Albums écoutés en 2019

Annotation :

Un plaisir de découvrir les débuts solos d'Ozzy après deux albums assez confus de Black Sabbath. Le Madman a eu le nez creux en s'entourant notamment du virtuose Randy Rhoads dont les solos me hantent encore. Un album percutant !

Annotation :

Le retour aux sources fait plaisir mais le groupe a la fâcheuse tendance de rendre certains titres interminables. On retiendra particulièrement un Hardwired old school cool et un Spit out the bone puissant. Le reste oscille entre sympathique et chiant.

Annotation :

On plonge dans un autre univers avec cette basse lourde, ces riffs enragés et cette voix planante toutefois parsemée de violence. Un beau coup de coeur pour cet album assez impressionnant pour un premier jet.

Annotation :

Les quelques petites limites pas très méchantes entraperçues sur la précédente galette s'amplifient ici dans un album qui mêle le lourd et le correct sans plus. Mais rien à faire, la voix limite plaintive d'Ozzy et la guitare de Tony m'emportent. Je trouve la nouvelle direction du groupe intéressante, moins axée sur la noirceur malgré des thèmes pas simples à aborder. Gros coup de coeur sur les titres You won't change me et Dirty Women.

Annotation :

Nous sommes quand même à mille lieux des derniers albums... Tout n'est pas parfait mais je suis sensible au mélange des genres, au lyrisme de certains titres et ces lignes de basses entêtantes. Un bon cru.

Annotation :

Je connaissais forcément les deux titres majeurs de l'album (It's my life et such a shame qui sont de franches réussites) et j'ai découvert d'autres pistes sympathiques dans un album qui s'éloigne rarement de sa ligne directrice de synthpop planante. Charmé par le début de l'album et un peu moins par sa deuxième moitié. J'ai toutefois hâte de découvrir les albums ultérieurs pleins de belles promesses.

Annotation :

Un album assez foutraque avec de beaux riffs métalliques, des ballades tantôt planantes tantôt moyennes. On sent que ça part un peu dans tous les sens. La patte Sabbath est là, l'orientation du dernier album se confirme et c'est malheureusement ce qui pêche un peu. Un instant de musique sympathique en attendant l'arrivée de Dio qui redonnera enfin de l'élan à un groupe arrivé à la fin d'un cycle.

Annotation :

Slayer rend hommage à ses influences punk dans cet album de reprises qui envoie la purée avec des titres courts, bourrins et parfois un peu simplistes en début d'album avant de virer dans des reprises de compositions plus élaborées. Araya est hystérique, Hanneman se fait plaisir et Bostaph martèle ses fûts avec une redoutable efficacité. Ça ne fait pas dans la dentelle mais ça botte bien le derche !

Annotation :

Un beau coup de coeur sur cet album qui combine compositions originales et reprises fortement retravaillées (le Help de DP s'éloigne radicalement du titre des Beatles). L'instru marque dans un premier temps, première piste instrumentale oblige, avec des guitares lourdes qui laissent ensuite la voix planante de Rod Evans nous transporter à travers tout l'album. De quoi donner envie de poursuivre dans le rock psychédélique.

Annotation :

Avant le chef d'oeuvre Welcome to Sky Valley, il y avait ce Blues for the Red Sun un poil plus brutal et beaucoup plus psyché, à la fois dans ses paroles et ses courtes pistes expérimentales disséminées entre deux morceaux plus élaborés. J'étais comme transporté hors du temps durant l'écoute, une vraie évasion musicale.

Annotation :

Découverte totale d'Orange Goblin dont je ne connaissais strictement rien précédemment. C'est du stoner, il y a des envolées spatiales, de la fantasy, des riffs entraînants. On sent que l'enregistrement a du se faire en cave ou en garage mais c'est ce qui donne aussi du cachet à cet album, un son bien crade qui amplifie l'état second dans lequel nous sommes plongés durant l'écoute. Que c'était bon !

Annotation :

Au mieux 2-3 titres sympas. Le reste est sans inspiration et chiant à mourir. Toujours les mêmes tempos qui ne décollent pas et cette voix surappuyée qui devient pénible à la longue.

Annotation :

Un album assez fade passé le Bloody Sunday rageur. Le problème du groupe réside finalement dans les paroles et son interprète. Ce côte humaniste qui se montre me gonfle au plus haut point. L'écoute reste tranquille et pas forcément désagréable mais rien ne me transporte.

Annotation :

Une galette de Megadeth qui s'éloigne radicalement de leurs productions des années 80. L'album reste principalement sur la lignée plus "rock" et mélodique de Youthanasia. C'est un adieu au trash qui ne perd toutefois pas en ingéniosité de composition. Et l'ambiance qui s'en dégage me parle beaucoup. Dommage que cet album soit un peu oublié/mésestimé.

Annotation :

J'étais un peu fâché avec les deux premiers albums des Beatles que je trouvais assez fades. J'ai été bien plus séduit par ce disque, par ces compositions plus élaborées et ces rythmiques qui, même si elles ont tendance à se ressembler, donnent une pêche pas possible.

