Accro au ciné? Moi? Jamais! : Edition 2014 (liste abandonnée)

Annotation :

Vu le 02/01/2014 - Gaumont
Ciné entre pote, un mec trop grand devant moi qui m'a obligé à tendre le cou pendant tout le film et une grognasse accro à son téléphone à côté de moi.

Peu convaincue par la bande annonce, je me suis pourtant laissée emportée, d'abord parce que je suis une indécrottable cinéphile, ensuite parce que je sais, par expérience, que des bandes annonces pas terrible peuvent parfois cacher de vrais petites perles.
Ce n'est de toute évidence pas le cas de La vie rêvée de Walter Mitty à mon grand regret.

Premièrement, c'est moi ou Ben Stiller a le charisme d'une moule?
Non mais sérieusement, je veux bien que ce soit le personnage, un peu looser sur les bords, qui veuille ça, mais de là à nous servir sa mono expression tout au long du film, y'a quand même des limites! Surtout que, du coup, je n'ai eu absolument aucune empathie pour le personnage, ce qui est quand même un peu con dans ce genre de film.

Bref passons au film proprement dit. Malgré une première heure franchement longuette (les rêveries du monsieur Mitty en question, c'est marrant une fois ou deux, après ça devient franchement lourd!) et des gags qui ne m'ont pas fait rire (mais pour la défense du film, je n'ai pas le rire facile), le film prend un espèce de souffle épique vraiment plaisant lors de la deuxième partie, que nous fait découvrir de magnifiques paysages le tout accompagné d'une BO du feu de Dieu qui vaut bien un point à elle toute seule dans ma note! D'ailleurs, rien que pour cette deuxième partie, le film vaut largement la moyenne!

Malgré cette envolée, le film retrouve malheureusement bien vite sa morosité, doublé par un final un peu too much qui dessert l'histoire.

Bref, un film qui fait passer le temps, mais aussitôt vu, aussitôt oublié!

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5/01/2014 - Utopia
17h, encore en pyjama (c'est beau les dimanches), idée aussi soudaine que saugrenue me passant par la tête lors d'une discussion skypienne avec mon acolyte de ciné (Clemtweb): "Tel père tel fils à l'Utopia à 17h30 ça te dit? Chiche?"
Séance la plus à la one again de toute l'histoire de mes séances ciné.


Kore-eda traite ici avec finesse et justesse des liens familiaux. Alors que le sujet aurait pu très vite tomber dans le pathos, nous sommes au contraire dans la retenue propre au monde japonais qui s’ajuste parfaitement à ce genre d’histoire pour la rendre touchante juste ce qu’il faut.

Malgré tout, on regrettera des personnages un poil caricaturaux (le père de famille obsédé par le travail et jamais là, l’autre père, un peu rustre puisqu'il n’est qu’un petit commerçant etc.), une trame cousue de fil blanc et le fait que l'avis des enfants ne soit jamais évoqué dans le film (spécificité des mœurs japonaises ou parti pris du film? Bonne question...)

Un film très sympathique et tout en délicatesse que je prendrais tout de même plaisir à revoir (mais c’est un film japonais alors je ne suis pas objective de toute façon).

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7/01/2014-Gaumont (Cinéday)
Parée de bonbon (histoire de retrouver son âme d’enfant jusqu'au bout) avec la menace pour ma voisine de se faire étouffer avec si elle parlait trop…finalement ça a presque failli être l’inverse.

Je ne m’attendais pourtant pas à grand-chose, n’ayant gardé que vaguement en tête les épisodes que je regardais le matin avant de partir en cours (merci les rediff’) et pourtant, à trop vouloir jouer dans l’épique ou le théâtral, le film en devient proprement ridicule. (C’est pourquoi je n’ai absolument pas réussi à en faire une critique sérieuse)

*SPOILER ALERT*
Et vas-y que je te place deux armes qu’on-utilise-jamais pour le prix d’une parce que c’était promo de gros chez Auchan. Ajouté au combo de l’hologramme qu’on te balance à la tronche deux fois de suite, des fois que t’aurais loupé l’astuce la première fois…

Mis à part Albator (aka monsieur je fronce les sourcils pour me donner un air ténébreux, je fais froufrou avec ma cape comme un gosse de 6 ans et je fais des sauts de 3 km parce que c’est comme ça, je suis le capitaine, pose pas de question !) et encore… les personnages sont très (trop) superficiels et surtout incroyables de crétinerie dans la confiance aveugle qu’ils vouent à leur tout puissant capitaine : « On va pas détruire la terre en agissant comme ça ? » « Mais non le capitaine à surement pensé à tout » Ah bah si c’est le capitaine qui l’a dit…abandonnons toute logique et tout bon sens hein ! (Euh..sérieux ?)
Nous passerons sur le héros girouette qui change plus de fois de camp qu’il n’a de chemise et qui semble aussi avoir quelques penchants psychopathes/terroristes (« T’as fait mourir les fleurs de Maman ? C’est inacceptable ! Puisque c’est comme ça, j’vais tous nous faire cramer ! Géronimoo !)
Je ne parlerais pas du triangle amoureux, juste là sous prétexte d’introduction à la rivalité entre frère.

