Chefs-d'oeuvre bancals / films moyens subitement touchés par la grâce

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Une oeuvre (trop ?) ambitieuse. Le pari est tenu pendant une bonne demi-heure, c'est déjà énorme.

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L'exemple parfait du film qui se saborde (un peu comme si William Friedkin, tout étonné de retrouver enfin son talent, avait pris peur et décidé subitement de faire n'importe quoi)

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Potentiellement meilleur film de Tsai Ming-liang, mais fin un peu catastrophique

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Ennui poli tout le long, et puis plan final magique, qui donne envie de revoir tout le film (ce que je n'ai jamais fait, de peur de m'ennuyer)

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Mise en place prometteuse, révélation de Hailee Steinfeld. Ensuite le film oublie totalement ce joli personnage de petite fille courageuse et bascule dans le western plan-plan. Les frères Coen se réveillent à la fin et nous pondent l'une des plus belles scènes lyriques de ces dernières années.

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Trois segments, une perle : le meilleur film de Michel Gondry.

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Un gloubiboulga de mauvais goût, de scènes discutables, de fulgurances cinématographiques.

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Deux scènes cultes : le supermarché, la séance de ciné.

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Succession quasi ininterrompue de scènes envoutantes superbement mises en scène, et pourtant je peux pas m'empêcher de penser que le tout est bancal, l'animation inégale, le doubleur (japonais !) de Batou lourdingue, le character design moyen (surtout si on le compare à celui du film précédent d'Oshii, Patlabor 2). C'est aussi le film à partir duquel le réalisateur a commencé à se prendre trop au sérieux, oubliant l'humour (discret) et l'humanité de ses oeuvres précédente.

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Scène d'ouverture grandiose. Quelques autres séquences ne sont pas en reste

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Le film démarre très fort, on se dit qu'il va rentrer directement dans la liste des films auxquels on voue un culte, et puis en fait non.

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Dans la première moitié, quelques scènes parmi les plus drôles tournées par Woody Allen

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Inégal, mais les deux derniers sketchs sont très drôles.

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Jolie fin

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Le syndrôme "Beau mais chiant (mais beau)"

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Basé sur les travaux préparatoires de Kubrick, dont c'était l'un des projets. Cela se sent au début, Spielberg s'applique, le film est clinique, maitrisé, intrigant. Puis Steven retrouve ses esprits et nous inflige un gros machin hollywoodien mielleux et interminable.

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Pareil que A.I. : début sobre, maitrisé, intrigant, émouvant. Ensuite gros machin hollywoodien mielleux et interminable (sans parler de l'esthétique des humains, hideuse).

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Vers la fin, la scène du pique-nique et de la cabane, tour à tour romantique et inquiétante

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L'histoire d'amour n'est pas très convaincante, mais certaines séquences valent vraiment le coup d'oeil

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Une jolie scène s'incruste sans prévenir : dans un train, dialogue passionnant avec le philosophe Francis Jeanson.

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Le tout début m'avait fasciné (je me souviens pas du tout pourquoi, par contre)

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Film moyen, mais belle fin

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Fin décevante