Ces films à la réputation catastrophique qui ne sont finalement pas si catastrophiques que ça.

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Considéré comme un simple ersatz de "Jaws", un bon film d'aventure à l'ancienne avec des attaques de fauves spectaculaires et pas encore en CGI.

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Enorme bide et réputation injustifiée de navet pour une fable naïve mais touchante sur l'Amérique des pionniers doublée d'un western post-apo au souffle indéniable.

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De la S-F hollywoodienne sans grande originalité mais efficace et solide.

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Le scénar est certes chaotique mais la reconstitution de Whitechapel est superbe et la mise en images est renversante.

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Oui c'est très con mais c'est finalement plus prenant et plus spectaculaire que la majorité des blockbusters de l'époque.

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Un pur délire 80's à voir justement pour sa condition de pur délire 80's.

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Pas le meilleur mais pas le plus mauvais de la saga, un train fantôme qui assume totalement le genre auquel il appartient.

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La dernière partie est foirée mais le reste est formellement abouti et retranscrit plutôt bien le spleen adolescent.

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On est loin du premier "Child's play" mais les SFX sont excellents et on nage dans le bon film d'horreur des videoclubs.

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Une suite qui ne se la raconte pas, qui a très bien compris qu'elle n'égalera jamais l'original et qui joue du coup la surenchère spectaculaire et qui le fait très bien.

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Encore plus tarée que l'original, plus cartoonesque, plus méchante, offrant un duel final titanesque. Du pur comic-book.

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Une suite intéressante, certes pas au niveau du premier, mais qui transpose intelligemment l'univers de l'original dans une autre jungle, urbaine celle-ci.

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Massacré à sa sortie, le director's cut n'en fait pas un grand film mais confirme la bonne série B qu'il est, brutale et tragique.

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Pour le commun des mortels, un simple film de pinguins cul-cul la praline. En fait, une fable écolo violente à la lisière du fantastique, confrontant l'homme à son regard condescendant sur l'animal. Un putain de tour de force technique doublé d'un détournement incroyable du film familial.

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Echec à sa sortie, un putain de bon film catastrophe à l'optimisme communicatif. Et pendant ce temps-là, l'ignoble série des "Ice Age" continue à cartonner.

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On ne retient que l'aspect mignon d'un film commandité par l'auteur de "Mad Max", fable cruelle sur le règne animal, condamné à finir dans notre assiette.

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Alors que le premier aura été nommé aux Oscar, cette suite subira un échec retentissant alors qu'elle lui est supérieure, parabole amère sur tous les laissés pour compte de l'Amérique.

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Un faux flop médiatique et boursouflé qui cache une série B de luxe délicieusement débile et réjouissante.

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Du post-nuke très con mais très drôle.

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Un survival honnête et allant droit à l'essentiel.

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Un petit peplum qui ne paie pas de mine mais qui fait le boulot, porté par de superbes images et par un duo efficace.

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Traité de tous les noms, le second film de Richard Kelly est certes un brin boursouflé et chaotique mais il reste passionnant et surtout cohérent avec le reste de la filmo du réal.

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Considéré comme un nanar astronomique, la faute au kitsch ambiant et aux cuissardes de Connery, le film de Boorman, malgré ses défauts évidents, est surtout une fable futuriste et baroque totalement barrée mais fascinante, purement cinématographique.

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Une bonne série B violente et brutale, à la reconstitution soignée.

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Oui, le concept est très con et la seconde partie piétine dans la semoule. Mais toute la première heure est diablement efficace, sentant bon le western rugueux et comportant une scène de capture extra-terrestre plutôt flippante pour un film tous publics.

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Un désastre financier et artistique mais dont la folie ambiante du tournage est palpable dans chaque plan, ce qui a tendance à le rendre fascinant, d'autant que les maquillages sont superbes.

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Un faux Guy Ritchie-like cachant une intrigue bien plus complexe et humaine que ça, nourrie par des personnages complètement allumés.

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A l'image de la série d'origine: décérébré mais ultra-fun.

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Un Boyle que l'on a tendance à zapper mais qui vaut bien "Slumdog Millionnaire", en moins bouffi.

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Mineur dans la carrière d'Eastwood mais efficace et écornant une fois de plus l'image du grand Clint qui se fait limite violer par une femme, quand même !