2019, pif peuf

Annotation :

Oh et puis merde, ce truc est vraiment parfait.

+1

Première fois au cinéma...

Annotation :

+/- 0

Noooooooooo

Annotation :

+/- 0

C'est toujours un plaisir. Son seul défaut est de manquer du souffle épique qu'a le manga, même si l'exercice semble difficile en deux heures.

Annotation :

+3

WTF !? Pourquoi j'avais mis cinq !?

Annotation :

Ça fonctionne. C'était peut-être le bon jour, la bonne heure, le bon moment. Peut-être pas, d'ailleurs. Mais ça fonctionne.

Annotation :

+/- 0

May the Force be with you...

Annotation :

+/- 0

It's a trap !

Annotation :

Il y a beaucoup de Barry Lyndon dans ces Duellistes. Sec, allant droit au but pour n'en préserver que l'essentiel, chose qu'une mauvaise langue pourrit qualifier de lapidaire, ce film est à part dans la filmographie de Scott. C'est ce qui en fait sa force comme sa faiblesse. D'un naturel confondant, avec des scènes mémorables d'éternuement ou de cheval importun, il chorégraphie ses duels avec efficacité, loin des bravades propres aux œuvres de cape et d'épée. Les seules ombres au tableau sont l'utilisation contre-intuitive de l'anglais et quelques maladresses en terme de réalisation, pour un résultat parfois hâché. Heureusement que visuellement parlant, c'est souvent grandiose.

Annotation :

Certainement l'arnaque la plus plaisante et la plus jouissive de 2019.

Annotation :

Ces plans de Los Angeles, entre docks, usines, lumières nocturnes et soleil couchant sont superbes. Sans oublier ce côté 80s qui s'assume à fond, aussi réjouissant que délicieusement kitch.

Dommage que le manque de charisme chronique des principaux protagonistes ne vienne gâcher le tableau de ce polar aussi noir que sèchement exécuté.

Annotation :

Plus subtil qu'il n'y paraît derrière sa trajectoire dramatique classique : les divergences sont appréciables pour l'oeil averti et ce qui est prévisible subit souvent un petit décalage, des micro-ruptures invisible au néophyte. Son déroulement linéaire, antispectaculaire au possible, est également un beau contrepied aux films du genre et à ses retournements de situation. Ici la chute est certaine, la folie irréversible.

On appréciera la référence discrète (c'est faux) aux mouvements sociaux contestataires de notre époque, où chacun verra ce qu'il lui plaît ; le film se gardant fort bien de prendre parti.

Annotation :

Martin McDonagh a progressé depuis ses Seven Psychopaths. Il a réussi à trouver l'alchimie qui lui avait manqué pour livré un film percutant. Après ce n'est pas Fargo non plus, mais ça se défend plutôt bien.

Three Billboards en fait certes un peu trop, à l'instar de son aîné, mais cela n'est finalement que peu nuisible. Certaines facilités, certains poncifs, sont clairement regrettables mais restent des faits plutôt minimes et isolés.

Annotation :

Un biopic féroce sur la patineuse la plus mal dégrossie de l'histoire. Certes, Margot Robbie y rejoue encore un peu la cinglée, mais bon, on lui passe...

Annotation :

Une grande fresque intimiste sur la fin d'une ère, le joyeux bordel d'une narration éclatée, sa violence, les amis perdus en route et ceux que l'on refuse de perdre. Et avant tout, savoir dire adieu aux armes.

Selon mon frère : dommage qu'il faille un bac +12 en histoire du Japon pour bien comprendre ce film.

Annotation :

Clint 272 - 0 Boches

Annotation :

Un bon Melville. Pas le meilleur mais ça se tient. Dans tous les cas, vu la série de gueules convoquées, la merco, les impers et les chapeaux ça ne pouvait pas tellement rater.

Annotation :

Réjouissant. Je ne sais pas, on ne peut pas faire plus mythique et plus américain dans le genre buddy movie 80s. Tout y est : un duo de flics, flingues, pick-up, caravane, mauvaise lager, explosions, sous-entendus foireux sur les étrangers, la jolie paire de seins en presque figure imposée, la boucherie finale qui en fait des caisses, des cojones grosses comme des pastèques, le gros Subway qui tâche, Danny Glover, Mel Gibson.

