Chronique d'un mordu d'animation japonaise

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Premier film de Miyazaki sur les aventures d'Edgar de la Cambriole (Arsène Lupin). Léger, amusant et dynamique, un premier long-métrage réussi qui montre déjà tout le talent de son réalisateur. Où comment, en une scène, réaliser une introduction parfaite.

Annotation :

Mon chef-d’œuvre à moi. Celui que je regarde deux fois l'an, des étoiles dans les yeux, happé par l'univers magique de Nausicaä, des spores et de cette bande-son de toute beauté. Merci à Hisaishi. Merci à Miyazaki.
\(° °)/
Banzaï !
\(° °)/

Annotation :

Très bon, pas mon favori mais je suis bien incapable de dire pourquoi.
A revoir.

Annotation :

Malheureusement découvert sur le tard. Quel dommage, tant je m'imagine aisément qu'il eut pu devenir mon dessin animé d'enfant favori.
Reste une très bonne surprise, une courte évasion d'une heure vingt dans un monde merveilleux, enchanteur, qui nous connecte avec notre moi enfantin.

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Un Miyazaki qu'il est bien à regarder avec un chocolat chaud en voyageant en compagnie de cette petite sorcière qui ne demande qu'à s'intégrer.

Après revisionnage, plussin et ♥.
Miyazaki c'est vraiment comme une grande tasse de chocolat chaud sous la couette..

Kiki n'a certes pas la portée d'un Chihiro et autre Mononoké mais réussi sans être tape-à-l’œil à nous bercer complètement dans cet univers doux, nostalgique, plein de gentillesse et de grosses miches de pain, de moustache et de dirigeable où Kiki prend son envol et son indépendance, sans obstacles certes mais évolue doucement. En prime de belles séquences aérienne, tout le talent d'un Miyazaki pour nous dépeindre un univers touchant et attachant et un Hisaishi aux commandes de la musique pour une œuvre douce, tranquille, belle sur l'évolution et le passage à l'âge adulte...

Annotation :

L'homme (ours ?) porc le plus sexy de la planète. Dans un cadre bien plus ancré dans le réel pour mieux l'éclater, le transcender. Un de mes favoris, le seul que je peux regarder en Français parfois parce que Reno.
Et les pirates...
Et la méditerranée.
Et le fameux bar.

Annotation :

Je pense que le revoir maintenant serait bénéfique, je l'aime beaucoup mais j'avais moins accroché à l'époque n'étant pas particulièrement incliné vers l'animation japonaise.

C'est bon, j'ai pris ma claque. Fait du bien :)
Critique à venir.

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Il faut que je le regarde à nouveau.
Sept ça me semble pas normal... Après j'ai tendance à préférer les héroïnes et univers de Mononoké et Nausicäa.

Revu, note corrigée. Critique qui l'explique.

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Divise beaucoup, devait au départ être fait par Hosoda. Très bon pour ma part, aucun mal à rentrer dans ce film.

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Jamais vu. Et ouais. Ça arrive.

Et ouais. Vu. Ça arrive.

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Vu à sa sortie ciné, je trouve mon sept un peu pisse-froid. A revoir d'urgence.

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Je l'aime bien Takahata, même si il me manque pas mal de ses œuvres à voir. Mais çui-la il va me faire pleurer et j'aime pas ça.
Vu. Critique venue

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Ouaip, faut que je pioche un peu plus chez Takahata. Pas son meilleur par contre.

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Léger oubli d'ajout pour un long particulier ( comme toujours, Takahata oblige ) mais qui me fait envie maintenant.

Annotation :

Tanukis, roustons, folklore doublé d'une critique acerbe de l'urbanisation à outrance et de la société moderne.
Désenchantement du monde bien triste...

Annotation :

Énorme réussite de Takahata, style visuel unique et magnifique, conte qui mêle tradition et humanisme profond et qui par son style épuré touche aux sentiments les plus simples, les plus primaires les plus puissants.

Annotation :

Country road.
M'a fait aimer cette musique ce film.

\(°°\)
(/°°)/
\(° °)/

© Méléna.

Annotation :

Pareillement, la musique.
Et un bel hommage à Kondo.

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Goro n'est pas Hayao. Indeed. Pas que ça l'empêche de faire des trucs, sûrement bon.

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Sympathique, vu au cinéma aussi. On sent bien la patte Miyazakienne derrière.

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Du vrai Yonebayashi, timidité, pureté des sentiments.
Un bon film d'animation mais qui porte une trop lourde responsabilité : être le dernier Ghibli... :'(

Annotation :

Graphiquement ça peut rebuter. Pas de moyens, l'animation terrible.
Mais un monument en matière de développement psychologique, une plongée terrifiante dans la folie.
Et sans Satoshi Kon Darren Aronofsky n'aurait pas pu faire de film.
(>_<)

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Pas vu.
Ouaip.
No rage, je regardais Gladiator pour la quinzième fois, c'est pour ça.

Vu et adoré, ma plus grosse claque du côté de Kon.

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A voir, pas le meilleur de l'ami Satoshi apparemment !

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Un sacré Mind-fuck, graphiquement très aboutit et coloré, une bande-son folle.
Très particulier. Du Satoshi Kon quoi.

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Ici on rentre chez Hosoda. J'adore le réalisateur personnellement, que j'ai découvert avec Les Enfants loups (mon grand favori de Hosoda.)
Graphismes très épurés, léger, presque trop diront certains. J'adore le style graphique pour ma part, la bande-son ne fait jamais faux-bond et les histoires sont d'une tendresse infinie.

Annotation :

Le plus particulier des Hosoda.
J'me comprend.

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Mon chouchou chez Hoso :)

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Critique à venir
Je dis pas qu'il n'y a pas des maladresses, parfois, à l'occasion. Mais ce Hosoda (comme deux autres de ses films) m'a fait rire aux éclats durant la première partie et m'a fait chialer comme une madeleine durant toute la dernière partie ce qui ne m'était pas arrivé depuis quelques temps devant un film.
C'est beau, c'est simple dans son message -construction, passage à l'âge adulte, abandon et adoption - et la façon de la faire passer (parallèle du monde des bêtes et celui des humains, l'obscurité en chaque humain), c'est beau, c'est ...
Ben j'écrirais un truc dessus et comme tous les Hosoda, je recommande chaudement.
Faudra que je le revois avant d'écrire ;).