Ceci est une liste. De tous les films vus en 2016. Avec commentaires.

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[TORRENT] Villeneuve m'avait déçu avec Enemy, mais j'ai retrouvé le réal de Prisoners que j'avais découvert et qui m'avait subjugué. Cette immersion en enfer dans les cartels mexicains était époustouflante, avec des acteurs impeccables et une image magnifique.

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[TORRENT] Ce film rappelle "Le premier jour du reste de ta vie" par son ambiance nostalgique et mélancolique, sans avoir la même force d'évocation. L'acteur principal est d'une fadeur sans nom (peu importe qu'il soit le fils de Jean Rochefort ou pas), mais la fin inattendue permet de sortir un tant soi peu des sentiers battus des drames habituels.

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[NETFLIX] Film assez innofensif et très prévisible, dommage parce que connaissant les frères Farrelly on aurait pu avoir un truc de fou. On sent que Jason Sudeikis en avait sous la pédale pourtant !

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[TV] La première partie est très intéressante (l'enfance et l'incarcération du groupe de jeunes), la deuxième est beaucoup plus longue et moins passionnante, dommage pour un tel casting.

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[STREAMING] Moi qui n'aime pas le rap, je dois avouer que j'ai été agréablement surpris par ce film. J'étais un véritable novice en la matière donc j'ai pu découvrir les violentes émeutes de Los Angeles d'un autre point de vue par exemple. Le biopic est de très bonne facture même si certains passages ont dû sacrément être romancés (comme tout bon biopic qui se respecte, ne nous voilons pas la face). Et la soundtrack suit la route !

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[STREAMING] Robert De Niro enchaîne les daubes à une vitesse que ce film, relativement bon, a failli passer inaperçu. Sans lui offrir une prestation majestueuse, Bob est très convaincant dans le rôle d'un papy qui n'est pas prêt de se laisser dépasser par le turfu.

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[STREAMING] Joaquin Phoenix et Woody Allen pouvait être un duo assez cool et au fort potentiel, au final le film est un gâchis. Quelques éclairs de génie, mais c'est un mauvais Woody Allen, le réalisateur s'auto-caricaturant et recyclant sans cesse des éléments de son style autrefois innovant.

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[STREAMING] Voir critique

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[STREAMING] C'est du James Gray look-alike avec un scénario un peu faiblard mais une ambiance assez noire bien plaisante pour ce genre de films. La prestation de Tom Hardy est à saluer (par contre j'ai trouvé que Gandolfini était un peu en deça, mais c'était sa dernière prestation donc on pardonnera).

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[STREAMING] Le concept est original, ça fait réfléchir (questionnement métaphysique, rapport de l'Homme à la machine etc.) mais le film est trop froid et hermétique (comme une machine) pour que je puisse développer réellement de l'empathie pour les personnages.

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[CINEMA] Même si on a l'impression que QT s'autoparodie avec ces dialogues interminables, la fin est vraiment ouf, et ce film a des qualités indéniables. Par contre, le Panavision 70mm ça doit servir à rien désolé, je comprends pas le but de se faire chier avec une telle pellicule pour ne filmer qu'un huit clos.

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[TORRENT] Trop classique et prévisible, mais c'est un western qui respecte tout le cahier des charges.

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[TORRENT] Intéressant dans son traitement, dommage qu'il ne soit qu'un roman-photos et pas un réel court-métrage.

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[NETFLIX] Bof bof bof

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[NETFLIX] Je m'attendais à une violente critique contre le système, avec un parti-pris réel pour les banlieues et un rejet total de toute autorité. Au final, le film est plus subtil qu'il n'en a l'air, et se contente de filmer avec simplicité et sans aucun manichéisme la jeunesse désenchantée des quartiers difficiles.

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[NETFLIX] Nostalgie, quand tu nous tiens... Petit bémol sur la fin cependant, le fait que Matilda n'ait pas perdu ses pouvoirs (comme dans le livre de Roal Dahl) enlève beaucoup à la signification même de ces manifestations. Dommage

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[DVD] +1 parce que j'ai enfin pu apprécier les scènes en italien avec des sous-titres ! Molto bene !

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[TORRENT] Ce film m'a laissé assez perplexe dans le sens où, j'ai envie de l'aimer. Vraiment. J'avais eu du mal avec Annie Hall, donc je voulais vraiment rectifier le tir. Mais je trouve que les anciens Woody Allen ont du mal à avoir du rythme, l'enchaînement des scènes ne s'imbrique pas aussi bien qu'on le souhaiterait. La personnalisation de New York, qui est intrinsèquement recherchée par Allen, est finalement peu présente car mis à part quelques très belles séquences magnifiées par le noir et blanc (notamment celle du pont, et celle de la course à la fin), l'essentiel se situe dans des espaces confinés, ce qui empêche d'y voir un véritable hommage à Manhattan. J'ai enfin eu l'impression de voir un Annie Hall-lookalike, même si j'ai préféré Manhattan dans son traitement et son rapport aux femmes et à l'amour en général. Je me réserve un second visionnage pour me faire une idée plus précise des débuts de Allen derrière la caméra.

