Another Worlds - Aventures solo

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Sorti sur Steam il y a seulement 3 jours au moment où j'écris ces lignes et sur le XBLA depuis... perpette, en fait, Dust est une vraie surprise. Et une très, très bonne, avec ça.

Action-RPG Metroidvania-esque, le jeu se démarque sur plusieurs points, mais je pense que l'un de ses gros points forts reste la réalisation. Je ne suis normalement pas du genre à juger uniquement sur les graphismes & stuff, mais bon dieu, Dust est juste MAGNIFIQUE. Les décors sont vraiment très beaux, les persos détaillés et très fluides, les effets sont super jolis, la musique est excellente, et le voice acting sert magnifiquement bien le jeu et l'histoire. Le scénario est, pour l'instant (j'ai 2-3 heures de jeu dans les pattes), relativement classique à base de héros amnésique et autre, mais l'écriture et les dialogues sont de très bonne qualités, souvent bourrés d'humour, de références à d'autre jeux (le poulet mural, ça parle à quelqu'un?) et de 4th-wall-breaking-moments (Fidget est abonnée à ça), le tout aidé par le voice acting cité plus haut.
L'univers, à base d'animaux antropomorphiques (AKA Furries), est enchanteur et vaut déjà largement le détour.

Le gameplay n'est évidemment pas en reste non plus: le jeu est très fluide, et très fun. Les contrôles réagissent au poil et, POUR UNE FOIS, le perso fait exactement ce qu'on a envie de faire sans galérer. Les combats sont également dynamiques et rigolos.

Le jeu n'est pas sans défaut cependant: d'aucuns pourrait reprocher un manque de variété des combos à l'épée de Dust, et la difficulté est probablement trop faible pour représenter un réel challenge en Normal. C'est une erreur que j'ai commise, donc ne la faites pas: mode Hard ou Extreme si vous voulez du défi, direct.

Mais franchement, ces défauts là sont bien maigres en comparaison de la qualité globale du jeu, tant dans la réalisation que dans le gameplay.
Le tout, sans parler de la conversion Xbox >> PC qui est tout simplement l'une des meilleures ayant jamais vu le jour jusqu'ici.

Et dernier détail qui force le respect: les visuels et le gameplay dans leur intégralité ont été réalisés par UN SEUL GARS sur 3 ans, qui n'a en fait eu besoin d'aide que pour la partie audio et a un co-écrivain pour le scénario. Sachant que le jeu met une mine à la plupart des grosses productions actuelles sur tous les points de vue, ça calme tout de suite.

Annotation :

Voilààààà, voilàààà, voilàààà. Je pense que j'ai pas vraiment besoin de rentrer dans plus de détails ici.
Histoire plus dirigiste qu'on l'aurait espéré, mais ça n'enlève rien à sa grande qualité: quand on tient à ce point aux personnages que l'on recontre au fil de l'aventure de l'aventure de Lee, quand on ressent d'aussi vives émotions envers eux, positives comme négatives, quand on réussit à faire un gamin dans un jeu vidéo qui n'est non seulement pas chiant et relou, mais en plus intéressant et attachant, finalement les défauts du jeu prennent bien peu de place par rapport à l'aventure que l'on vient de vivre.
Certes, tout n'est pas parfait, loin s'en faut même, mais il s'agit avant tout d'une histoire. Et quand l'histoire en question vous amène à avoir des émotions pareilles sur le long de l'aventure, alors c'est qu'elle a fait un super bon boulot à ça. Et c'est globalement ce qu'on lui demande à la base.

Annotation :

Yep, un FPS linéaire et uniquement solo à tendance arcade (combos, score, et tout le toutim). Cependant, celui ci dégage quelque chose de plus que la plupart des FPS linéaires du genre... Comment ça s'appelle déjà? Ah, oui. Du fun.
Gunslinger narre les aventures de Silas Greaves, un chasseur de primes ayant rencontré la plupart des bandits du Far West (Billy the Kid, les Dalton, etc.). L'histoire est raconté par Greaves lui-même au détour d'un bar, et ce qui pourrait avoir la tronche de simples flashbacks change en fait en fonction de la narration : si le héros donne des détails ou modifie des informations en cours de route, voire renarre carrément tout le passage que vous venez juste de faire d'un point de vue complètement différent, le jeu les affichera et vous le fera jouer. Ce qui donne lieu à des scènes souvent très marrantes. Un Bastion inversé, en somme. Bref, l'écriture -pour un jeu du genre- est pas mal,et le gameplay est fun. Plus, c'est à petit prix (15 euros). J'ai encore à le finir, mais j'aime bien.

