Cover Au Théâtre du 7e Art * Le Cinéma Culte de mes Années '80

Au Théâtre du 7e Art * Le Cinéma Culte de mes Années '80

Au Théâtre du 7e Art * c'est LE cinéma de ma jeunesse. Un Théatre à l'ancienne (genre de Théatre à l'italienne) transformé en cinéma et avec 3 salles, une petite une grande une moyenne, où nous allions voir bon nombre de films au court de ses glorieuses années à l'insolence de notre adolescente ...

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36 films

créee il y a environ 8 ans · modifiée il y a 8 mois

Métal hurlant
6.7

Métal hurlant (1981)

Heavy Metal

1 h 26 min. Sortie : 4 novembre 1981 (France). Animation, Aventure, Fantasy

Long-métrage d'animation de Gerald Potterton

Annotation :

Bon sang ?! On n'était nombreux à l'attendre celui-ci !

L'un des tout 1er films animée réussi loin du format Disney... Énorme !
Pour l'époque... É-nor-me ! Rutilant... au parfum de Sexe... Sexy ! aaah Taarna et sa blanche crinière ! Magnifique ! Satirique ! Odeur de soufre, de scandale, de stupre... toute la gouaille du Métal hurlant ! Excellent !

Évidemment, moi, je n'avais pas l'âge requis pour y aller seul, mais je peux vous garantir que tout avait été planifié longtemps à l'avance pour que je puisse être compté parmi la foule des strapontins full !

Même si, musicalement ce genre de Rock c'était pas ma came, j'y étais et c'était comme si toute une frange d'un monde venu d'un ailleurs, venu d'une autre planète était là... et bien là ! Être présent au soir de sa sortie en '81 fut une expérience épique pour les gosses de ma génération.

Métal Hurlant c'est la narration de différents univers, un peu comme plusieurs épisodes l'un après l'autre qui s'unissent à travers un être maléfique qui les traverse tous, jusqu'au dénouement final avec Taarna la magnifique amazone de l'affiche.

Dans l'un des épisodes, Harry Canyon, chauffeur de taxi recueille une jeune femme et la soustrait à la fois à ses poursuivants ainsi qu'aux forces de police. ce qui est trait pour trait le synopsis du Cinquième élément !

Sans compter que le taxi est très exactement une réplique à l'identique... ouais ?! Ben pourquoi pas ?! Hein ?! Mister Besson ?!

Rusty James
7.3

Rusty James (1983)

Rumble Fish

1 h 34 min. Sortie : 15 février 1984 (France). Drame, Action

Film de Francis Ford Coppola

Annotation :

À l'époque j'avais pas remarqué le nom du réalisateur.

Non à l'époque, à part la p'tite Diane Lane, on remarquait bien que ce film était super syncro avec l'air du temps...

Un temps, un brin avant-gardiste. Rien que dans l'idées génial des poissons en couleurs dans le bocal d'une image noir et blanc.

En compagnie de mon acolyte, qui fut longtemps comme mon Motorcycle Boy de grand frère à moi... jusqu'à son départ pour son paradis mais dans un train d'enfer...

Tout deux et par jeux, nous avions déjà jeté sur le papier des idées de scénario avec ce genre de détails, une techniques de peintre, ouais ?!

Et longtemps avant que ne sorte ce film hein ?! ...

Et si moi de mon côté je n'avais absolument pas le look Rusty James, mon Home-Boy de grand frère lui avait tout a fait l'air cool d'un Mickey Rourke. Alors que physiquement il ne lui ressemblait pas vraiment et pour la moto c'était pas encore çà, mais pour le reste, çà l'faisait bien !

Surtout pour le côté décalé et un rien délirant !

C'était à l'époque mon 1er Coppola et je n'en savait rien. Non plus que celui-ci, allait devenir, pour ma pomme, ce réalisateur de référence number-one, longtemps, longtemps, longtemps après ce Rusty James d'Anthologie !

Outsiders
7

Outsiders (1983)

The Outsiders

1 h 54 min. Sortie : 7 septembre 1983 (France). Drame

Film de Francis Ford Coppola

Annotation :

Encore un Coppola dont à l'époque le nom même de ce réalisateur ne me marquais pas plus que çà, mais dont l'oeuvre, en l'occurrence ici Outsider allait marqué l'inconscient de certain gamins de ma génération...

