Auteurs mis à l'Index de l'Eglise Catholique (1632-1966)

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D'Alembert est, avec Diderot, l'un des auteurs de l'Encyclopédie de 1751, la première. Les Jésuites, dénonçant l'impiété de l'ouvrage, obtiennent sa mise à l'Index en 1758. Comme souvent à cette époque, la condamnation religieuse est suivie d'une condamnation séculière et l'ouvrage est proscrit par une décision du Conseil d'Etat en 1759.

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Pour l'ensemble de son oeuvre jugée immorale. Il a par ailleurs fait l'objet d'un procès pour outrage aux bonnes moeurs intenté sous le Second Empire.

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Pour "Le Deuxième Sexe", qui a généralement été très mal accueilli par les différentes autorités morales de l'époque à sa sortie. Il a d'ailleurs été expurgé dans plusieurs pays, notamment au Japon et aux Etats-Unis. Ajouté à l'Index en 1956.

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Dans L’Évolution créatrice, ouvrage paru en 1907, le philosophe aborde la question du cheminement de l’évolution, mue par un « élan vital ». Les théologiens ont pu y voir une remise en cause de la place de Dieu dans la création.

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Celui-là même ! Il fut brûlé en place publique en 1600 (contrairement à Galilée, il est bon de le rappeler...). Quelques aperçus sur son oeuvre :

"il proclame en outre que Jésus-Christ n'est pas Dieu mais un simple « mage habile », que le Saint-Esprit est l'âme de ce monde, que Satan sera finalement sauvé". Il fut également l'un des premiers à marcher dans les traces des hypothèses de Copernic en postulant l'existence d'exoplanètes et l'infinité de l'Univers.

Nota : son prénom est bien Giordano, son nom de famille Bruno.

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Pour sa remise en cause de la transsubstantiation dans le "Discours de la méthode".

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"Tous ses livres et romans... sauf le Comte de Monte-Cristo." (véridique !)

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Pour "Histoire du Déclin et de la chute de l'Empire Romain".

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Pour l'ensemble de son oeuvre.

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Pour l'ensemble de son oeuvre.

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L'Église catholique juge que le récit et certains personnages de Notre-Dame de Paris portent atteinte à l’autorité cléricale. Elle inscrit en 1834 Notre-Dame de Paris à l'Index Librorum Prohibitorum. Le roman reste à l’Index jusqu’en 1959.

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Pour "Critique de la Raison pure".