Aimable, vous avez dit aimable ?

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Un des films les plus sinistres qui soient. Ultra volent, ignoble, odieux, il est à l'origine même de cette liste.

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Une grosse dépression et un déchaînement de violence ordinaire.

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Je n'ai pas tout compris, mais c'est violent, sale, et complètement barge.

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Humour noir et totalement gratuit, que certains détesteront. Moi ça me fait hurler de rire.

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Pour moi le chef d'oeuvre de Noé. Rien ne nous est épargné, de l'extincteur au viol, mais le film s'achève sur une séquence somptueuse, qui était amorcée d'une manière bien différente dans Seul contre tous.

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Entre autres affronts odieux - mais franchement drôles - une scène avec un bébé et Romain Duris en roue libre.

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Âmes sensibles s'abstenir. Striptease et l'Affaire du petit Grégory mixés et revus par Poelvoorde et sa bande. L'acteur belge dans son rôle le plus extrême, un humour souvent douteux, plus noir tu meurs.

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Rire du cancer, c'était casse gueule. C'était sans compter sur Blier, toujours à la pointe pour bricoler des scénarii géniaux et tourner le rire en malaise.. et vice versa. Les deux acteurs sont très bons, mais c'est Anne Alvaro qui finit par vous arracher une larme. Un film tranchant comme le fil d'une guillotine.

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Parce qu'on ne peut pas tout aimer, tout supporter. Ce film est maîtrisé, mais je le trouve complaisant. Je me suis rarement senti aussi mal et révolté, et l'impuissance du personnage faisait écho à la mienne. Détestable histoire qui, pour des raisons peu évidentes, n'a pas réussi à me convaincre. Interprètes remarquables et épilogue glaçant.

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Ca pisse, ça fume, ça chante, ça baise, ça bastonne, ça nazi, ça tue. Film d'animation générationnel, choquant et libertaire, imparfait et très rigolo.

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Bon là j'ai détesté et je suis clairement minoritaire. Je trouve ça gratuitement glauque, inutilement long et complaisant dans la souffrance et la torture... Et surtout assez mal fait. Mais sinon, ça reste un film du point de vue d'un psychopathe donc niveau amabilité ça se pose là.

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Viens voir le p'tit boucher, voir le charcutier, voir le gros taré, qui arriveuuuh ♫
Un film d'une sauvagerie rare, mais pour une fois intelligent. Très bonne adaptation étoffée d'une excellente nouvelle de Clive Barker. Fin (fidèle) terrifiante. Et puis le boucher, monolithique, répondant au doux nom de Mahogany (acajou), vaut à lui seul le détour.

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La crise commençait en France et le film était déjà là. Depardieu "héneaurme" et Adjani mystérieuse, avec une belle bande de rednecks et de beaufs au milieu. Nostalgique et réjouissant.

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Légèrement meilleur que le précédent : plus libre, plus fou, plus odieux aussi. Violent, cruel, sans concessions. Et toujours aussi réjouissant.

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Cette fois ça rigole moins. La crise vue du côté réaliste et déprimant. Époustouflante Corinne Masiero, musique endiablée -et épuisante de Nina Simone. Rarement un personnage antipathique m'aura autant ému.

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Mise en esclavage, exhibée, violée, bafouée, ...

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Splash le crâne ! Avant cette effusion douloureuse, c'est presque une heure de dialogues crus, de décors (naturels) sales, de héros laids, de quotidien merdique. Et puis ça démarre, ça s'emballe et le film passionne. Jusqu'à la fuite finale et la séquence de la boîte de nuit, marquante.

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Devenue folle, mystique, nymphomane, autodestructrice.

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Violées, tuées, violemment vengées, enfermées, martyrisées.

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Paumés, piégés, torturés, nazifiés.

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Ecorché vif.

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Bouffés, violés, brûlés, déchirés.

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Bon là c'est drôle mais quand même parsemé de crimes horribles.

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Catégorie hystérie et règlement de comptes en famille.