Annotation :

Basé sur l'univers de Strike Suit Zero sorti 3 mois avant, Infinity est un Score Attack dans un simulateur de combat. Autrement dit, pas de scénario: votre seul objectif est de survivre aux 19 (?) rounds du jeu, à la difficulté croissante (et ça devient très vite dur, croyez moi), le dernier n'étant ni plus ni moins qu'un Survival infini si possible en engrangeant le maximum de points au passage. Etant un fan de Score Attacks à la base, je n'ai aucun problème à adhérer à la sauce, et le jeu est fun de base. Bon, apprendre à utiliser le système de lock à bon escient fait en fait le tiers du boulot, mais quand même.
Contrairement à SSZ, il n'a donc pas de scénario... On the other hand, on parle là d'un stand alone à 6 euros (3 en ce moment, ou si vous possédez SSZ) qui n'a pas les mêmes ambitions à la base. Et le jeu fait TRES BIEN ce qu'il annonce.
D'autant plus que la réalisation globale est à l'image de SSZ: franchement jolie. L'espace n'a jamais été aussi coloré à ma connaissance.

Annotation :

Fear's awake, Anger beasts loud,
Face reality, Never be charity,
The enemy you're fighting covers whole society
-Damn right !
Mommy's not here, gonna fight
-All night !

Right here, Shadow - Ten o'clock direction,
Face the moment & Destroy the Nation,
You rhyme's slow-motion, give me motivation,
Freaked out now, dead on arrival

Round up around, spit out - all over
Roll like a rollin' stone, comin' a crowd,
Watch out they move, They diss you loud,
Guess what this sound bombs the whole ground
-So round up !

Don't ease your pace 'cuz the enemy's brutal,
Moment o' truth - there ain't no truce,

You're the only one
One World
One Love
But the Battle goes on
Shadows of MASS DESTRUCTION !

Annotation :

Ai-je besoin de préciser que je suis un grand fan de Sonic? Je dois admettre que cet épisode là tient une place particulière dans mon coeur, cependant. Inutile de dire que j'ai sauté de joie quand j'ai vu la réédition "HD" sur Steam.
Sonic CD introduit diverses bases du "plate-forme labyrinthe" et un peu d'exploration est nécéssaire si on veut avoir l'une des 2 versions de la bonne fin.
Plus, la mécanique de voyage dans le temps apporte un changement bienvenu - même si il est finalement peu nécéssaire d'aller dans la version Futuriste de certaines zones, autre que pour la beauté de certaines zones une fois restaurées.

Also, la bande son. Ce jeu là en a 2: la version Japonaise/Européenne (oui, pour une fois, on a la même zique que les asiatiques !), et la version Américaine. Les 2 sont switchables sur la version réactualisée, et offrent des ambiances complètement différentes. Même si je reste un grand fan de la version Jap (après tout, les musiques des jeux Sonic ont toujours été d'une grande qualité imo), c'est plutôt le bienvenu.

La version PC offre quelques options supplémentaires, notamment au niveau du système de Spin Dash (à l'ancienne ou version Sonic 2), ainsi que Miles "Easy Mode" Tails Prower en guise de perso déblocable.


Le fanboy parle probablement à ma place, mais bon. Sonic CD quoi.

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Oui, je sais ce que vous vous dites, que ce jeu là aurait techniquement + sa place dans la liste des jeux multis, mais... what the hell. J'ai passé + de temps - et me suis + amusé - sur la campagne solo que sur le multijoueur, pour tout dire, donc bon.

Il faut bien reconnaître que pour un jeu du genre, la campagne en solitaire de SC2 est extrêmement bien foutue. On ne joue que les Terrans, certes, donc l'un de ses rares défauts est qu'elle n'apprend qu'à jouer avec eux... D'un autre côté, d'autres modes sont là pour les autres races, donc prout. Pour le reste, le storytelling est bien (bon, on parle de Blizzard en même temps), les missions sont plus variées que le STR moyen, il y a certaines maps avec des mécaniques intéressantes (comme cette mission où la lave monte à intervalles réguliers sur la carte, vous forçant à faire attention à vos troupes), et un arbre d'évolution permettant de monter vos unités de différentes manières - une bonne partie d'entres elles étant propres à la campagne solo en plus !

Pour une fois que le mode solo d'un jeu de ce genre vaut largement le coup, ça serait dommage de s'en priver... Bon, après, si vous n'accrochez pas au multi très... particulier à côté de ça, 'pouvez laisser tomber je pense. Le jeu a baissé de prix, mais reste encore assez cher par rapport à sa date de sortie.