Ajoutons que sur l’Arcadia, du côté des filles, c’est un peu la fête du string.
Je ne m’étendrais pas sur le rôle de Kei qui ne sert à rien (en plus d’être écœurante de niaiserie) si ce n’est faire du fanservice. Ou alors elle était juste là pour qu’on ait envie de la cogner pendant tout le film, je sais pas.

Le tout est encore plus rageant quand on voit le travail époustouflant qui a été fait au niveau de la 3D, des textures et de tout le reste, que ce soit au niveau des personnages (incroyables de classe …qu’ils perdent aussitôt dès qu’on les entend parler) ou décors. Et rien que ça, ça vaut bien un 5 quand même!

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23/01/2014 - Gaumont
Ciné avec un ami.Je n'ai pas pu me concentrer les 5 premières minutes du film puisque monsieur était en retard. Groumph!
N'ayant pas été au cinéma depuis au moins deux semaine, j'étais dans le même état qu'un cocaïman en manque (à peu près).

Partant avec un à priori plutôt négatif puisque j'avais très vaguement apprécié Totoro et pas du tout aimé Mononoké, force est de constater que La Vent se lève remporte haut la main mon adhésion. Je suis donc bien contente de lui avoir accordé sa chance sur grand écran.

Hormis une animation à tomber par terre qui m'aurait fait baver pendant près de deux heures si je n'avais pas un minimum de décence et qui vaut au moins les trois quart de ma note, Hayao Miyazaki nous livre ici un long métrage empreint d'onirisme et de poésie qui m'a beaucoup touché.

Des petits bémols cependant pour:
- La petite sœur pour qui j'ai eu un coup de cœur et que j'aurais aimé voir plus souvent
- La manière dont tout le monde insiste pour dire que le héros principal est une bonne personne alors qu'il poursuit égoïstement son rêve sans se préoccuper outre mesure de la santé de sa petit amie.
- Le manque de recul du personnage sur ses créations et surtout leur utilité finale (qui n'est en fait abordé qu'à la fin).

Malgré tout, cela n'altère pas la beauté et la poésie de l'ensemble et j'avoue avoir passé un très bon moment.

Annotation :

30/01/2014
Rétablissement du rituel ciné/resto avec mon acolyte de cinoche! (Même si on s'est cette fois contentés d'un McDo) Ça fait du bien!
Accompagnée en plus d'une nouvelle recrue (et au ciné et sur SC): Mana

Cf. critique

Annotation :

3/02/2014
Ciné-resto avec l'acolyte de ciné sus-cité (La pizza était d'ailleurs tellement bonne que j'ai failli en rater le dernier métro!)

Je ne sais décidément pas quoi penser de ce film. Ma note se balade quelque part entre le 6 et le 7 sans réussir à se fixer. Je pense qu'un 6,5 lui conviendrait bien!
Bien que l'histoire soit loin de m'avoir ennuyée, il manque malgré tout la petite étincelle qui fait que...
Je crois que j'ai surtout eu beaucoup de mal avec Matthew McConaughey...à moins que ce soit avec son personnage...à voir!

Malgré tout, je salue haut la main sa prestation ainsi que celle, époustouflante, de Jared Leto, qui aurait cependant mérité un personnage un peu plus creusé.

Annotation :

11/02/2014 - Gaumont (Cinéday (encore heureux!))
Soirée de la loose: Oubli de ma carte de transport, plus de place pour Jacky au royaume des filles donc rabattage sur "Un beau dimanche" (c'était ça ou The Ryan initiative). Plus de place à l'arrière de la salle, obligation de se mettre tout devant avec un réal qui ne connait pas le trépied et m'a rendu complètement nauséeuse.

Bref, dur dur de critiquer objectivement ce film sachant que mon seul objectif durant le visionnage était de ne pas dégobiller sur les pompes de ce pauvre Clemtweb.
De ce visionnage désagréable je retiens une histoire lente et sans surprise! Bref franchement pas de quoi enflammer les foules et même plutôt à déconseiller. Ce qui est bête car Pierre Rochefort s'en sort pas mal dans son rôle.

Annotation :

19/02/2014 - Utopia
Ciné-resto avec l'acolyte de ciné habituel. Autant vous dire qu'on a fini dans un resto indien vu la dalle immense que donne le film!

Très bonne surprise et coup de cœur cinématographique.

Cf. critique

Annotation :

20/02/2014 - Utopia
Aprem ciné avec une amie

Très bonne surprise!

Cf.critique