Sans doute aussi parce que bon nombre des acteurs allait devenir les stars montantes des salles obscures pour les deux décennies suivante.

On allait se voir grandir en parallèle de chaque côté de l'écran...

De nos jours certain de ses acteurs continu encore de gravir les écrans avec ce même rythme limite underground... genre Matt Dillon.

Alors que du côté obscur de la salle, certain d'entre nous sont encore et toujours des Outsiders pour leur milieu respectif... Ben ouais !

Down by Law - Sous le coup de la loi
7.7

Down by Law - Sous le coup de la loi (1986)

Down by Law

1 h 46 min. Sortie : 12 novembre 1986 (France). Comédie, Policier, Drame

Film de Jim Jarmusch

Annotation :

" I scream ! You scream ! We all scream for an ice-cream !"

C'est la collision cinématographique d'une rencontre frontal avec Roberto Benigni. Le Roberto de la vie est belle et qui est ici déjà bien Beni-gni, si-si ! !

Une fois de plus c'est dans ce cinéma d'Art-et-Essai et seulement dans ce genre de ciné qu'on pouvait voir des films de Jim Jarmush même si une fois de plus, en cette année de 1986 je ne prêtais pas encore tant qu'çà attention au nom du réal.

Et même si, confusément, son nom restait présent approximativement comme celui des acteurs ou le titre d'une chanson dans un nuage de fumée avec lunette noir pour nuit blanche.

Durant les eigthies la pellicule pour le noir et blanc restait définitivement hyper-branché et d'avant-garde.

Et Tom Wait avec sa musique gagnait les platines-vinyle des endroits les plus avant-gardiste qui se puisse trouver à cette époque... Gé-nial !

Rétro-projection d'images de films noir et blanc sur des draps tendu dans des caves voutés où toute une faune très très hétéroclite tout autant qu'homoclitorite se retrouvait pour célébré l'instant présent en des fêtes au goût de carnavals tendance art-gothique romantique punk-rock & funky !

De bien belle années, ouaip !

Stranger Than Paradise
7.2

Stranger Than Paradise (1984)

1 h 29 min. Sortie : 9 janvier 1985 (France). Comédie dramatique

Film de Jim Jarmusch

Annotation :

A peu d'choses près... même Cinéma... que précédemment !

Un monde sans pitié
6.9

Un monde sans pitié (1989)

1 h 24 min. Sortie : 22 novembre 1989 (France). Comédie romantique

Film de Eric Rochant

Crin Blanc a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Ce film, qui marque la fin des années '80 est Le Film de toute une génération putain !

Je sais plus combien de fois l'injonction "putain" ponctue le phrasé de chaque réplique, mais putain ! il me semble que c'est un record pour le cinéma français !

Un film qui fait écho avec la jeunesse de son audience. É-norme !

J'me demande comment il s'en sort avec la sanction du temps passé... Plus de 25 ans putain !

37°2 le matin
6.8

37°2 le matin (1986)

2 h 01 min. Sortie : 9 avril 1986. Drame, Romance

Film de Jean-Jacques Beineix

Annotation :

Malgré la hauteur du succès de 37°2 celui-ci reste un film d'auteur.

Et c'est dans ce magnifique Théâtre du 7e Art que j'ai vu ce film de Cinéma, en parfait accord avec la jeunesse de son temps, de ses acteurs et de sa saison qui perdurera pendant plusieurs Été d'affilé !

Impacte Générationnel... Entrainant à sa suite le phénomène libraire Phillippe Djian.

Auteur mal perçu par l'intelligencia des branches littéraires de l'époque d'alors... Est-ce encore le cas aujourd'hui ?!

Le Grand Bleu
6.7

Le Grand Bleu (1988)

2 h 16 min. Sortie : 11 mai 1988. Aventure, Drame, Sport

Film de Luc Besson

Annotation :

Lorsque le Grand Bleu est sortie sur les écrans, il faisait beau, il faisait bleu. Grand ciel bleu sur toute la France.

C'était l'été et le film, s'il fut au final, un énorme succès, n'en démarra pas moins petitement.

Et çà ce fut certainement dût, à la presse par trop parisienne, et la conséquence c'est que...

