Ces séries de nanas qui trompent l'ennui de l'adolescence.

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Ca commençait plutôt bien pour les fans de mode et d'héroïne à peu près équilibrée, mais, bien évidemment, les bonnes choses ont une fin, et ce très rapidement chez les networks américaines.

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Ca partait d'un mystère qui nous tenait en haleine et puis c'est devenu un amas de n'importe quoi par pure fainéantise des scénaristes. Mais entretemps, c'est devenu la référence et le point de départ du déferlement des séries pour adolescents à moitié sulfureuses et à moitié grotesques. Alors, pour Gossip Girl, je n'ai qu'un mot : merci.

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Ça partait d'un mystère qui nous tenait en haleine et puis c'est devenu une vitrine pour des marques de fringues et des filles qui mangent jamais.

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Là encore, le cocktail héroïne équilibrée + pouvoirs magiques + triangle amoureux s'était trop essouflé et n'a pas convaincu le public.

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Une des rares séries de filles où l'écriture des dialogues est travaillée et étonnante, avec une actrice de Broadway très efficace. Comme pour toutes les séries qui avaient un semblant de promesse de qualité, elle a bien sûr été prématurément annulée.

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A regarder pour se former en matière de répartie et pour apprécier la qualité des répliques.

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Deux filles sans le sou à New York, le tout sous la forme d'une sitcom avec des rires pré-enregistrés. A regarder si vous appréciez les blagues 'un peu limite mais drôles quand même'.

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On pensait que Gossip Girl tenait la palme du WTF en matière de séries mais celle-là vaut le détour, notamment pour le côté "mélange de couples dans un même groupe" et "bouleversements par milliers dans la vie d'une même personne et dans un temps très réduit".

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Ca commençait plutôt bien : une héroïne qui écrit avec un ton sarcastique, des situations cocasses et originales... Jusqu'à ce qu'on installe un triangle amoureux inutile qui a fatigué l'intrigue et qui a transformé la série en nouveau 90210 mais pour élèves moins riches.

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Vitrine de gens beaux et de belles fringues, le tout sous ce cadre ô so exotic et original de l'Alabama.

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Petites reprises intelligentes des contes de votre enfance, le tout saupoudré de beaucoup de romance... A voir si cela ne s'essouffle pas sur le long terme.

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Une jeune hipster new yorkaise coincée dans une banlieue huppée peuplée de gens qui portent des tas de couleurs pastel. Un scénario un peu maladroit qui tire un peu trop vers l'absurde mais des personnages loufoques qui finissent par être attachants.

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Non, non, Pretty Little Liars a rempli la niche de "séries mystères avec meurtres et jolies fringues à la clé". Celle-là était de trop.

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Sarah Jessica Parker n'était pas contente à l'idée de cette série, sorte de prequel à la presque culte Sex & the City. Visiblement, son avis a tranché en ce qui concerne le renouvellement de cette série. Dommage, AnnaSophia Robb faisait un plutôt bon travail.

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Bon, d'accord, cette fois c'est bien écrit et bien inspiré, on va considérer celle-là comme la pomme mûre du panier.

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Vampire Diaries a déjà rempli la niche de "séries avec une héroïne différente qui se découvre des pouvoirs/une histoire singulière et un entourage tout aussi dark", désolée.

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Tentative très maladroite de reprise d'un film culte des années 90 qui, pour le coup, doit se sentir très offensé. On attend les retours de Joseph Gordon Levitt pour en savoir plus.

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Honnêtement, si j'en sais un peu à propos de cette série, c'est dû aux matinées d'ennui profond à comater devant France 2 qui la rediffusait à tout va.

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Une série originale qui a le mérite de mettre en avant la langue des signes et de la faire découvrir au grand public. Le scénario fait très "série Lifetime" avec des moments pseudo dramatiques qui bouleversent les familles américaines lambda, mais pour l'instant, ça se tient.

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Beverly Hills des années 2000.

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Bon, j'ai mis cette série dans la liste mais en vrai c'était ma mère et mes tantes qui regardaient ça. Du coup, dans ma tête, cette série est le symbole de l'ennui, parce qu'à l'époque je préférais suivre les aventures rocambolesques de Pokémon et des Totally Spies.