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[TORRENT] À la limite de la perfection tant visuellement que dans le contenu, le côté un peu trop fleur bleue du film lui retire un peu de force dramatique, mais l'oeuvre reste poignante, portée par des acteurs de talents et un réalisateur qui maîtrise parfaitement son univers cinématographique. Un classique à voir.

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[TORRENT] On reconnaît dès les premières images l'univers poétique de Jaco Van Dormael, avec des scènes au côté rétro-nostalgique et chargées en émotion, comme c'était déjà le cas avec Mr Nobody. Rappelant parfois le cinéma de Jeunet (notamment Amélie Poulain), le nouveau film du cinéaste belge veut être généreux avec sa galerie de personnages étoffée ainsi qu'avec des idées scénaristiques assez intéressantes. Malgré tout, le film perd peu à peu de son intérêt en cours de visionnage et la fin, totalement convenue, fait beaucoup perdre de son charme à l'oeuvre dans sa globalité. C'est vraiment dommage car le film faisait preuve de bonnes intentions, mais à force de vouloir trop donner cela devient vite n'importe quoi. Une déception pour moi.

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[TORRENT] Une très belle performance de Nicolas Cage (ça change de sa filmo actuelle), avec un New York aux abois et éclairée par les sirènes des ambulances. Peut-être pas le meilleur Scorsese, mais il mérite d'être vu au moins une fois.

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[CINEMA] Revu sur grand écran (merci au Diagonal de Montpellier !), j'ai grandement apprécié mais je l'abaisse de 1 par rapport à mon tout premier visionnage, car le film est vraiment trop long à démarrer (on a du mal à accrocher à cette histoire de possession), et le fait de mettre un twist quasiment au milieu du film enlève tout suspens et ne fait pas gagner en charge émotionnelle. Dommage, d'autant que James Stewart est vraiment impressionnant dans ce film (enfin je dis dommage, mais 8 c'est une excellente note, faut pas abuser non plus).
Et, bizarrement, l'apparition de la nonne à la toute fin m'a vraiment foutu la trouille sur grand écran, j'ai eu un méchant frisson, j'ai cru voir la mort (oui, c'était l'effet recherché par Hitchcock, ben ça marche pas à la TV mais au cinéma oui !), comme quoi je ne pensais pas qu'un changement de format pouvait tant impacter un visionnage. Intéressant.

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[TORRENT] C'est nul (mais je m'attendais pas à quelque chose de bien, donc aucune déception).

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[CINEMA] Petite déception dans le sens où le film se révèle en réalité beaucoup moins subversif et innovant que ce que l'on pouvait espérer. On sent qu'il y a du potentiel avec un tel personnage, capable de débiter autant de conneries que de balles, mais le scénario ultra-con (qui tient même pas sur un demi post-it) met en lumière des défauts majeurs (avec des personnages secondaires vraiment à chier). C'est le Deadpool show, c'est con mais c'est drôle, ça fait passer un bon moment. Hâte de voir le director's cut !

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[CINEMA] Petite déception car les frères Cohen m'avaient habitués à un cinéma beaucoup plus corrosif, ici ça écorche de manière gentille le Hollywood des années 50. Mais présence de scènes cultes (notamment avec le rabbin, le prêtre etc.) !

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[TORRENT] Alors que j'avais énormément d'a priori sur ce film (s'étant fait défoncer en règle par les critiques), j'ai beaucoup apprécié cet opus, qui renoue avec la tradition des anciens James Bond : de l'action, des JB Girls qui servent à rien, des méchants charismatiques (ouais je trouve que Christophe Waltz a de la gueule même s'il atteint pas sa prestation sadique de Inglorious Basterds) etc.
Malheureusement, il y a trop de facilités scénaristiques pour que le film brille vraiment par son ingéniosité et ses dénouements, et il y a trop d'hommages aux anciens opus (je peux facilement relier chaque scène à un ancien James Bond, c'est dire mon côté fanboy qui parle). Reste un film de bonne facture, qui s'inscrit sans rougir dans la saga de Double 07.

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[3D] Film de bonne facture, empreint d'un réalisme impressionnant dans sa première partie, avec un Matt Damon plus drôle que ce que l'on pourrait penser dans un tel film (après, aller jusqu'à qualifier ce film de comédie, seuls les Golden Globes font ça haha)

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[CINEMA] Jeff Nicholas confirme son statut de réalisateur de talent avec ce magnifique et bouleversant Midnight Special, porté par un très beau cast. L'image soignée oscille entre les films spierlbergiens de SF et une approche beaucoup plus contemporaine qui permet d'ancrer le récit dans une vision plus réaliste mais qui peut faire défaut par moment (je n'en dirai pas plus pour éviter tout spoil).
Cependant le film m'a laissé sur ma fin, comme si le message qu'il voulait faire passer avait été purgé au maximum pour n'en garder que la sève intrinsèque. Je lui accorderai sûrement un second visionnage pour, peut-être, davantage apprécier ce film.