Cinéphagie 2020

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Découverte - 3 janvier

Sean Archer veut venger la mort de son fils et finit par arrêter le criminel Castor Troy. Ce dernier tombe dans le coma suite à l'opération musclée. Lorsqu'il apprend que Troy a caché une bombe avant d'être arrêté, Archer décide de prendre l'identité de son pire ennemi. Mais le plan va être loin de se dérouler comme prévu...

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Revu - 4 janvier

Un épisode souvent décrié par les fans de la trilogie originale, criant à la trahison de l'esprit d'une saga culte.
J'apprécie beaucoup cet épisode, qui arrive à mêler scènes sous-marines, combat en forêt, combats spatiaux, course de modules et un affrontement épique au sabre-laser en bouquet final.
Un superbe film d'aventures, dynamique et plutôt convaincant.
Deux gros bémols néanmoins : Jar-Jar Binks qui en fait des tonnes et les dialogues souvent faibles.

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Revu - 11 janvier

L'épisode le moins convaincant de la prélogie, dû à l'écriture pauvre du personnage d'Anakin.
De bonnes séquences surviennent cependant : le combat des Jedis contre les clones, la découverte de Yoda en combat et la relation entre Anakin et Obi-Wan.

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Découverte - 13 janvier

Un film terni par une histoire trop simpliste et un jeu d'acteur parfois faible.
Heureusement, les effets visuels somptueux sont au rendez-vous.

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Découverte - 14 janvier

Un documentaire maladroit sur la forme, qui a le mérite d'afficher un point de vue original sur les gilets jaunes.
Le recueil de témoignages d'anonymes permet de prendre conscience de leur quotidien et des raisons de leur colère.

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Découverte - 16 janvier

Une ode où l'imaginaire peut vagabonder à souhaits. Certains tableaux marquent davantage que d'autres ( L'apprenti sorcier, Le sacre du printemps, et la Nuit sur le mont chauve).

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Découverte - 18 janvier

En Afrique du Sud, tout le monde connait les chansons de Rodriguez. Mais l'identité du chanteur reste mystérieuse. Deux Sud-Africains décident de découvrir l'histoire de leur idole.

Malgré une première moitié plutôt redondante ( Rodriguez était un chanteur génial, mais hyper mystérieux...), l'ensemble s'avère de bonne facture et trace le destin incroyable d'un chanteur talentueux.

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Revu - 21 janvier

+2
Lors de mon premier visionnage, Excalibur ressemblait à un bon gros nanar. Le personnage de Merlin, avec sa coiffe aussi brillante qu'improbable et ses répliques souvent surjouées, provoquait une hilarité à chaque apparition.
Quelques années plus tard, le kitsch est toujours bien présent mais moins gênant et les scènes épiques s'en retrouvent renforcées. Je n'arrive cependant pas à me faire aux discours grandiloquents de Merlin !!

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Revu - 25 janvier

Une histoire riche, de l'humour et des rebondissements. Une belle réussite, même si le message aurait dû être transmis de manière plus subtile.

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Revu - 26 janvier

La revanche des Siths avait la mission quasi-impossible d'arriver à faire le pont entre les deux trilogies. Mission à moitié réussie : la liaison avec la trilogie originale est cohérente mais à quel prix !
Le traitement des personnages laisse à désirer, Padmé et Anakin en tête. Si quelqu'un arrive à comprendre leurs choix peu judicieux, je suis preneur !

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Revu - 28 janvier

Situé dans la période entre les épisodes 1 à 3 et les épisodes 4 à 6, Rogue One revient sur la manière dont les rebelles ont pu s'emparer de l'Etoile Noire.

Un film qui reste trop classique par rapport à la saga. Les rebelles s'infiltrent encore dans une base/un vaisseau de l'empire. La photo est magnifique et les scènes de combat plutôt réussies mais Rogue One est loin de révolutionner l'univers Star Wars.

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Découverte - 29 janvier

Fernandel a de la gouaille pour deux dans ce numéro d'acteur où il donne la réplique à Marguerite, une paisible vache laitière.
Henri Verneuil parvient à réaliser un film d'évasion équilibré, entre suspense et humour.

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Découverte - 5 février

La vie d'une famille américaine part en lambeaux quand le père tombe amoureux de l'amie de sa fille.

Sam Mendes frappe fort pour son premier film. La satire sociale voit ces personnages se déliter au fur et à mesure, à un rythme crescendo. La photographie, très particulière, permet d'immortaliser certaines scènes (les roses, le sac en plastique)...

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Découverte - 7 février

Excellent et bien mené, le Mans 66 plonge ses spectateurs dans l'adrénaline du monde de la course automobile et plus largement, de la guerre entre écuries. Le tandem Bale/Damon fonctionne sans problème dans cette mécanique bien huilée.
Mais le fil narratif du film pêche parfois : certaines séquences s'avèrent inutiles et la famille de Ken Miles apporte un pathos malvenu.
Sans oublier que le Mans 66 ne tient pas vraiment la comparaison face à Rush, l'autre grand film de course de la décennie.

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Découverte - 8 février

Un couple atypique ( un batteur et une avocate) de proche banlieue voit l'école publique Jean Jaurès se vider. Tous leurs amis inscrivent leurs enfants à l'école privée Saint Benoit. Ils décident de faire confiance au service public et de laisser leur enfant à Jean Jaurès.

