Chasseur de tête IRL

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Vivian Darkbloom

Alors elle c'est de la triche, elle m'a carrément initiée à SC, vous pouvez la remercier (ou la maudire), sans miss Darkbloom alias ma moitié adorée, pas de Wazoo ici-bas.

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Feedbacker

Presque par hasard, collègue lillois qui a su répondre à l'appel de Bärlin, et qui a l'obligeance de me prêter son agenda de concerts Lillois pour m'instruire à la scène locale.

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Woozz

Rencontré en même temps que Erw dans le cadre d'un concert Parisien de Bärlin (qui devrait ouvrir une agence de rencontre à ce rythme). Il est grand et frisé à la fois.

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Erw

Rencontré donc en même temps que Woozz pour les inénarrables Bärlin. Il sert la Science et c'est sa joie.

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Roulie Luc

Les Lillois c'est cool. Ne vous fiez pas à son système pileux : il n'est pas métalleux pour un sou, mais le psyché l'anime. Il a beaucoup trop de vinyls par contre : je le hais cordialement.

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Godfazou

Rencontré alors que ce n'était pas prévu (et je n'ai pas réussi à m'échapper) au détour d'une bière (ou deux, ou trois) dans un bar Lillois. Il est tout jeune, mais le cache bien.

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Thefrenchjerk

Jumeau de Godfazou, était sur les lieux du crime en train de siroter une bière. Il a le même numéro 1 que moi au Top album, c'est donc un ami.

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Memorycard64

Croisé avec TheFrenchJerk à la séance de Knight of Cups, c'est tout petit Lille y a pas à dire !

(mais n'allez pas lui dire ça sinon il complexe)

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Kikk

Une éclaireuse "kitsch-homo-érotique" (vous pouvez pas comprendre) amatrice de chats et de pommes, et de cactus et de poulpes. A le bon goût d'étudier le cinéma à Lille avec ma moitié.

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Harry Buttle

En plus d'avoir un pseudonyme qui respire le bon goût et d'avoir des faux-airs de John Malkovich, monsieur Buttle est un grand amateur des demi-dieux The Necks. C'est d'ailleurs là, après un concert en post-claque, qu'il m'a reconnu. J'étais tellement sonné par la prestation que j'en ai oublié de lui demander son nom et comment exactement il connaissait ma tête (c'est louche tout ça). Un type aux abords très sympathique donc, serrez-lui donc la main si vous le croisez dans la rue.

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E-bow

Rencontré avec BiFiBi à l'occasion de l'avant-première de Kizumonogatari Part 1 au Grand Rex. Pas du tout péteux pour un étudiant en cinéma, c'est suffisamment rare pour être souligné. Franchement sympathique même !

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BiFiBi

Rencontré avec E-bow à l'occasion de l'avant-première de Kizumonogatari Part 1. Très classe avec chemise/cravate (sorti du boulot ou classe naturelle ? qui sait), érudit sur bien des sujets nippons, s'est avéré de bon conseil en matière de Visual Novel. Enfin pour en être sûr faudrait que je trouve le temps d'y jouer :'(

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Flagblues

SensCriticien émérite croisé au cours d'un concert indie-new-wave d'un de ses potes, il rattrape ce qui lui manque en talonnettes par un goût immodéré pour la fragilité existentielle contagieuse et la taquinerie franche. Si vous ne faites pas gaffe, il peut être capable de vous emmener tard le soir dans des bars parisiens arborant des affiches de Pavement... brrr. On a failli dormir ensemble devant Jeanne Dielman mais on s'est ravisé.

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Lucid

SensCriticien vétéran, croisé au concert de son poto new-wave/indie. Bien accompagné et d'apparence sereine il cache derrière ses amples lunettes une affliction aussi grave que rare : la classe tranquille. On aurait pu s'assoupir main dans la main devant du Chantal Akerman, mais Dieu en a décidé autrement.

Saurez-vous lui pardonner ses heures de rendez-vous mouvantes ?

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heudé2

Croisé à la Vilette sonique, d'abord rapidement en fin de JC Satan, et puis au concert de Boredoms. Je n'aurai pas pu vraiment discuter avec lui finalement, mais il avait un sourire jusqu'aux oreilles à chaque fois que je checkais sa tronche pendant le concert, j'en déduis qu'il doit être heureux.

