C'era una volta... : 2019 en films

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C'era una volta: deux rappeurs normands. Le duo n'a jamais brillé de son talent - en tout cas, pas pour moi - mais une certaine sympathie se dégage de ce film lorsque les deux acteurs n'ont pas forcément choisi de se mettre en valeur.

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C'era une volta: l'impossible contrôle . Un autre Hitchcock bien connu. Et ça parle, parle et reparle. Ce film n'est qu'une immense discussion, mais quelle discussion! Les personnages sont très écrits et ont chacun leurs grandes capacités. De plus, l'histoire est tout de même prenante. Cependant, je n'ai pas été aussi subjugué par les décors que dans d'autres films de ce réalisateur.

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C'era una volta: guilty or not guilty. Encore une enquête dont les éléments plaisants sont nombreux, mais le film a tout de même pas mal vieilli et n'est pas exceptionnel.

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C'era una volta: Twin Peaks. De beaucoup trouvent que ce film n'a rien de spécial à dire et que, bien au contraire, il terrifie le mystère que la série nous a laissé dans le dernier épisode de la saison 2. Il est vrai que certaines images mises sur des explications volatiles peuvent y nuire; mais ici, la nuisance est réellement moindre. Lynch n'est pas arrivé sans idées et ce qui est montré ne tue vraiment pas la chimère 'Twin Peaks'. Et, personnellement, le côté bien plus sombre et sans éléments comiques m'a plu. L'épouvante est tout de même réussie...

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Hm, plutôt "C'era una nuova volta: les Ch'tis". Revenu dans ce qui eut fonctionné, ce film n'a que peu d'intérêt, mais il n'est pas cependant aussi horrible que "Raid Dingue". Je ne dirais pas que l'honneur est sauf.

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C'era una volta: l'humour absurde. Le manque de moyen devient une force avec ce film, c'est incroyable le nombre de fou rire que l'on est susceptible d'attraper avec un tel chef d'œuvre.

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C'era una volta: l'humour absurde II. Vraiment très drôle mais moins loufoque sur l'époque, parfois cela cherche juste à décribiliser la religion - et seulement un moment me restera à jamais en mémoire… Mais quel moment.

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C'era una volta: l'esprit. L'exercice d'allégorie de l'esprit sous une forme enfantine est vraiment réussie - et le certain aspect "triste" qui ressort de ce film se mélange bien avec cette joie malgré tout.

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C'era una volta: une bande de clampins qui ne savent absolument pas faire un film. Car pour le coup, c'était nul, long, ennuyant, de bout en bout ; alors que j'aime l'OST.

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C'era una volta: Atlas. Qu'elles sont belles ces horizons où s'entremêlent science-fiction, apocalypse et mythologie; mais ce film se la raconte, il n'a pas de vrais idées. Il est lent car il veut faire semblant de nous parler, de nous raconter une vision qui le rendra novateur. Il n'en est rien.

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C'era una volta: le choix. Coup de coeur pour l'exercice de style réalisée par l'esprit vraiment torturé de Charlie Brooker; même dans un film basé sur un concept attendu: il étonne. Mais la pensée qui s'articule autour de cette bonne idée rend ce film/épisode spécial long à suivre. De plus, la critique simple que l'on s'est tous fait lors du premier "repense tes choix" peut embêter car c'est assez brut et amer: seulement, n'en était-ce pas le but?

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C'era una volta: les histoires lovecraftiennes. Ce film n'est vraiment pas mauvais et je n'aurais pas le mot sur ce qui bloque réellement: sont-ce les personnages? - la menace? - les menaces même? De plus, la réalisation n'est pas si brillante.

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C'era una volta: la mythologie des archipels océaniens. Clairement, le fil narratif est typique de ce genre d'animation - c'en est même quelque peu navrant; mais la retranscription de la mythologie est juste éblouissante (mention spécial à l'eau qui, au tout début, émerveille).

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C'era una volta: le conteur.

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C'era una volta: Eastwood.

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C'era una volta: les bidonvilles.

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C'era una volta: la puissance de l'écriture.

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C'era una volta: la bêtise.
"Bienvenue chez les bêtas, montez sur Panurge afin d'arriérer vos esprits!"

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C'era una volta: les contes de fée.

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C'era una volta: Danny Boon.

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C'era una volta: l'inconscient ou subconscient. C'est de ce point de vue que Villeneuve veut nous conter une histoire complexe à la réalisation dramatique. Même bien trop dramatique; car, oui, le film est vraiment ardu. Et la compréhension, je n'ai pas pu le faire moi même, j'ai donc trouvé ce film mauvais parce qu'il est constamment dramatique... Tout prend son sens une fois la compréhension achevée, même les plus petits détails qui m'ont fait rire sur le moment (comme Bell qui a peur d'une porte automatique qui se ferme) mais le film n'invite réellement pas à réfléchir, je trouve.
L'introduction est sympa, elle pose les bases de la réalisation (dramatique et sombre) ainsi que le point de vue proposé par le narrateur, puis tout devient très concret, trop concret.
On suit la vie d'Adam Bell qui a l'air de nous faire une petite dépression, on comprend ensuite (grâce à Internet pour moi) que c'est à cause de sa double vie, mais sur le moment, j'ai trouvé le tout concret et manquant franchement de côté "inconscience", c'est-à-dire que l'on ne comprend, surnaturel et nous montrer deux hommes semblables dont l'un pète un câble un peu trop rapidement: ça n'est pas surnaturel. J'aurais préféré une rencontre entre les sosies moins réalistes, que la femme d'Anthony n'aille pas rencontrer Adam et dire: "c'est le même que toi!" et fondre en larme; cela peut être intéressant si ces éléments "réalistes" n'étaient pas plus nombreux que ceux dits dans le domaine de l'inconscience.
Le fait que Jake/Adam/Anthony s'assoie et prenne le temps de contempler son couple se détruire par sa faute et ses peurs aurait du se faire d'une manière bien plus brumeuse, et pas juste nous... ou me laisser avec une incompréhension folle et trouver un sens concret en nous montrant du concret.
Villeneuve a clairement laissé un typhon de l'erreur d'interprétation dans lequel je me suis vaillamment jeté. Mais pourquoi était-il si puissant, invincible aussi?

Que l'on soit clair: je ne demande pas à tout comprendre dès le premier visionnage, mais à rester soupçonneux et méfiant quant à ce qui est raconté. Un beau contre-exemple est Mother qui m'a laissé également dans l'incompréhension mais avec toutes les cartes dont j'avais besoin pour interpréter.

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C'era una volta: le dilemme moral.

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Belle histoire d'amour entre une bête aquatique et une belle muette.

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"Une comédie française drôle, touchante avec des acteurs doués, jouant des personnages écrits de façon intelligente."
Pour mon avis, vous inversez le sens de cette phrase.

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C'era una volta: JON MIKL THOR. Un homme qui brise des briques sur la scène! Mais c'est drôle dans le souffle de la jeunesse, le vieux "jon" s'accroche et c'en est un peu ridicule; et le documentaire passe si peu de temps sur sa vie croustillante des années 70'/80'.

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Les films chinois ont toujours cet aspect un peu amateur, ou plutôt de non-maîtrise, alors que les idées sont là; mais bon, ce n'est juste pas bon.

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C'era una volta: la ségrégation.

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L'œuvre de London est dénaturée et l'animation moche.