Le film social est un exercice courant parmi le cinéma français actuel. La lutte des classes se démarque d'entrée de jeu par un dialogue mordant sur le prix de l'immobilier dans les grandes villes... pour mieux retomber dans tous les clichés du genre. Je reste pantois devant un film qui ne souhaite pas faire d'amalgames mais qui aborde les écoles privées de manière caricaturale. L'occasion cependant d'assister à l'une des grandes scènes du film lors de la tentative d'admission.

Cet ensemble donne lieu à un rythme assez particulier où la narration alterne entre scène superficielle (voire "cliché) et séquences plus fines ( le dialogue entre les mères, celui entre Baer et le vigile, le cinéma, la course de vélos). Pour finir en apothéose entre la sublime scène des parents de Paul suivie par une fin guignolesque.

De même, plusieurs thèmes et personnages sont vainement mis en avant :
- La fille, présente au début du film, s'efface par la suite. Dommage car ce personnage apportait une réelle dynamique dans la famille
- Michel Leclerc aborde la discrimination positive dans le travail de l'avocate, qui n'aura pour tout développement une discussion entre Baer et Bekhti pour introduire le personnage de l'ex.
- Le vocabulaire de l'institutrice est à mourir de rire, mais son personnage aurait mérité un développement au fil de l'année.
- Les difficultés financières pour assurer le service public, primordial, d'enseigner à nos jeunes têtes blondes est égratigné avec brio ( le mastic au chewing-gum, les vélos) mais aurait pu être creusé en profondeur.

Je garde le meilleur pour la fin avec le voisin paranoïaque dont j'attendais davantage que la séquence de la voiture.
Une déception devant un film qui fourmille pourtant d'idées annexes mais finit par pâtir d'une accumulation trop importante de scènes maladroites.

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Découverte - 9 février

Un chauffeur de taxi se retrouve pris en otage par un tueur à gage. Il doit le conduire à ses différentes cibles tout au long de la nuit.

Une excellente première heure, multipliant les rebondissements et les dialogues intelligents. Malheureusement, le scénario devient prévisible et offre un spectacle hollywoodien classique dans le final.

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Découverte - 10 février

A l'instar de 8 Miles, Reussir ou Mourir vaut principalement pour sa bande son.
La trame narrative se situe droit dans la lignée des films de gangsters. Le résultat s'avère plutôt convaincant, malgré la faiblesse des personnages.

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Découverte - 11 février

Un film original, qui arrive à se démarquer par la puissance de son scénario et certains dialogues jouissifs.

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Découverte - 13 février

Un excellent "whodunnit" mené de main de maitre par Rian Johnson tout juste débarqué de Star Wars.

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Découverte - 18 février

Un long-métrage d'animation poétique et visuellement somptueux, fourmillant de passage secrets. Dommage que le scénario pêche par sa consistance, entrainant des ruptures de rythme.

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Découverte - 19 février

La digne suite de la boucherie du premier opus.
L'effet de surprise est passé et certaines scènes me semblent en dessous des chorégraphies travaillées de John Wick.
Honorable, sans plus.

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Découverte - 21 février

Un dialogue entre deux conceptions opposées de l’Église et de la foi. Dommage que cette fiction trahisse parfois l'esprit de ses modèles, en simplifiant leur pensée ou, plus grave, en la modifiant carrément.
Les Deux Papes réserve néanmoins des instants brillants, par ses réparties ou par ses situations décalées.

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Découverte - 22 février

Deux moi a le mérite de traiter d'un fait de société peu présent au cinéma : la solitude et la difficulté de créer des rapports humains dans ce monde ultra-connecté.
Servi par des acteurs crédibles dans leur tristesse voire leur détresse, le scénario s'avère tout de même trop convenu pour séduire véritablement.

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Découverte - 24 février

Le film est une enfilades de séquences d'action. Si certaines scènes sont plaisantes, l'ensemble devient vite répétitif.

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Découverte - 1er mars

Un film policier intelligent. Le spectateur est entrainé de nombreuses fois vers des fausses pistes plausibles avant un final inattendu.

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Découverte - 1er mars

Le documentaire alterne les séquences de chant ( certes incroyables) avec les interviews de ses proches ( famille, collaborateurs, producteurs...).
Si la générosité et le charisme du Monsieur transpirent à l'écran, j'ai eu l'impression que l'ensemble aurait pu être davantage fouillé et abouti.

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Revu - 3 mars

Graphiquement sublime, Bambi pêche néanmoins par sa trame narrative faible.

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Découverte - 4 mars

Portrait d'une famille palestinienne à travers les yeux de la jeune Wardi.

Une perle de poésie, intéressante sur la forme et sur le fond. L'alternance de scènes en stop-motion pour le présent et de scènes 2D pour les flash-backs confère au film une ambiance particulière.

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Découverte - 5 mars

J'étais parti bien décidé à appréhender la légende de "Borat", connu de tous pour son maillot vert fluo si particulier.
Quelle ne fut pas ma déception devant ce festival de gags gras et poussifs !
Aucune séquence n'est vraiment parvenue à me dérider tant le personnage est beauf et lourd. Un vrai calvaire !!!

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Revu - 6 mars

De l'humour souvent absurde et enfantin qui réussit malgré tout à faire sourire.