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MrShuffle

Déjà poto avec Lucid et sa chère et tendre, croisé à la Vilette. Binoclard spirituel, il a su briller notamment par sa persistance tout au long le la soirée. Entendre qu'il n'était jamais très loin. C'était pas le seul vous me direz, en revanche ça ne m'a pas empêché de passer une partie de ladite soirée à hurler publiquement son patronyme avec Roulie Luc et Thefrenchjerk, dans l'espoir fou de revoir son minois.

M'a informé de la perplexité de ses voisins de concert quant à ma transe scénique. J'en déduis qu'il travaille aux services de renseignement de Sa Majesté (et non dans le tourisme comme il tente de le faire croire).

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Utopia

Pote foncedé de Khamsou (quoiqu'il a réussi à éviter l'hôpital lui) croisé à la Villette. Lui-même sait bien pourquoi j'ai choisi l'arbre pour le représenter, tant ses exploits cyclo-acrobatiques resteront dans les annales et auront marqué à vie les zygomatiques de tout un noctilien.

Semble capable d'ingurgiter et régurgiter (proprement) une grande quantité de liquide. Y a sûrement des corps de métier où c'est utile.

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DoctorSmoke

Encore un foncedé rencontré à la Villette. Sauf que celui là ça fait un certain temps que je le côtoie sur SensCritique, donc je m'y attendais un peu. Je l'imaginais avec des cheveux sales jusqu'aux épaules avec des bouts de mégots dans la barbe et des brûlures sur sa chemise hawaïenne, finalement il était rasé de frais et sa touffe blonde n'était pas si épique. N'eût été ce regard qui se perd en un horizon incertain, je ne l'aurais presque pas cru.

Du gang des Rennais, c'est celui dont je me souviens le plus, le reste est brumeux.

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Heliogabale

Croisé à la Villette. Il m'excusera pour le choix de l'oeuvre qui le représente, mais on a pas eu trop l'occasion de discuter et je me souviens qu'il aime la psychanalyse et qu'il étudie la psycho (ce qui en fait au moins un collègue, sinon un ami). Il a plus ou moins la coupe de Roger Daltrey en 1969.

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bubu de lager

Bubu n'est peut-être pas de Montparnasse, en revanche il est bien Breton, puisqu'il fait partie du fameux Gang des Rennais de SensCritique. Malheureusement je ne me souviens que d'une franche poignée de main, je ne saurai donc pas épiloguer à son sujet.

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Enilua

Croisée à la Villette. Chère et tendre de notre Flagblues national. Elle est un peu plus petite que lui, ce qui en dit long. Je ne veux pas qu'on me colle un procès sur le dos pour l'avoir injustement taxée de "femme de...", seulement j'aurai du mal à dire autre chose vu qu'on ne s'est pas vu très longtemps. De toute évidence avec ses 2h de sommeil pour 48h d'éveil dans les pattes, elle était assez fatiguée et peu à même de se joindre aux festivités.

Until next time.

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M_Girouette

Croisé à la Villette. Comme promis, Girouette éclipse le soleil dès lors qu'il redresse sa carcasse (moins que Woozz quand même). Il aura été suffisamment généreux pour me permettre, durant le concert de Powell, de goûter brièvement au temps qu'il fait là haut en grimpant sur son dos. Bien qu'étant une pucelle des lives, il s'est vite avéré être dans son élément (quid du talent, quid du whisky, les chercheurs restent perplexes).

En revanche, on m'avait aussi promis qu'une fois bourré il mettrait ma maison à feu et à sang, inondant ma salle de bain, réveillant mes parents à grands cris... et finalement l'asperge s'est écroulée dans son matelas d'osier dès les premiers pas faits dans la demeure. Et puis un jour il s'en est allé, fondant dans son bus comme neige au soleil avec son t-shirt vaporwave........

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AmPsycho

Nous disposions de beaucoup d'informations sur lui. Coupe naturelle de balai brosse. Wife-beater impénitent, castagneur insolent, Barcelonais survivant. Prophète de la Holy Church of Kanye Walks. Gourou visionnaire de la secte du Turfu. Comparateur au syncrétisme surréaliste. Voyageur temporel spéléologue toujours capable de trouver mieux et plus obscur 16 ans auparavant. Hôte originel du désormais mondialement célèbre CDM. Nous savions beaucoup de choses.