Annotation :

Comme toujours chez Tim Burton, le film joue un peu trop sur la corde pseudo poético-naïve. C'est un peu exaspérant, dans la limite du raisonnable cependant. Pour le reste c'est efficace, plutôt bien mené (même si parfois un peu long), l'ambiance est lugubre à souhait et c'est souvent drôle.

On ne m'ôtera juste pas de la tête que les images de synthèses cartoon à la Mars Attack n'ont rien à y foutre. En plus de vieillir affreusement mal.

Annotation :

+/- 0

Toujours aussi plaisant. Pixar n'a décidément rien perdu de sa superbe.

Annotation :

+/- 0

On n'est pas loin de ce qui se fait de mieux dans le genre film d'animation 3D...

Annotation :

+/- 0

Une bonne suite, cohérente, à défaut de proposer un scénario à la hauteur de ses ambitions. Mais bon : des vikings, des dragons, de l'aventure et me voilà conquis.

Annotation :

Un petit bijoux pop, parfaitement ciselé. L'origin story, mille fois rebattue, est même expédiée d'une manière assez réjouissante. Dommage qu'il manque une oppostion d'envergure : tout y est un peu trop... facile.

Même la mort initiale de Spiderman est ainsi : aussi brutale que sortie d'une mécanique parfaitement huilée. Rien ne dépasse.

Annotation :

Un peu blasé par le succès populaire de l'époque, j'ai évité ce film comme l'on évite un épisode des Tuche, un brin échaudé par ses affreux prédécesseurs.

Au final j'ai été complètement désavoué : ce film là est plutôt bon dans son registre. En plus d'étre drôle, l'histoire ne manque pas d'intérêt malgré sa structure classique. On peu repasser sur quelques séquences au mieux maladroites, au pire ridicules mais c'est bien maigre en regard du reste. Alors oui, on peut toujours critiquer cette vision angélique de la petite frappe de cité qui en fait est un bon gars, opposé au riche parisien snob, mais ce serait essentialiser un film qui ne raconte qu'un cas particulier pour émouvoir et faire rire. Même si honnêtement, je ne l'ai pas vraiment vu pour le côté émouvant. Disons même que le plus frappant dans le registe, c'est lorsqu'ils vont tous les deux au putes.

Quant à ceux qui veulent faire du cinéma un manifeste politique marxiste... Baste.

Annotation :

+1

Il faut accepter le côté Spielberg/grosse machine hollywoodienne dans cet opus, avec fort logiquement un peu plus de bête action - bien qu'il soit étrangement beaucoup moins captivant que le premier - et bien moins de magie.

Annotation :

Évidemment ça en fait des caisses, mais on a un peu signé pour ça. Dommage que ce soit un peu long vers la fin où trop d'action tue l'action.

Annotation :

S'il est plutôt fidèle à l'atmosphère de la nouvelle de Poe, dommage que ce huis-clos manque un peu de dynamisme. Mais Vincent Price est toujours priceless et l'ambiance tant gothique qu'oppressante tire heureusement avantage du peu de moyens dont Corman disposait.

Annotation :

On passera sur le côté gros sabots cathos de Mel Gibson. C'est un élément connu, intégré, digéré.

Seulement, il ne faut pas oublier que derrière ce vernis se cache un bon cinéaste. Si la première partie, avec ce clin d'œil obligé et appuyé à Full Metal Jacket est un peu lourde, le seconde prend son ampleur réelle. Il y a plus de violence dans une seule des scènes de guerre d'Hacksaw Ridge que dans toute la filmographie de Quentin Tarantino. Même le personnage principal de ce film, qui refuse de porter une arme et de tuer, se trouve avoir plus de couilles qui tout le MCU réuni. Mel Gibson est bien le cinéaste de la violence, certains l'ont oublié.

Malheureusement, le film est plombé par une naïveté à toute épreuve et un recul critique aux abonnés absents. Mais bon, ce n'est pas comme si l'on pouvait raisonnablement en attendre le contraire...

Annotation :

Solide, même si parfois un peu mièvre dans son approche.

Annotation :

Un peu naïve et statique par moment, cette fresque historique profite néanmoins d'un casting solide et d'une reconstitution grandiose.

Annotation :

Des péripéties un peu lassantes par leur aspect répétitif vis-à-vis du second volet, certes, mais dont le principal mérite est de proposer une fin plutôt correcte. Ce qui n'est déjà pas si mal...