Pendant quelques semaines, le Grand Bleu resta comme un film under-the-sea, en apnée, sous la surface de la ligne de flottaison, et ce Grande Bleu dût sa remarquable carrière au formidable bouche-à-oreille qui fonctionnait à merveille à cette époque.

Le téléphone portable n'étant pas encore de mise, la communication fût charnel et en mode réelle.

Je me souviens que 37°2 le matin sortie deux étés plus tôt, était encore à l'affiche alors que le Grand Bleu débarquait dans ce Théâtre du 7e Art près d'chez moi.

Puis à quelques semaines de là, le Grand Bleu se retrouvera à l'affiche de l'autre cinéma, celui à grosse capacité de siège, tout en restant à l'affiche des deux ciné ! Entament ainsi son odyssée de "Blockbuster " de l'été '88.

Une grande année, un grand cru... Tout Bleu !

Bagdad Café
7.2

Bagdad Café (1987)

Out of Rosenheim

1 h 31 min. Sortie : 20 avril 1988 (France). Comédie dramatique

Film de Percy Adlon

Annotation :

C'est la chanson "A cofiii machiiine " qui s'imposa un peu partout, tant et si bien que la bande son avait envahie les ondes radio, devenant l'un des hits de cet été '88.

Cette année là fut un grand cru, comme on n'en n'a pas revu depuis longtemps.

Prince et son Lovesexy tour offrait l'un des shows les plus beau de toute sa carrière, mais l'un des plus dispendieux, ce qui obligea le p'tit Prince a accepté un travail de commande... la B.O du Batman à la Burton.

Eh bien, en voilà une de digression qu'elle est bonne !

Le Temps des Gitans
7.9

Le Temps des Gitans (1988)

Dom za vešanje

2 h 22 min. Sortie : 15 novembre 1989 (France). Drame

Film de Emir Kusturica

Annotation :

Là encore, c'est le côté musical du film qui occupa l'espace sonore d'une époque riche, fertile, féconde, diverse et variée. Un peu à l'image de ce film de Kusturica.

C'est ce Film qui le propulsa à l'avant-scène de ce village Global qu'était le monde devenu, et sans trop qu'on s'en aperçoive réellement... cela se fit, mmmh ?!

Naturellement en fait !

À un rythme encore très respectueux (si on peut le formuler ainsi ?!) Ouais ! Genre le temps qui prend son temps, tu vois non ?! Et tellement riches de ses différences et de sa variété.

Le temps des Gitans ? Un film magique qui resta plusieurs années à l'affiche côté Art et Essai. Même que la B.O tu l'as trouvais en Compact Disc & k7 à la caisse.

Le Dernier Combat
6.3

Le Dernier Combat (1983)

1 h 32 min. Sortie : 6 avril 1983 (France). Science-fiction

Film de Luc Besson

Annotation :

On vit débarquer ce film en salle côté Art-et-Essai. Bien après le succès sans précédent du Grand Bleu.

Donc, malgré son année de production en '83 c'est en '88 ou '89 que nous avons eu la possibilité de voir ce film culte quasi underground à l'époque. Et ressuscité sur grand écran.

Une curiosité, vraiment ! Un ovni ! Et pour moi qui ne suis pas forcément fan des productions à la Besson à quelques exceptions près... Et bien celui-ci fait partie des perles.

Un 1er film, une 1er claque !

A revoir... pour voir si celui-ci à bien mûrie avec l'âge.

Il me semble me souvenir que l'image en noir et blanc virai plutôt sur une tonalité de contraste délavé tirant un peu sur le bleu ?!

Bon souvenir en tout cas, avec une surprise de taille, car pour ma partit ce jusqu'à la fin, et alors que nous discutons de nos impressions de ce film avec mon alcoolique d'acolyte, sur le tapis rouge du trottoir devant l'affiche, je n'avais même pas remarqué que tout du long du film, ils...

Elephant Man
8

Elephant Man (1980)

The Elephant Man

2 h 04 min. Sortie : 8 avril 1981 (France). Biopic, Drame

Film de David Lynch

Annotation :

Dieu Merci !

