2020 : l'année Polanski, Eastwood & Rohmer

Annotation :

Vu le 02/01 avec mon amoureuse.
Premier film de l'année, et comme l'année dernière, c'est un film d'animation qui occupe cette prestigieuse (bof) place.
Verdict ? Pas mal du tout, un très bon film de divertissement, certes pas complètement à la hauteur du volet précédent mais ça reste amusant et pas mal dans l'esprit Astérix.

Annotation :

Vu le 02/01 avec mon amoureuse. Il faudra que je m'y replonge avec un peu plus d'attention, mais c'était pas mal du tout. Elle a adoré.

Annotation :

Revu le 04/01 avec mon amoureuse. En vrai, c'est pas mal du tout, et visuellement ça démonte. Dommage que le film ne se suffise pas à lui même.

Annotation :

Vu le 05/01 sur la cinétek. Très touchant.

Annotation :

Vu le 05/01. C'est complètement con, ça reste vite fait marrant. Avec n'importe quel autre interprète, ça aurait été tout pourri, là est le problème.

Annotation :

Vu le 05/01 sur la cinétek.
J'ai pas le recul nécessaire pour apprécier la subtilité de l'oeuvre, son message et ses références, mais c'est une fable indubitablement menée d'une main de maître. Sans doute une meilleure introduction au cinéma de Pasolini que son Salo...

Annotation :

Vu le 06/01 sur la cinétek. Cela faisait longtemps que je voulais découvrir le cinéma naturaliste de Bresson et ... Ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. C'est lent, je trouve ça mou, peu intéressant et mal joué. Une autre fois peut-être ?

Annotation :

Vu le 07/01. Un film qui donne le sourire, plein de chaleur. Cela me donne envie de voir Lady Bird que j'avais raté... Un casting hors du commun, chacune des actrices est excellente.

Annotation :

Vu le 08/01 en soirée nanar. Bah même pour un nanar c'est mou, et l'acteur principal est monoexpressif.

Annotation :

Revu une enième fois en soirée nanar le 08/01. Sans la partie philippine, faut pas déconner hein.

Annotation :

Vu le 10/01 sur la Cinétek. Ma première confrontation avec Melville, et probablement pas la dernière.
Ambiance, musique, jeu d'acteur, dialogues, mouvements de caméra... Tout y est.
Quelques mentions spéciales aux jeux de regards et à la deuxième scène d'interrogatoire de l'alibi du samourai.

Annotation :

Vu la première partie le 13/01 sur lacinetek. Hélas, la ville d'Amsterdam est trop proche pour éveiller en moi la curiosité de l'inconnu, et trop lointaine pour éveiller la curiosité du connu. Cela reste un bel éloge, une belle ode au culturalisme.

Annotation :

Vu le 13/01 sur lacinetek. Une claque, un bijou d'authentisme proche du cinéma vérité.

Annotation :

Revu le 14/01 avec un copain. Toujours aussi bon, toujours aussi cheap, stupide, drôle et inventif à la fois.

Annotation :

Vu le 16/01 dans le cadre du watching challenge 2020.
On y retrouve certes tout ce qui fera plus tard le très grand cinéma de Scorsese. Hélas, dans ce Mean Streets cependant prometteur, les gimmicks ne sont pas aboutis, le scénario et l'intrigue finalement assez légers. FInalement, il est plus intéressant de le voir pour constater les (presque) débuts des trois géants que sont Scorsese, Keitel et de Niro que pour son intérêt cinématographique. Même s'il regorge de bonnes idées, elles sont mal imbriquées entre elles.

Annotation :

Vu le 16/01 dans le cadre de mon Watching challenge.
Si je n'étais pas entièrement convaincu au début du film, il m'a eu vers la moitié lors de cet échange, ce dialogue magnifique à travers une chaîne de porte. Une des plus belles scènes que j'aie pu voir récemment. Toute la seconde moitié s'est révélée géniale, et j'ai enfin retrouvé le de Palma que j'adule.
L'un des meilleurs rôles d'Al Pacino, un Sean Penn toujours aussi bon dans la surenchère. Et l'une des meilleures scènes de course-poursuite de tous les temps.

Annotation :

Vu le 16/01 dans le cadre de mon Watching challenge avec un copain. Brillant, passionnant et fascinant. Des bonnes idées formelles par paquet de douze et une gestion du temps absolument fascinante.
Une grande réussite pour le cinéma français qui ne cesse de nous prouver qu'il n'est décidément pas mort, et même pas à l'agonie.

