Bon, on oublie 2015 : en 2016, je regarde des films !

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01/01
revu (+1)

Commencer l'année par le meilleur star wars, mais également par un des meilleurs blockbusters jamais sorti, ça fait jamais de mal.

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03/01

J'aime les films qui s'en battent les couilles, ce "Cooties", à défaut d'être phénoménale, est un délire qui demeure vraiment cool et très parodique.
(Puis l'affiche tue)

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06/01

Franchement j'm'attendais pas à grand chose, car Rob Reiner, comme pas mal d'autres réalisateurs, n'était (pour moi du moins) qu'une machine à produire des films, bons, oui, mais impersonnels au possible.
Ici je sais pas trop, ya pas une grosse patte sur le récit, mais le fait est que mon esprit de petit enfant en quête d'aventure a refait surface, très tôt dans le film.
J'suis tellement rentré rapidement dans ce conte que j'ai pu le savourer, jusqu'à la dernière miette : ses personnages, ses répliques très souvent incongrues, son côté très penché parodique, cette dose épique, tout.
Tout ce qu'il faut pour partir à l'aventure dans un film qui, aux premiers abords, paraissait niaisement moyen.

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07/01
revu

La saga comporte trois chefs d'oeuvre, pour une trilogie c'est pas mal, tous d'une puissance identique et d'une epicness jamais à la retraite, même si on pourrait lui reprocher une fin larmoyante, mon Dieu, le reste détruit tout sur son passage, comme un troll affamé j'vous le dis !

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09/01

Ça ne pouvait qu'être Tarantino, pourtant c'est différent, c'est un délire ficelé comme jamais, des interrogations, des dialogues et des personnages parano, des musiques à la limite de l'angoisse. Ça pourrait tendre vers l'horreur humaine, mais c'est Quentin.
Tha Hateful Eight passe du soupçon à l'amusement, des dialogues déferlent, ça fait penser à Fargo même des fois, à The Thing grace à Sir Morricone, sauf que ce n'est pas ça, c'est Tarantino, c'est indescriptible, reconnaissable, mais toujours différent. C'est sec, violent, froid, sans pause tout en en imposant. C'est juste bon, le début d'année commence bien, autour d'une amère tasse de café, entre deux des sexagénaires les plus charismatiques au monde.

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10/01

J'aime bien Jared Padalecki parce que j'adore Supernatural, sinon c'est le paradis des mauvais acteurs, des personnages insupportables et du silicone, c'est mauvais, pratiquement tout le temps, mais ça suffit pour un dimanche soir.

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12/01

Malgré un sentiment de clôture un peu brusque et une fin assez bancale, Carnage est intense, crescendo dans le lâchage collectif et monstrueusement bien joué. Poussif jusqu'à en devenir captivant, le huis-clos de Polanski est propice à énormément de discussions follement humaines, et d'un intérêt croissant.

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13/01

Ouah. C'est fou, ça casse des codes de manière violente, Sono est juste toujours aussi survolté, "Tag" puisque apparemment il s'intitule ainsi, parvient à être monstrueusement beau tout en étant sale, dérangeant, poussif même, souvent, tout le temps. C'est une expérience à vivre, je vais pas faire comme si j'avais tout bien pigé, mais bon... En même temps la réflexion parait dense. Pis cette BO <3 !
Fin bref si Sono parvient à nous pondre quelque chose de ce type 3 ou 4 fois par an, je prends, je prie pour même. La Vie, la Mort ... des salopes toutes les deux, c'est pas la gueule d'ange de Mitsuko qui me fera dire le contraire.

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18/01

C'est bon enfant, sympathique et bienveillant, les acteurs principaux sont vraiment cools ! Mis à part ça, y'a un manque de réel enjeu impactant, c'est clair, et des clichés déjà bien présents, mais est-ce que c'est réellement grave ? J'pense pas.

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24/01

Malgré une morale un peu trop simple pour un film essayant de se démarquer parmi toutes les comédies romantiques identiques qui ont pu la précéder, 500 Days of Summer possède nombre d'idées intéressantes, parfois trop violemment imposées, mais souvent bien dosées et bienvenues. Au final, on se retrouve avec un film léger, optimisme dans un pessimisme annoncé et, clairement, bien sympa à regarder.

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08/02

Mon Dieu. Est-ce que c'est légalement possible de ne pas aimer La Vie aquatique ? De ne pas aimer cette équipe de tendres bonnets rouges éloignés du monde. Ça m'étonnerait. Tout, absolument tout est simplement cool. Cette épopée fantasque à la recherche d'une merveille à qui l'on doit la mort d'un proche. Tout est cool. De Bill Murray et de tout ce casting, aux reprises portugaises de David Bowie en passant par toutes ces merveilleuses scènes, touchantes, drôles, tristes, étranges. Grandioses, La vie aquatique ne paraît pas grandiose, certes, mais après avoir sorti la tête de l'eau, la seule chose que je veux, c'est d'y replonger.

Steevsy.

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09/02

sa fé pa peur lol.

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11/02
revu (+1)

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23/02
revu (Un avis inchangée, une grande œuvre incomprise.)

