créateur. Une de ses œuvres qui comme 2001 existe longtemps en soi et tente de repousser les modalités de l'image toujours plus loin.

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Le 27 Février.

Au Cinéma (Festival Travelling à Rennes).

Assez déçu, c'est vraiment beau, bien incarné mais je suis jamais rentré totalement dans l'intrigue. Ludwig m'a laissé assez indifférent, et son cheminement vers la folie assez expéditif. Malgré de jolis scènes (Ludwig et son frère entre autres), je me suis souvent ennuyé.
AH et cette horrible habitude des italiens de faire tout en post-synchro (même les films déjà en italiens) me dérangera toujours. Voir une histoire si localisé et un casting pareil doublé me dérange, Wagner qui parle italien nope.

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Le 27 Février.

Au Cinéma (Festival Travelling à Rennes).

Premier Haneke qui me séduit pleinement.

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Le 28 Février.