Annotation :

Vu le 09/01 et c'était pas mal du tout. Je ne m'attendais pas spécialement à ça mais on retrouve tous les ingrédients d'un bon Hitchcock.

Annotation :

Vu le 19/01 dans le cadre de mon Watching Challenge. Outre le twist, c'est exactement le film que je m'attendais à voir.
Alors non ce n'est certes pas un mauvais film... Mais c'est d'un classicisme morne absolu. TOUS les clichés sont au rendez-vous. Alors oui c'est une belle histoire, oui Crowe et Connelly sont très bons (et Ed Harris toujours excellent).

Mais je suis fatigué de ces films qui sous couvert de faire des biopics font de la fiction, et même pas de l'originale. Ces films qui induisent le public en erreur sur des maladies comme la schizophrénie, et qui au lieu de nous présenter une vie ne nous présentent qu'une version romancée de celle-ci.

Si vous ne savez pas réaliser de biopics, faites de la fiction. Mais ne faites pas croire que ce sont des biopics.

Annotation :

Vu le 20/01. Si Stalker m'a laissé un souvenir indélébile et que j'ai très envie de le revoir, pas certain que ce sera le cas du miroir.
J'ai décroché à plusieurs reprises... Je n'abandonne pas pour autant le cinéma de Tarkovski qui m'attire et me fascine toujours autant qu'il me repousse, comme ceux de Godard ou de Malick.

Annotation :

Vu le 21/01. Une errance dont je me souviendrai de l'ambiance...

Annotation :

Vu le 22/01. Si papa Tourneur n'échoue pas à créer une certaine ambiance tout à fait plaisante et à filmer Marseille avec un grand amour, il a toutefois du mal à me captiver.

Annotation :

Vu le 22/01 dans le cadre de mon Watching Challenge.
Un film porteur de réflexions fortes et importantes, d'une poésie sans faille.
On en ressort bouleversé.

Annotation :

Vu le 23/01. Je trouve que les Kingsman sont une excellente franchise !
Il y a ce côté presque mangaesque (sans déconner c'est juste parce que je suis en pleine lecture de One Piece ou la construction narrative et l'importance stylistique accordée aux personnages se rapproche justement de ce manga ?) et sans pression. Certes pas du grand cinéma, mais bien filmé et inventif.

Annotation :

Vu le 25/01 avec quelques très bons copains, sur projecteur.
Des inspirations évidentes, un film hommage à Kim Ki-Young qui réussit facilement à dépasser la simple redite.
Le meilleur film de Bong Joon-Ho, tout simplement, qui mérite toutes ses récompenses. Cela me donne envie de revoir le reste...

Annotation :

Vu le 26/01, premier test de mon home-cinéma avec mon nouveau projecteur.
Très bon film, piquant, drôle... Une excellente comédie de moeurs, une réflexion cinglante sur la sexualité et comment elle est perçue.

Annotation :

Vu le 27/01. Une prouesse technique, sans aucun doute ; et une maîtrise de la photographie et des décors absolument sublime. L'immersion est bonne, le seul point noir étant le manque d'originalité et d'inventivité de ce scénario.
On pardonne : la forme est grandiose, et si on connaît déjà le fond eh bien... On l'aime bien, ce fond après tout.
Mais avec un brin de recul, il faut admettre que ça ne raconte strictement rien.

Annotation :

Vu le 28/01. Godard c'est l'alternance de moments de génie, et de moments de faux intellectualisme prétentieux. C'est souvent aussi magnifique que c'est irregardable.
Week-end a la qualité d'être complètement foutraque, ce qui est assumé. C'est méchamment drôle et stupidement absurde. Parfois ça devient juste indigeste, d'autres fois c'est détonnant à souhait.
Une influence pour Noé ?

Annotation :

Vu le 28/01. Une excellente fresque historique, qui du fait de son contexte de production transporte des messages infiniment plus forts que ceux qu'on peut nous servir aujourd'hui.
Une apologie de la résistance par un Allemand.

Annotation :

Vu le 29/01. Mon premier Kaurismaki. Oui c'est ironique haha, c'est de l'humour noir haha. On dirait presque Inside Llewyn Davis (que j'avais aimé par contre), un pauvre mec à qui il arrive que des emmerdes haha.
Sauf que... C'est très chiant non ? En 1h12, il se passe plus que dans un Bergman de 2h et pourtant la grosse différence c'est que c'est chiant à mourir.