Nous ne savions pas encore qu'il tenterait de libérer Animal Collective de ses chaînes, qu'il reconnaîtrait le potentiel du Saint Casque, qu'il procurerait de la coke à Powell avec une main tout en prenant Helena Hauff par la taille avec l'autre, qu'il monopoliserait les enceintes pour bercer le voisinage, qu'il se ferait passer pour Girouette vestimentairement parlant, qu'il parviendrait à se déplacer de Bercy à la Villette à pied en 10 minutes, 15 maximum, qu'il ne se battrait pas avec quiconque, qu'il ne se perdrait pas dans le métro ou encore qu'il s'illustrerait sur le dancefloor avec la banane authentique de l'imbécile heureux.

Mais saura-t-il aller jusqu'à dormir tous frais payés au This Is Not A Love Song Festival ?

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Khamsou.

À l'heure où j'écris ces lignes cela fait à peine plus d'un jour que je l'ai vu s'en aller. Pourtant je ne suis déjà plus sûr de ce que j'ai vu, entendu, vécu. Quel est donc cet être impossible qui a brièvement croisé mon chemin ? Il dit vivre à Montpellier, mais je ne sais quel crédit y prêter, après tout y en a bien qui disent que Elvis a été kidnappé par des extraterrestres. Je veux bien croire que Jésus ait été un simple mortel, mais Khamsou lui est-il vraiment humain ?

Rien n'est moins sûr. Personne ne peut être aussi idéaliste, avoir des sourcils aussi riches, passer ses nuits autant debout. Pourtant, tandis que je ne sais rien de la véracité des actes perpétrés il y a 2000 ans par le fils de Dieu, j'ai en revanche vu des miracles s'accomplir en la présence de Kham, de mes yeux vu.

Plus fort que Saint Martin qui donna la moitié de son manteau au mendiant, Khamsou a sacrifié toute sa veste à la postérité, artefact qui sera encore vénéré (et craint) pour les années à venir.

Plus extensible que le sac à main de Marie Poppins, son estomac est capable d'ingérer une quantité de bière si dionysiaque qu'il est mis à prix par les trafiquants d'alcool de tout poil.

Plus endurant que Philippidès qui inventa un jour le marathon pour s'en aller chouiller aux dépens des perses, Khamsou s'écroula au champ de bataille de l'ivresse, mais seulement pour mieux revenir de l'hôpital (et d'entre les morts) une heure plus tard, en courant, frais comme un gardon et sautillant de plus belle.

Plus pur de coeur que Blanche-Neige, Khamsou est traversé de part en part par l'insoutenable légèreté de l'être, qui en devient du même coup supportable, émerveillé par le moindre détail du quotidien, créant de la beauté partout où se posent ses yeux aux reflets dorés, comme s'il avait perdu mémoire qu'un jour prochain la mort nous prendra tous.

S'il est bien humain, alors nous ne sommes que des singes boiteux et vulgaires.

Je n'ai plus qu'une peur désormais : de le revoir à TINALS et m'apercevoir que j'avais rêvé. Mais la Foi est puissante en moi.

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blazcowicz

Rencontré au This Is Not A Love Song festival à Nîmes. Bien bâti au cou solide portant une fine barbe taillée, énième géant de cette liste, c'est tout naturellement que le choix du film s'est imposé pour ce fier gaillard - dont les hauts faits dans la base de données SC ne sont pas les moindres de ses talents. En effet, il sait aussi accueillir chez lui les Amory errants, porter un regard serein et compréhensif sur les bêtises de ses benjamins et bâiller devant Foals comme toute personne sensée.

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AlexisM

Rencontré à TINALS. Je l'avais choisi en éclaireur parce que j'aimais son actualité musicale ; on avait plus ou moins les mêmes avis sur pas mal d'albums de 2015 grosso merdo. Et quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre que c'était un pote de Feedbacker ! Le monde il est tout petit. Primesautier et souriant, sait s'extasier là où il faut (surtout devant Shellac, qui comme chacun sait a détruit toute concurrence). En revanche, il a beau porter des lunettes, il n'a pas réussi à s'apercevoir que Girl Band c'était de la merde.