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Le jeu le plus canadien de tout les temps. Sans rire.
Sang-Froid est un jeu de défense, tout comme l'est Orcs Must Die par exemple (ces 2 là sont TRES différents les uns des autres, hein, mais l'idée y est). Vos personnages, les frères O'Caroll (vous jouez seulement l'un d'eux, au choix, au début de la partie), sont chargés de défendre leur soeur d'abord, puis la zone entière - et par extension vos miches - contre les assauts nocturnes de toutes les bêtes surnaturelles possibles et imaginables, contrôlées par le Diable lui-même. Il faudra donc organiser vos défenses le jour, en plaçant des pièges et/ou en améliorant le matériel de votre bûcheron, pour vous défendre la nuit. Si une seule des constructions visées par les créatures est détruite (ou si vous vous faites botter votre cul québecois), Game Over. Et si on parle au début de simples loups et de 2 bâtiments proches, très vite, la carte, le bestiaire ennemi, et le nombre de bâtiments à défendre s'agrandissent. Fort heureusement, vos possibilités et vos armes le sont également.

Gameplay-wise, la préparation est TOUT. Si vous ne pensez pas vos défenses correctement, vous pouvez être sûrs de vous planter, étant donné que vous ne pouvez pas créer de pièges à la volée pendant la nuit. Le jeu augmente les possibilités de gameplay, à vous comme à vos ennemis, après chaque nuit passée, et c'est à vous de les exploiter correctement. Le combat est une option, valide, tactique et amusante, mais il DOIT prendre en compte les pièges que vous avez placés pour fonctionner. Vous ne pouvez certainement pas gagner contre une dizaine de loups en même temps sans vous aider par des structures placées au préalable.

Bref, le gameplay est bon et + original qu'il n'y paraît... Puis, vient la réalisation globale. Les graphismes, sans être transcendants, sont mignons et sympatiques. Les monstres viennent tous du folklore canadien ou québecois, vous renseignant un peu sur leur culture au passage, et certains peuvent être de vrais Nightmare Fuels... Mais le gros, gros point fort du jeu reste la partie sonore. Les musiques folkloriques sont excellentes, et les voix sont en QUEBECOIS. Oui oui. Mais ce point tout seul ajoute un charme indéniable au jeu, étant donné que ça rend très, très bien.

Bref, Sang-Froid est un petit bijou, qu'il faudrait que je continue à l'occasion. Très amusant dans le gameplay, et une ambiance charmante. A essayer.

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...Hmm. Hotline Miami. Ceeeeee jeu n'est probablement pas fait pour tout le monde, pour des raisons évidentes. Un trip psychédélique au milieu des années 80, rempli de pixels gros comme mon poing et de couleurs flashys dans tous les sens. Sans même parler de la BO remarquable.

Bref, un Die & Retry grisant et ultra violent: il ne faut en général qu'un seul coup de mélée ou une seule balle à vos ennemis pour les abattre, de façon étonamment gore et détaillée pour ce style de graphismes, mais l'inverse est tout aussi valable pour vous. Vous respawnez immédiatement sitôt la touche R pressée, et vous tentez de répéter votre plan soigneusement étudié pour vider l'étage sans mourir, un ballet sanglant où une demi-seconde et une micro-erreur peut faire toute la différence. Et quelle satisfaction une fois le niveau passé !

Le jeu n'est pas non plus avare en bonus à débloquer: des masques vous attendent dans quasiment tous les levels pour peu que vous sachiez où les trouver, et divers secrets sont à retrouver si vous voulez comprendre un peu mieux ce clusterfuck ambulant. C'est également un paradis pour les adeptes du scoring: si vous voulez faire péter les leaderboards, vous en avez largement la possibilité, croyez moi.

Hotline Miami n'est pas un jeu à mettre entre toutes les mains, pour diverses raisons... Mais si vous êtes dans la partie éligible par l'ambiance hypnotique sous acides et que la violence pixellisée ne vous dérange pas, alors vous pouvez passer un bon moment. Le mieux reste de mater quelques vidéos avant. Evitez juste de parler du jeu à Familles de France ou France 2, s'il vous plaît.

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En voilà un drôle de jeu que celui là.
[Je développerai plus tard en fait, flemme là]

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Dude. PORTAL. Je vais quand même pas vous faire l'affront de décrire celui là, si?

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Dude. PORTAL 2. Je vais quand même pas vous faire l'affront de décrire celui là, si?
(Also, techniquement aussi éligible pour ma liste des jeux multis, mais whatever)

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Je risque ptêt de me faire basher à vue avec ça dans ma liste, mais... prout. Même si il a fait grincer BEAUCOUP de dents à cause du look de son "Donte", DmC est et reste un excellent BTA. Très probablement plus facile que les opus précédents pour diverses raisons (raison n°1: j'ai pu le finir), mais tout de même.