Il y avait le Théâtre du 7e Art qui affichait des films qui datait de plusieurs années déjà et...
C'est grâce à çà que, malgré la sortie de Elephant Man en 1980 Nous pouvions en cette année'89 finir la décennie avec ce petit chef-d'oeuvre sur grand écran, signé Lynch.

Le Noir et Blanc en photo était encore très tendance en cette fin de décennie des Eighties.

Et je crois bien qu'en ce temps-là les histoires de Michael Jackson, ayant soit disant essayé de racheter les restes des ossements de L'Homme-Elephant, eu pour effet de remettre un coup de projecteur sur l'Histoire de Joseph Merrick...

Et j'aime à penser que cet engouement à un niveau international eu pour effet de re-projeté sur grand écran le film de David Lynch.

Sublime !

C'est à dire empli d'effroi et d'une singulière beauté... Esthétique.

Blow Out
7.6

Blow Out (1981)

1 h 47 min. Sortie : 17 février 1982 (France). Thriller

Film de Brian De Palma

Annotation :

Visionnage de Rattrapage dans le cadre Art-et-Essai !

Au beau milieu des années '80. Passage quasi obligatoire pour un ingénieur du son de ce temps-là.

Voir ou re-voir le Blow Out de Brian de Palma.

Brian de Palma dont le nom faisait à lui seul office de titre.

Nostalgique d'un Hitchcok, le nom de Brian de Palma suffisait à attirer des foules de fans d'étudiants bien trop jeune pour avoir vu sur grand écran un film d'Hitchcock ?! Va savoir ?!

Toujours est il que ce petit bijoux bénéficia d'un culte underground assez tôt dans mon entourage... Bien avant qu'il ne devienne la référence Tarantinesque qu'il est aujourd'hui.

Pink Floyd: The Wall
7.8

Pink Floyd: The Wall (1982)

1 h 35 min. Sortie : 14 juillet 1982. Drame

Film de Alan Parker

Annotation :

En ce début des années '80 Non je n'avais pas l'âge requis pour voir ce film en salle. Pourtant, alors que "les grands"eux payaient leur place, s'est caché derrière eux, eux devant la caisse, que je réussi à me glisser dans la salle, ni vu ni connu.

Je me souviens de pas grand chose si ce n'est que ce fut une grosse clac !

Je n'ai rien compris a ce que je voyais sur l'écran si ce n'est la violence d'une scène qui me reste gravé, lorsque le gars devant son miroir se rase... la couenne, puis se rase les sourcils et... et la tête, alouette ! Et fini dans une piscine rouge de son sang ! 'ouch !

Depuis, le garçon et son canasson ont grandi et ont mûri et n'ont toujours pas revu The Wall d'Alan Parker

Cotton Club
6.8

Cotton Club (1984)

The Cotton Club

2 h 07 min. Sortie : 2 janvier 1985 (France). Drame, Gangster, Musique

Film de Francis Ford Coppola

Annotation :

En 1984 J'ai dû aller voir ce film sur grand écran deux ou trois fois ! À cause de la musique, mais surtout pour l'ambiance Cotton-Club des années '30 et des danseurs.

J'avais adoré ce film, d'autant que c'était l'époque ou tout le monde dansait dans les rues, dans les clubs, dans les cages d'escaliers des cités?!

Chaque fois la salle de cinéma qui jouait ce film était pleine, ce qui fait qu'aujourd'hui je reste très étonné que ce film ne fût pas un succès commercial pour Coppola.

Francis Ford Coppola dont le nom malgré le nombre de film qui marque mon adolescence resta loin dans mon inconscient pendant plusieurs décennies...

Étonnant, puisqu'il reste a ce jour ce réalisateur de référence, pour ma part.

Blade Runner
7.9

Blade Runner (1982)

1 h 57 min. Sortie : 15 septembre 1982 (France). Science-fiction, Film noir, Thriller

Film de Ridley Scott

Annotation :

Blade Runner à trainé pas mal de temps en aller-retours dans les salles obscures des années'80 ... Jusqu'au moment où il a fait un retour de circonstance dans sa version final-cut en 2007

Mais sont empreinte reste indéniablement lié au début des années'80 où, il y avait du côté obscure de l'audience, la race de ceux qui ne "tripaient" pas star-wars et qui ont eu cette chance d'avoir à voir et à revoir le noir thiller Blade-Runner.