Mais on lui pardonne parce que de toute évidence en trois jours de festival il a eu le temps de prouver que c'était un brave type (qui sait se retirer de table au moment crucial et laisser ses pairs dévorer l'apéro).

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Anto Lang

Rencontré à TINALS. Frère de Animus, voyageait en famille pour assister à la douceur estivale du festival Nîmois. Je garde de ce garnement le souvenir d'un p'tit brun frisé et jovial, au regard souvent écarquillé, encore un qui est du genre à être émerveillé par tout ce qui l'entoure (ce que semblent corroborer des notes souvent généreuses). Je l'ai vu à deux doigts de perdre le contrôle pendant Shellac - une réaction des plus saines en fin de compte, une preuve qu'il faut lui serrer la main.

Lui aussi a aimé Girl Band, comme quoi personne n'est parfait, mais je prévois de lui laver les oreilles à coup de recommandations de guitaristes solitaires. Je l'aurais bien fait à la main, mais cet imbécile habite à Marseille :(

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Animus

Rencontré à TINALS. Virtuellement, Animus donne à voir une sorte de J.F. Sebastien culturel, comme une plante arrosée trop tôt qui aurait bourgeonné précocement pour finir blasée avant l'âge, et qui a dû s'accrocher à Booba et Lorenzo pour parvenir à rester jeune dans sa tête.

Fort heureusement, la réalité détrompe cet a priori et nous offre un frisé (ILS SONT PARTOUT) certes grand pour son âge, mais s'il est blasey de la vie il n'en laisse rien paraître. En revanche il nous a montré un sourire timide sur les selfies qu'on lui a imposé (c'est légal de faire ça à un type de 15 ans ? Merci de m'en faire part dans les commz) et a su se défaire du pire parasite du festival les doigts dans le nez. C'est à peine s'il laisse voir un léger mépris pour des trucs comme Foals, mais là encore, quoi de plus naturel ? On ne s'est pas tout à fait croisé suffisamment pour discuter énormément, et j'attends encore de le voir distribuer des pains à son prochain dans des pogos, surfer dignement sur la foule, chouraver de la weed et participer à une fusillade comme un vrai Marseillais. Mais je suis patient, et j'ai confiance.

Il reste donc de l'espoir pour ce garçon, la Force est puissante en lui. Saura-t-il l'utiliser avec parcimonie ?

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Amory.

Rencontré au TINALS. Encore un glorieux exemple de la nette distinction virtuel/irl. Amory sur skype laisse un visage de troll absolu, à toujours chercher la bagarre pour combler l'ennui. Un an plus tard, on s'en souvient encore, les traces de pneu qu'il a laissé dans la conversation sentent encore le cramé.

Dans le réel de la vraie vie IRL, Amory en revanche s'est avéré un joyeux festivalier, compagnon de route bonhomme qui n'a en somme pour seul défaut que d'avoir apprécié la pire performance du This Is Not A Love Song, à savoir Girl Band. Mais comme il a pris son pied sur Shellac il est tout pardonné. Ces jours-ci, vous le croiserez sans doute plus volontiers sur cinélounge que sur SC.

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doux zébulon

Rencontré au Reflet Médicis pour aller voir le dernier Grandrieux. L'homme au pseudo mutant et aux associations débridées. Grand binoclard au visage pensif et circonspect, celui qu'on appelle aussi Chelmi a de nombreuses cordes à son arc. Grand DJ, il n'a pas peur de mixer au coeur même du 93, et ses transitions sont entrées dans l'histoire, rarement a-t-on vu autant de panache en un seul set. Ne vous avisez pas de l'emmerder, il a des relations, notamment une tante haut-placée dans le paysage culturel français - il serait malvenu d'en dévoiler l'identité, je ne veux pas de représailles... Il s'est également avéré être un joueur honorable, parvenant à s'approprier avec une maestria confondante le répertoire de Johnny Halliday sur Johnny Singstar Wii, et à perdre avec classe sur FIFA.

Ton gars sûr de la nouvelle cinéphilie, ne dira jamais non pour aller se faire un Shyamalan ou un Wes Craven en salles parisiennes et somnoler paisiblement à vos côtés. Lancez le donc sur Hitchcock en marchant dans la rue et laissez vous bercer...