D'un point de vue purement artistique, les Limbes, ce monde complètement twisted ou les démons et la ville elle-même vous attaquent à vue, est en fait plutôt jolie à regarder, agréable à naviguer, et parfois même plutôt colorée (bon, les ambiances varient selon les levels). Le scénario, un reboot complet de la série basé dans un univers contemporain, a une vision assez intéressante sur la société actuelle. On aime ou on aime pas, dans tous les cas ça se laisse suivre.
Bien sûr, que serait un Devil May Cry sans son héros? Et là, Dante est certes complètement différent des jeux précédents, mais à mon humble avis, on est très loin de la tête de con annoncée et décriée partout. Mieux, il a son propre charme et on finit par s'attacher à lui.
Niveau musique, well... Ils ont pas confié la dubstep à Skrillex, et c'est une bonne chose. Il y a un peu de tout, de l'électro aux guitares distordues en passant par des musiques plus "épiques" par moments. Plutôt bon, vraiment, même si là aussi très différent des anciens épisodes.

Reste le gameplay... Peut-être l'un des seuls points du jeu qui ne soit pas si différent des anciens, mais bon sang. Les combats sont vraiment très bons ! Le système permet de faire de jolis combos en switchant constamment entre 5 armes, + 3 armes à feu, et faire des combinaisons classes est vraiment fun. De plus, le switch d'armes angélique/démoniaque établit aussi un système de grappins, aussi utilisés dans les phases de plate-forme, et d'ennemis façon Ikaruga, sensibles à un type d'arme. Du bon, franchement.

Bref, une agréable surprise qu'est ce DmC. Et fin du fin, la conversion PC se permet d'être de très bonne facture.

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Encore un jeu sur lequel je me suis arrêté à 2 mètres du bol de sangria, tiens...
Ce qui était à la base parti pour être un achat "secondaire" d'un bundle à la con se révèle être en fait une agréable surprise.
Ca commence doucement pourtant, on vous lâche juste dans une grotte sans aucune explication ni musique, avec juste votre bi- votre pistolet, et ça prend la forme d'un petit jeu de plate-formes rétro.
Puis, la musique déboule.
Et tout s'enchaîne.

Le scénario arrive un toooout petit peu plus tard, et là aussi ça commence doucement, à base de petits êtres ressemblant à des lapins, les Mimigas, avec qui vous pouvez intéragir... Ca commence doucement, innocement... Et puis après... oooooouh putain. Sans trop spoiler, croyez moi quand je dis que l'outcome de votre première partie risque d'être carrément inattendu pour un jeu aussi "mignon".

Cave Story + est un jeu vraiment prenant (quand on est dans le bain), difficile et délicieusement rétro. Le scénario est bien plus intéressant qu'il n'y paraît au premier abord, les musiques sont enchanteresses et dans la veine des graphismes plutôt mimis, et le challenge est au rendez-vous. De plus, les fins multiples vous donneront envie d'y retourner (bon, si vous n'êtes pas comme moi et avez lâchés à 2 mètres du finish parce que vous êtes un peu con), et il y a de bons passages "Guide Dang it" pour tout avoir. Franchement, une bonne suprise.

Annotation :

Votre attention, s'il vous plaît. Avant de vous lancer dans ce petit jeu gratuit fort sympathique. Je ne saurais que trop vous recommander de préparer vos nerfs d'aciers.
Vous allez en avoir besoin.

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Je vais être honnête: je ne suis pas un grand fan de la série Zelda, et ce n'est franchement pas faute d'avoir essayé.
Néanmoins, Majora's Mask est une exception. Et pas qu'une exception dans mes goûts, hein, une exception dans toute cette fichue série.
Il s'agit là du tout 1er Zelda que j'ai jamais possédé, et l'un de ceux sur lequels j'ai passé le plus de temps (avec Oracle of Seasons, mais pas tout à fait pour les mêmes raisons). Donc il tient certes une place spéciale dans mon esprit de base, mais même sans parler de ça, en termes d'ambiance générale et de mécaniques de gameplay, il sort clairement du lot par rapport aux Zelda plus classiques, ne serait-ce qu'à cause du fait que le temps soit compté et l'accent placé sur les masques. Ah, et ni Zelda ni Ganondorf ne sont là, aussi, ce qui en soit est déjà un changement par rapport aux 17 autres itérations.

Granted, ça veut aussi dire que j'ai jamais été foutu de le finir étant gosse, parce qu'il y a un passage qui me faisait flipper tout particulièrement... Et qu'il faudrait que je le retente maintenant, d'ailleurs. J'ai une vengeance plus ou moins personnelle à prendre contre cette fichue lune, et il faudrait que je la satisfasse (mange ta conjugaison) un jour. Heureusement que tu pouvais te concentrer sur la CHIEE de quêtes annexes plutôt que la trame principale si tu voulais. Y'avait VRAIMENT de quoi faire.

Enfin, tout ça pour dire que, Majora's Mask. Un épisode à part dans la série, et à part dans mon coeur. Franchement, tentez le.

Annotation :

Ne demandez pas ce que c'est. Vous VOULEZ jouer à ce jeu.
Vous le VOULEZ.