Ce Blade-Runner fit une entrée remarqué dans la conscience collective des étudiants en architectures et dans les écoles des beaux-arts de ce temps-là. Thank's Ridley !

Alors lui pour le coup, son nom était là inoubliable ; Ridley Scott ! Au même titre que son Film de légende, assurant de sa poésie le final de ce trip d'un futur prophétique à la Bilal :

« J'ai vu tant de choses que vous, humains, ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion.

J'ai vu des rayons fabuleux, des rayons C briller dans l'ombre de la porte de Tannhäuser.

Tous ces moments se perdront dans l'oubli, comme les larmes dans la pluie... Il est temps de mourir. »

Under the Cherry Moon
5.5

Under the Cherry Moon (1986)

1 h 38 min. Sortie : 27 août 1986 (France). Drame, Musique

Film de Prince

Crin Blanc a mis 10/10.

Annotation :

Under the Cherry Moon.

Ce conte Funky tout à la gloire... du style ! Stylé Prince ! Cet oeuvre cinématopgraphique fait office de témoignage de l'âge d'or du jeune homme tout de gloire oré-olé ! Olé !

Filmé en couleur, mais tiré en noir & blanc ( vous ai-je dit que c'était tendance dans les eighties?! ) le film n'eut pas le succès d'estime qu'il aurait pût escompter.

Très très mauvaise distribution ( entre-autre) et donc, bim ! crack ! Une-Der-Ground Direct ! La salle Art-et-Essai ! Ce qui est déjà pas si mal ?!

On assiste là, au tout début de Miss Scott-Thomas entre le duo Prince-Jérom.

Duo qui en jette dans l'attitude hype, type des garçons-funky. Oh Yeah !

Sur le titre phare du clip Girls & Boys qui, sur Paris by Night, fit les beaux soirs des Bains-Douches.

Under the Cherry Moon reste un petit joyaux made in France on the côte-d'azur chérie, et qui ressemblerait à la pochette animé d'un disque vinyle 33 tours.

C'est l'Album - Parade - porteur du hit Kiss qui si colle pour la B.O

Prince pensait nous refaire le coup de Purple Rain...Hélas !

Notez je vous prie la présence de Clare Fischer aux arrangement de cordes. C'est lui Clare Fisher qui donne toute sa saveur à cette Opus Princier tout imagé.

Un petit film d'auteur cocasse et fun... ky ! Just Like a Kiss

Les Prédateurs
6.8

Les Prédateurs (1983)

The Hunger

1 h 37 min. Sortie : 13 juillet 1983 (France). Épouvante-Horreur, Fantastique

Film de Tony Scott

Annotation :

Je me souviens de ce film - Les Prédateurs - parce que c'était l'un des films préféré de mon acolyte.

Quant à moi 'y m'emmerdait un peu ce film ! Et puis, finalement, le talent "n'atteint"pas le nombre d'années, c'est tout récemment que j'ai redécouvert la beauté de cette oeuvre fantastique.
Et j'avoue qu'aujourd'hui il est entré dans ma liste de film culte.

Il aura fallu que le temps passe et re-passe par là, avant que celui-ci ne me touche là où, il faut. Comme quoi ?! C'est, très souvent, une question de disposition intérieur, pour que la réception soit bonne... dans certain cas en tout cas !

- Les Prédateurs - Un film a revoir sur grand écran.

Metropolis
8

Metropolis (1984)

1 h 20 min. Sortie : 1984 (Italie). Science-fiction

Film de Fritz Lang et Giorgio Moroder

Annotation :

Ce film ressortie en version coloré, fut la toile de fond des murs blancs soudainement animés des images de ce classique, dans bon nombre de party étudiante des beaux-arts...
Art-et-Essai l'avait programmé en grande pompe, puis, déprogrammé assez rapidement finalement, à cause des ambiances festives que générait le film de Fritz Lang dans la salle de ce cinéma... É-pique !

Tron
6.5

Tron (1982)

1 h 36 min. Sortie : 8 décembre 1982 (France). Action, Aventure, Science-fiction

Film de Steven Lisberger

Annotation :

Alors... là ! Ce Tron fut vraiment attendu et... Espéré, au moins autant que Métal Hurlant

Et bien qu'il se situa à un autre niveau. Dominant les hautes-sphères depuis sa dimension quasi-mystique.