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23/02
revu(+1)
La nostalgie... Ça m'avait marqué étant gosse, ça a très mal vieilli mais on s'en balance.

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27/02

Gnnh... J'ai rien à dire, rien à reprocher, j'ai simplement regardé, je me suis étendu devant ces grandes étendues... Une époque et des plans fascinants, une œuvre longue, libre, froide, et magistrale. Un film sur l'Homme, sa survie, son esprit, sur la difficulté. Un film sur un tout, un tout bien généreux. Une expérience à vivre, en salle évidemment.

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08/03
revu(+1 et entrée dans le top 10). Un jour j'en parlerai vraiment, de pourquoi ce film est un des meilleurs au monde. En attendant j'ai une critique, pas top mais on s'en contente.

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13/03
Gnnh, critque, tristessse.

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16/03
"revu"(+2). Ouais, mon regard d'enfant était naïf, une rentrée dans un cycle Miyazaki s'amorce donc par une grande œuvre, silencieuse paradoxalement et aux merveilleuses partitions. Une épopée écolo-fantastique dans un univers tellement dense que le quitter fut une manœuvre très cruelle. Brrah, c'était fou.

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18/03
J'suis pas sur d'avoir déja vu "Aliens" dans ma vie... Ce qui est sur c'est que j'm'attendais pas forcément à un film d'action joussif transpirant l'acide et la peur. Surpris, je ne serais dire dans quel sens, reste que le seconde volet mis au point par Tonton Cameron fonctionne terriblement bien.

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18/03
Dans des coins reculés de la sombre Louisiane, parmi la folie et la magie, l'histoire posée et étrange d'Harry Angel s'expose.
Un film sombre, vague, aucun plan d'une netteté totale, d'une clarté totale. Angel Heart est lent, tapant, fort, difficile à aborder, à suivre surtout, mais bien plus intelligent qu'il n'y parait.

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19/03
revu. (Toujours aussi haut dans mon cœur) Comment peut-on vivre sans Brazil ?

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19/03
Hostel est un film qui paraît inutile, c'est d'abord ce que j'en ai pensé, mais ça choque, et si c'est le cas pour vous aussi, et bien c'est normal, c'est comme cela que le film se vend, et ce dernier se veut choquant. Mais Hostel porte tout de même une interrogation (certes minime mais présente) sur l'étranger, l'étrange, la panique, et principalement la souffrance et la perversion.

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28/03
Un film intéressant, un huis clos rythmé de façon très bonne, cependant, malgré un John Goodman dantesque comme à son habitude, le film pêche au niveau du traitement de ses personnages et souffre, peut-être, d'une fin précipité.

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28/03
J'ai maté l'original pour essayer d'élargir ma culture (très faible) en terme de classiques d'horreur, mais en fait, j'm'attendais pas a un film aussi faible, au niveau de tout. Le Vendredi 13 original souffre de tout ce dont souffrent les films d'horreurs classiques, c'est ridicule, téléphoné, fatiguant et frustrant. Pas réelement supérieur, si ce n'est inférieur à ses remakes/suites/prequels/sequels/films/double suites sautées toussa.

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05/04
J'ai pas envie de parler du lynchage sur place publique dont est victime le film, ça risquerai de m’énerver. Je suis allé voir un divertissement, j'ai eu un divertissement satisfaisant, certes long à démarrer, cliché à en vomir, crescendo dans un nawak de plus en plus grossier, mais j'm'en bas, c'était cool à regarder, alors moi je ne sous-noterais pas.

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08/04
C'est rafraichissant, déjanté. Un film qui se moque des codes et de tout ce qui l'entoure, Deadpool est nouveau, con, intelligent. Malgré un faible sentiment de manque au niveau intrigue, le film remplit à merveille son boulot, et c'est rare, qu'un divertissement surprenne à ce point.

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09/04
...Impossible de vraiment résumer le Voyage de Chihiro, un monde bien trop dense pour pouvoir se permettre d'en parler. Ce n'est que ma deuxième étape dans le cycle Miyazaki, et déjà j'en ai appris beaucoup. Rentrer dans cette folie ne fut que très simple, en comparaison à la difficulté que je vais éprouver à la laisser derrière moi. C'est une intrigue palpitante, parsemée de scènes intriguantes, une vision d'un monde irréelle et poussif a souhaits, mais marquant, dès les premières minutes.
Suivre Chihiro fut une folle aventure, qui ne se terminera jamais réellement, un passage, un voyage en train, pur, mystique et merveilleux.

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10/04
Un film agréable bien que choquant de facilité et gonflé de raccourcis grotesques. American Ultra peine à surprendre, mais le duo fonctionne étonnement bien, c'est sympa.

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10/04
On reconnait les influences et les hommages aux séries Z et aux vieux films de monstres, mais, malgré cela, le DTV (oui encore moins de moyens) de Joe Dante peine à se détacher, et souffre de trop grosses facilités, aucunes réelles surprises, ça fait plaisir de voir que le Monsieur possède toujours ses références, cet amour pour le cinéma de divertissement, même si, artistiquement parlant, il n'est plus au top de sa forme.