Annotation :

Album écouté quasiment dans la foulée et tout autant apprécié. J'ai beaucoup aimé la nouvelle approche des textes qui abordent des thèmes plus personnels, plus introspectifs, moins orientés vers le côté amour joyeux. Une tournure intéressante qui confirme mon envie de poursuivre linéairement la discographie des Beatles (je suis certain que le meilleur reste à venir !)

Annotation :

Un album fort sympathique qui te balance un peu tout ce que tu attends de la NWOBHM : des riffs et solos à gogo. Et des bons ! Je dois dire que j'ai trouvé l'ensemble de l'album très homogène dans la qualité bien qu'assez répétitif (et les riffs de Wild Catz calqués sur ceux d'Euthanasia qui ouvre l'album ne sont pas étrangers à cette sensation ressentie de ma part).

Annotation :

La grosse claque ! J'ai pris un pied terrible sur toutes les pistes de l'album. L'architecture des morceaux bâtie sur des changements de rythme faisant place nette à des solos monstrueux m'a fait frissonné comme jamais. Une merveille de A à Z

Annotation :

Percutant est bien le mot pour définir l'album. Nous sommes percutés par les percussions de Phil Taylor et la voix rauque de Lemmy dans un album qui t'envoie la purée sans aucun temps mort. Je suis un peu moins marqué par la guitare ceci dit mais peut-être qu'une prochaine écoute me permettra de réévaluer tout ça. En attendant ce fut une écoute bien remuante !

Annotation :

J'ai déjà écouté cet album il y a une paire d'année sans qu'il m'ait marqué outre mesure. Comme quoi réécouter un disque peut avoir de gros avantages. J'ai vraiment adoré chaque composition avec des riffs qui envoient et des envolées monumentales. On saisit mieux l'influence qu'a pu avoir ce groupe sur Metallica et Megadeth dans les années 80 avec des morceaux longs, comprenant de multiples changements de rythme et de morceaux de bravoure. Une petite pépite.

Annotation :

On retrouve la recette "classique" de Slayer dans un disque qui s'oriente davantage vers le Groove metal du fait notamment d'une instru plus lourde qu'à l'accoutumée. J'ai pris beaucoup de plaisir à écouter cet album, d'autant plus que c'était un lundi matin très tôt, dans la route vers le boulot. Autant dire que ça réveille !

Annotation :

Un Sabbath dans la lignée du premier album enregistré avec Dio. Les morceaux à l'instru lourde partagent la galette avec des titres plus posés, plus mélodiques, dans un ensemble très bien équilibré. Et la voix de velours de Dio procurera plus d'un frisson. Après je dois dire que je n'ai pas eu de coup de coeur particulier mais l'écoute est dans l'ensemble plus que plaisante.

Annotation :

Du bon heavy old school avec de bons titres et zéro déchet. Il manque juste un peu de folie pour m'embarquer davantage.

Annotation :

Une bonne surprise. L'album brasse plusieurs genres avec une spontanéité qui le rend parfois assez confus. Mais les teintes hard rock de l'ensemble m'ont particulièrement plu. Mention spéciale au morceau Great King Rat qui est un bijou aux paroles acérées. Dommage que ce titre ne soit pas plus connu auprès du grand public au lieu de quelques tubes futurs plus dispensables.

Annotation :

Une infâme purge. Tant au niveau des "mélodies" que des paroles d'une pauvreté sans nom, quand ça ne sombre pas dans la débilité et le dégueulasse. Mention spéciale au "vélo d'hiver" qui est un immonde titre avec une progression vraiment malsaine dans le mauvais sens du terme. Et dire qu'on nous les brise avec ce mec qui passe sans arrêt à la radio... A vomir.

Annotation :

On baigne dans une ambiance démoniaque sur cet album redoutable d'efficacité qui compile les titres percutants. Un bon gros plaisir du début à la fin. Et quelle intro ! Une progression perturbante jusqu'à l'arrivée de riffs jouissifs et de ce "Doooon't break the circle" entêtant. Un bijou !

Annotation :

On sent qu'on arrive au bout d'un cycle dans cet album qui ne laisse pas un souvenir impérissable du fait de titres sympathiques mais pas particulièrement accrocheurs.

Annotation :

Un des albums précurseurs de la NWOBHM qui comporte ces ingrédients typiques qui nous plaisent tant dans le mouvement : des riffs à gogo, des solos qui déchirent et des paroles sombres qui arrivent à nous remuer. On y retrouve également une forte influence de Black Sabbath (Tommy Iommi étant d'ailleurs producteur de l'album), ce qui n'est pas pour me déplaire, vous l'aurez deviné.

Annotation :

Nom de dieu si je m'attendais à ça. Un album imparfait clairement mais à l'énergie folle ! On frôle l'hystérie totale avec un Ian Gillian déchaîné et ces riffs de folie. J'ai pris un pied terrible ! Un disque terriblement sous-estimé...

Annotation :

On reconnaît la gratte de Iommi mais on devine sans peine sa grise mine renfrognée derrière sa moustache dans cet album écoutable mais bien trop fade. Ça ne décolle jamais malheureusement mais ce n'est pas étonnant vu la production chaotique.