Une révolution de l'image ! Jamais on n'avait vu un trucs pareille !

Dans l'effervescence de la période des fêtes de fin d'année... Nous sommes aller le voir plusieurs fois de suite, tellement il nous entrainait, ailleurs... en nous-même !

Un triomphe toute génération confondu, un vrai phénomène de société... Ju-bi-la-toire !

Cultisssime d'entrée d'jeux en 1982 ! Enfin... en France hein ?!

Excalibur
7.2

Excalibur (1981)

2 h 20 min. Sortie : 27 mai 1981 (France). Aventure, Drame, Fantasy

Film de John Boorman

Crin Blanc a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Grâce au Théâtre du 7e Art qui rediffusait des films des années passé, j'eu la chance de voir Excalibur sur grand écran quelques années après sa sortie.

Mais là encore, j'avoue que le clinquant des armures et une certaine patine artistique me gênait pour l'apprécier à sa juste valeur, à cette époque.

Étrange, car ce qui me dérangeait hier, est devenu au fil du temps l'un des atouts majeurs qui fait, que ce film fait désormais partie intégrante de ma liste de film culte.

Un de ses films, trop rare, dont le symbolisme de cette histoire, trouve un parfait écho à l'intérieur de soi.

Carmina Burana, la musique de Carl Orff qui en constitue la trame sonore, reste un grand moment de cinéma, pleinement attaché aux images de John Boorman, et pour longtemps.

Longtemps après, les Doors d'Oliver Stone ont changer la donne en une séquence.

Ainsi en est il de la Marche funèbre de Siegfried, tirée du Crépuscule des Dieux.

Avec à la baguette un Trevor Jones, inspiré, pour la composition de la bande originale, qui, habile, mêle plusieurs thème du répertoire classique de Wagner, et qui se retrouve ici sublimé.

Magnifique !

Wolfen
6.6

Wolfen (1981)

1 h 55 min. Sortie : 3 mars 1982 (France). Épouvante-Horreur, Thriller

Film de Michael Wadleigh

Crin Blanc a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Wolfen ! Un de mes films favoris.

Quel chance de l'avoir vu à l'époque de sa sortie en '82 dans ce lieu cultissime de notre jeune âge.

Une fois de plus "les grands" avaient fait diversion pour que je puisse entrer dans la salle sans être vu, n'ayant pas l'âge requis.

Flashback grandiose avec sur le grand écran des loups à New-York !

Impression forte et durable.

Manhattan opposé à l'esprit d'une tradition ancestral plus "parachevé" (pour paraphraser le film) plus parachevé que celle de l'homme, la société des loups !

La bande-son assure dès les premières secondes sur le logo Orion.

C'est un James Horner des grands jours qui si colle, et sa B.O est superbe, soulignant à merveille ce thriller plus mystique que fantastique, dans son plaidoyer écologique d'avant-garde.

Encore une pépite sans âge qui mériterait d'être montré dans sa version voulu par le réalisateur et qui ferais plus de trois heures.

Hélas il faut se consoler avec la version imposé par le studio qui reste au vu du matériel réalisé par Michael Wadleigh une merveille des années '80

La Compagnie des loups
6.7

La Compagnie des loups (1984)

The Company of Wolves

1 h 35 min. Sortie : 23 janvier 1985 (France). Fantastique, Épouvante-Horreur, Drame

Film de Neil Jordan

Annotation :

Il me reviens de cette fable cinématographique, tout le fantastique.

Une histoire de grand méchant loup revisité par le cinéma des eighties... Tout de bon !

Comparé à aujourd'hui, sans doute cela à vieilli, mais c'est certainement ce qui fait aujourd'hui tout comme à l'époque, son charme.

Voilà un film de cinéma charismatique qui nous faisais hurler à la lune.

Dans la course du temps, le Thriller de Docteur Michael et Mister Jack-Son n'en n'était pas si éloigné que çà... Et le loup-garou de Londres de Landis, était aussi dans les parages, la même année sur les écrans, ce me semble ?!

On n'aimait les histoires d'antan raconté au coin du feu sur grand écran ! Èh oui ?!

Faut dire qu'on manquait de cheminé dans les HLM mais on avait en nous le feu sacré !

Dark Crystal
7.2

Dark Crystal (1982)

The Dark Crystal

1 h 33 min. Sortie : 23 mars 1983 (France). Aventure, Fantasy

Film de Jim Henson et Frank Oz

Crin Blanc a mis 10/10.

Annotation :

Elle est impressionnante cette ère du film fantastique durant les Eighties, hein ?!

Franchement ?! Réellement fantastique ! Et magique aussi !

Tous ne sont pas passé au Théâtre du 7e Art... mais les meilleurs d'entre-eux avaient leur salle attitré pendant toute ses années.

Et dans l'genre... Dark Crystal est ce qui se fait de mieux.

Une pépite... une perle, un crystal des eighties !

Une fois de plus on peut y faire une double lecture de la quête mystique en soi et tout autour de soi.

Ravissant les générations successive, une oeuvre qui défi le temps.

Souvent dans la salle les adultes étaient en plus grand nombre que les enfants... ah ah ah !!!

Conan le Barbare
6.9

Conan le Barbare (1982)

Conan the Barbarian

2 h 09 min. Sortie : 7 avril 1982 (France). Fantasy, Aventure

Film de John Milius

Annotation :

Magnifique ! Et Unique !

L'Odyssée de Conan le barbare de John Milius ! Épique !

Arrivé de Schwarzy qui ne sera plus jamais aussi... sublime que dans cet opus là.

Le seul véritable Conan !

Peu de dialogue, tellement l'image parle par elle-même.... Mais soutenu par une musique passé à la postérité.

John Milius aurait voulu Carl Orff à la bande-son, a la place il a hérité du grec Basil Polédouris. Et franchement il y a gagné au change. Et nous aussi.

Un score de légende digne des plus grands compositeurs et qui s'écoute et se vie parfaitement en dehors du film.

Même si les images continu longtemps encore de flotté dans les mélopées oniriques et la charge héroïque full of testostérone !

"Culturissime" cette année Glorieuse année 1982

Meurtre dans un jardin anglais
7.1

Meurtre dans un jardin anglais (1982)

The Draughtsman's Contract

1 h 48 min. Sortie : 29 février 1984 (France). Comédie dramatique, Thriller

Film de Peter Greenaway

Annotation :

Mon 1er Peter Greenaway !

Mon acolyte d'artiste peintre-architecte, au sortir d'une de ses sessions d'Ar-chi... m'avait fait un drôle de résumé du ''Ventre de l'Architecte'' de ce même réalisateur.

Du coup, j'avais retenu le nom de peter Greenaway et...heu ?! Ben' le jardin anglais... j'étais bien entrer dedans, malgré l'immaturité de mes sabots sauvage et non ferrer.

Amadeus
7.9

Amadeus (1984)

2 h 40 min. Sortie : 31 octobre 1984 (France). Biopic, Drame

Film de Miloš Forman

Crin Blanc a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Mozart ?! Mozart... déjà ! hein?! Et pour toujours ! Le film préféré de Nelson ! Roger Nelson... de Minneapolis !

Purple Rain
5.9

Purple Rain (1984)

1 h 55 min. Sortie : 13 février 1985 (France). Musique

Film de Albert Magnoli

Annotation :

Nelson ! Roger Nelson... de Minneapolis !

Valmont
6.4

Valmont (1989)

2 h 20 min. Sortie : 6 décembre 1989 (France). Drame, Romance, Historique

Film de Miloš Forman

Annotation :

... pou pou pou !!! Pourvu qu'elle soit douce ?!

Les Liaisons dangereuses
7.2

Les Liaisons dangereuses (1988)

Dangerous Liaisons

1 h 59 min. Sortie : 22 mars 1989 (France). Drame, Romance

Film de Stephen Frears

Annotation :

Le sommet d'une mode en plein revival-romantic' inauguré ?! fin'79 début '80 !

Dans les clubs tant Londonien que Parisien. D'Athènes à Berlin et... jusqu'à Minneapolis, t'as qu'a voir !

Les Liaisons Dangereuses... Parangon de l'Androgynie d'une Génération de Dandy autant conjurer au Masculin qu'au Féminin et... et qui touche ici à sa fin !

La transe était d'un autre genre... Ouais ?! Tout autre.

Crin Blanc

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